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ispat, le il y a 7 années et 5 mois.
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+10000 avec Pierrot
et qu’est ce qu’il vont voir , les gros!?
–>le marché actuellement occupé par les “petits”; s’ils les bouffent , ils croient qu’ils vont être plus “gras”!manque de chance, on est toujours le petit d’un gros! ( autrement dit il y a toujours plus gros que soit), et avec un peu de retard, ils se feront bouffer eux aussi!
( je me rappelle d’un agri de mon ex groupement qui bossait énormément, il disait, on en a rien à f..tre des agri du haut de la drome, on a qu’a faire des réserves d’eau sur leurs terres , afin que nous puissions irriguer tout l’été et produire des cultures rémunératrices,………… 10 ans après, un mauvais produit dans le pulvé, il brula 15 ha de sa culture rémunératrice, et sous 6 mois il vendis ses terres et pris la retraite ,…..) comme quoi, ça pend au nez de chacun!l’important c’est que le nouveau mode de fonctionnement permette de laisser travailler les petits qui payent leurs charges honnêtement !
par contre , ce que je crains, c’est que l’interprofession soit gérée par des “professionnels responsables ” qui n’auront comme objectif de se favoriser eux même, et leurs copains” ils savent habituellement tirer la couverture à eu , après 3-4 ans de fonctionnement!!!!
Il faut quand même savoir, c’est que cela est prévu depuis sq années par les GMS, ceux ci ont fait des rayons producteurs pour attirer les clients et au milieu dans le rayon miel il y a Mimi….e.
Et puis vous verrez, des normes seront changées pour le miel ???????
Je pense que d’ici qq années, il ne va subsister que les exploitations qui feront que de la vente directe !!!!
Je pense que d’ici qq années, il ne va subsister que les exploitations qui feront que de la vente directe !!!!
Possible, mais la GMS aura toujours besoin des produits locaux.
( GMS, çà veut dire grandes et moyennes surfaces )
De mon coté, je travaille seul et vendre c’est absolument pas mon truc.
Par exemple, j’avais commencé à me faire référencer chez Carrefour mais au bout d’un an d’échange de paperasseries, j’ai halluciné, encore plus compliqué que l’administration et t’as même pas vendu un pot qu’ils en sont déjà à te demander des remises.Maintenant, je suis adhérent à une coopérative, évidemment je vends deux fois moins cher mais çà a pleins d’avantages aussi et tu peux te consacrer à 100% à la production.
Je pense que d’ici qq années, il ne va subsister que les exploitations qui feront que de la vente directe !!!!
Comme dit Picouty…j’espère qu’ils nous laisseront vivre un peu , en payant nos cotisations
bonjour
j ai toujours refusé d aller dans les supermarchés !!
je leur disait gentiment que mon miel n avait rien a faire chez eux !!!!!
je me suis fait traiter de con !!
mais je le regrette pas !!!a+
+1 pierrot.
Je pense aussi que le choix du président est une grosse erreur de communication de la part de l’interpro!SPATZ, Moi aussi je ne fais que la production et ventes directes( qui pou 80% du temps de fait hors période de production), sauf que les coop fournissent les GMS et à mon avis ça va coincer, si le miel ne s’écoule pas la coop n’achètera pas, ce qui est déjà le cas actuellement pour certaines coop, Richard pourra nous en dire plus, mais certaines coop ont du miel de trois ans en stock et certaines vendent au rabais!!
Et si la coop est déficitaire, devine qui mais la main à la poche ??
Ça va devenir très compliqué pour les années futures ??
Nous avons déjà de bons exemples avec certaines filières agricoles, fruit, lait, ect…. Ça les a tous mené à la ruine !!
bonjour la démocratie :twisted :twisted et vive la désinformation.
Ouh la, on se calme. Tu peux nous donner des exemples de désinformation??
Il y a eu des communiqués de presse, j’essaye de répondre aux questions.Le bébé est né le 29 janvier, un peu mais pas trop au forceps, on est le 2 février, faut pas lui demander de courir le 100 mètres en moins de 10 secondes tout de suite.
Les commissions vont commencer à se mettre en place, il y a des pistes évidemment rien n’est décidé, çà discute.
Elles seront basés sur le document initial, la charte d’engagement, constituée de 3 axes sur lesquels on s’est tous mis d’accord en décembre avant de créer l’interpro:
– production miel: sanitaire, environnement
– qualité, traçabilité, promotion
– structurer l’économie de la filièreLes deux premières lignes sont justifiées, mais il ne faut pas s’en écarter et alourdir le système. regardez les réformes sur l’étiquetage avec les GMS, ça fait peur vu les dérives possibles et ça perd le consommateur.
la partie “structurer l’économie de la filière” me gène !
C’est se faire ponctionner pour se faire alimenter (subvention) de façon réglementée (toujours plus de paperasse), avec au passage des frais de gestion soit une part du gâteau en moins !
Donc les petits payeront mais ne seront pas aidés car pas de moyen pour aller dans le sens des investissements nécessaires au normes sanitaire par exemple (ça se voit régulièrement avec le nombre des boucheries qui ferment car pas les moyen de mettre aux norme les labos avec des normes qui changent tous les 2 ans pour un rien).Après je suis sans doute pessimiste mais sincèrement ça ne fleur pas bon ! Il ne faudrait pas en arriver à un système encore plus sur-administré (qui l’est tout de même déjà), pour au final ne plus avoir de petit api et finir qu’en grosse ferme !
L’état ne voit que par les chiffres du chômage en cherchant des emploie dans les grandes entreprises et en les entreprises à grossir. Mais ils oublient très largement que la création de petites entreprises (uni-personnelle) facilite aussi l’emploie.Axe 3 : Structurer l’économie de la filière
Objectif: Améliorer la connaissance, la transparence et la fluidité des marchés pour une juste rémunération de l’ensemble des maillons
• Développer des outils de connaissance de l’offre et de la demande dans des délais pertinents ;
• Organisation des marchés entre les maillons pour l’écoulement de la production française : contractualisation, régulation, stockage, segmentation du marché.Anonymeil y a 7 années et 6 moisRang: ReineMessages: 159220 ptsBon les gars je suis pas le dernier à critiquer mais là quand même faut garder les pieds sur terre…
La composition du comité exécutif à été donné par plusieurs acteurs dès le lendemain…Après les syndicats si on veut qu’ils payent des mecs à rédiger des papiers pour vous informer, faut qu’ils puissent le payer l’animateur…
Donc si ça peut permettre de faire ça, on adhère à celui qu’on aime bien, y’a du choix quand même (certains disent ici bien souvent qu’il y en a trop, soyons cohérents!)
Aujourd’hui quelques têtes connues font la loi, ben à nous de mettre terme à ça! Y’en a qui essayent mais ils sont soutenus par personne et comble on les met dans le même sac que leurs adversaires!Bref, on peut critiquer, mais un peu de cohérence et creusons un peu le sujet, au lieu de balancer à l’aveuglette!
Mon avis sur l’interpro : http://www.mathieua.fr/blog/2018/02/01/creation-dune-interprofession/Anonymeil y a 7 années et 6 moisRang: ReineMessages: 159220 ptsSalut Thiery bha change de syndicat, moi j’ai reçu un truc, et j’en reçoit un par mois même
Bon par contre, celui-là à été boulé par les “historiques” et n’ont aucun élu…
Mais on ne peut manifestement pas à la fois avoir son intégrité et du pouvoir… question de choix!On est encore qu’au stade des amuse gueules … Le plat de résistance, sera qui va cotiser et à quel niveau et après l’ adéquation entre les cotisations et le pouvoir …
(C’est à dire qui finance et qui dirige...)
Je vais revenir à l’engagement de la France vis à vis de la Commission Européenne, relatif aux actions conduites par les interprofessions qui touchent bon nombre de problèmes, j’ai déjà parlé de la publicité qui devra être générique ….
(Document CE en 111 articles)On va prendre un exemple sur la CVO, article 7.
” Les autorités Françaises ont confirmé que les CVO ne seraient pas perçues sur les importations.”
Mi Mi va bien rigoler et çà va l’encourager à acheter plus de miel français … ?
Donc, si on revient au financement de l’interprofession, on aura :
– en priorité les apiculteurs français (quelque soit le choix de cotisation, à priori on parle d’un % du CA).
– Les conditionneurs sur la part des achats de miels français et comme les producteurs auraient déjà payé une partie de CVO sur la matière première, çà pourrait éventuellement ne s’appliquer que sur le différentiel entre le prix d’achat de la matière première et le prix de revente à la distribution.
Pour le miel import, pas de CVO sur la matière première et éventuellement les conditionneurs ne vont pas se bousculer comme dans le cas précédent sur ce différentiel.
– La fédération du Commerce et de la Distribution, on attend de savoir sur quoi elle va cotiser ….?
– Le syndicat des fabricants et de distribution de matériel apicole va cotiser sur quoi ? …. et si c’est du matériel d’import ???
Par contre, ce qui est sûr, ce sera le producteur qui a besoin d’outils et de matériel pour travailler et qui au bout de la chaîne aura un surcoût…Quand, on va toucher le portefeuille des producteurs, çà va devenir sérieux ….
Je ne suis pas pour la clandestinité … donc, à chacun de prendre ses responsabilités .” Les autorités Françaises ont confirmé que les CVO ne seraient pas perçues sur les importations.”
Je sais j’ai lu cet article qui date de quelques années.
En décembre 2017 on a rencontré la directrice de la DGPE au ministère de l’agriculture.
http://agriculture.gouv.fr/administration-centrale
Elle était accompagnée de tout un aéropage de juristes spécialisés dans les interpros et les CVOs.
On a discuté justement des CVOs sur les importations et jamais il a été dit que les CVOs ne pouvaient être perçues.
Je crois qu’il faut bien lire ce qui est écrit: “CVO sur les importations”.
J’importe 30 tonnes de miel d’Ukraine, pas de CVO sur la facture de cet achat.
Je mets en pots de 500gr ces 30 tonnes, là, je paye la CVO sur la vente de ces pots en France.
Par contre, ce que je n’ai pas le droit de faire et cela a été également précisé, souligné par la DGPE, c’est utiliser la CVO de cette vente de miel Ukrainien pour une activité qui irait à l’encontre des intérêts des apiculteurs Ukrainiens:
– lutte contre le varroa, ok
– campagne faisant la promotion du miel français, non, interdit avec ce budgetAnonymeil y a 7 années et 6 moisRang: ReineMessages: 159220 pts@Richard
Le coup de la CVO interdite sur le miel étranger est facilement détournable : une CVO sur le CA et on en cause plus.100% d’accord avec toi sur qui paye décide… Un des syndicats (qui n’a pas d’élus…) souhaite commencer doucement en maintenant coute que coute le 50-50 etre les deux collèges, afin d’éviter ces rapports de forces…
Mimiche et cie souhaitent évidemment investir massivement et on s’en doute pas par pure charité… Si les autre syndicats suivent mimiche, on est foutu (c’est déjà ce qui s’est passé le 29 janvier pour partie…)@ Spatz et Mathieu a
C’est bien de croire que nous les français, nous sommes plus malins que les autres européens.
Je pense que sur le volet juridique, pour ce moment on ne va pas parler de légèreté, mais plutôt de naïveté. Pour revenir à cette création d’Interprofession, il y a une volonté du Ministère de l’Agriculture de se débarrasser du problème apicole (entre autres du financement de l’ITSAP et surtout éviter les sanctions européennes, autorité CE habilitée à récupérer une bonne partie des financements CE versé depuis des années), donc on est prêt à se débarrasser du “bébé” …Rappel.
1/ La réglementation européenne prime sur les réglementations nationales.
En clair, cela veut dire que la réglementation européenne doit être transposée dans le droit de chaque pays (en dehors de domaines particuliers définis et encore par exemple en matière de justice, il y a toujours la possibilité de recourir par exemple à la cour de justice européenne et sa décision primera sur les attendus nationaux).
Seules les dérogations (règles particulières justifiées) doivent être acceptées par la Commission européenne.2/ L’encadrement fixé par la CE pour les interprofessions (cela doit en faire une soixantaine et c’est une spécificité françaises) a été fixé en 111 points et accepté pour la France, et à ma connaissance aucune de ces dispositions n’est remise en cause. Autre point, si la France remettait sur la table ces dispositions, il est certain que la version qui en ressortirait serait encore moins favorable !
A moins que l’interpro ait les moyens juridiques de renégocier certains points de cet accord. J’en doute, en plus avec la cohérence avec les autres Interpro. L’acteur ne pouvant être auprès de la Commission que l’état français et je rappelle ce qui a été dit plus haut, le Ministère de l’Agriculture veut se désengager vis à vis de l’Apiculture.
Ce que vous avez appelé élégamment des moyens détournés, c’est de la distorsion de concurrence.
Je vais reprendre l’exemple de Spatz sur 30T importation d’Ukraine, il n’y a pas de CVO.
Maintenant un conditionneur français va mettre sur le marché ce miel et je rappelle que ce sera bien un miel étiqueté “Hors CE” .
Vous croyez que les conditionneurs vont participer à une CVO sur une partie qui est exonérée (le miel en pot, c’est le même que celui en vrac, il n’y a pas de transformation) , donc à la rigueur, ils accepteront la CVO sur la plus-value.
Je rappelle que le miel est un produit utilisé tel que par la réglementation (pas de transformation, uniquement du conditionnement)..
Je vais donner un autre exemple. J’importe 30T de tomates en France, je fais des pizzas, des plats cuisinés, etc… Dans ce cas, je suis soumis aux règles fiscales et para-fiscales du domaine considéré.Puisque Mi Mi fait partie de l’équipe dirigeante, demandez lui sur quoi, il est prêt à payer. J’attends avec délectation sa réponse …
Pour les limites sur l’utilisation de cette CVO, Saptz , il faut aller plus loin dans ce que tu dis.
1/ La CVO ne peut pas nuire aux intérêts d’un fournisseur étranger et des producteurs de ce pays
2/ Les résultats de la recherche doivent être disponibles à tous. En quelque sorte, cela veut dire pas de brevet et par exemple pour un traitement varroa, si molécule nouvelle, elle passe immédiatement dans le domaine public (voir les conséquences sur le fonctionnement de notre ISTAP).
3/ Tu as employé le terme “Campagne faisant la promotion du miel Français, non interdit avec ce budget”
Tu dois enlever le mot “français”
Réf. Chapitre 3.3.4 (article 98 à 110) des règles CE sur les interprofessions
Vous aurez tous compris, que çà ne dérangera pas les conditionneurs et la distribution.
Petite appréciation sur la dernière phrase de Mathieua (Post 139325), qui a le mérite d’être claire :
C’est Mi Mi , qui même le bal ….
@richard
Un moment donné, il faut arrêter de se faire du mal aux neurones.
En décembre, j’y étais, on était au ministère de l’agriculture, toute la clique apicole avec en face des cadors de la fiscalité et de la réglementation européenne, les interprofessions, c’est leur job à plein temps.
Je pense que ces hauts fonctionnaires possèdent les connaissances de base pour savoir ce qu’est du miel ainsi qu’un pot de miel.
Le sujet des importations et de la CVO a été explicitement abordé.
Raison pour laquelle il a même été dit, souligné que en fonction de l’origine de la CVO, on ne peut pas faire ce que l’on veut avec.
Vincent Michaud a aussi dit que pour lui, il était hors de question de payer de la CVO sur les exportations, sinon cela provoquerait une distorsion de concurrence sur ses marchés extérieurs. Ce qui est légitime.A contrario, çà veut dire que la CVO s’appliquera sur tous les produits de la ruche vendus sur le marché français, importés ou non: miel, pollen, reines, essaims, propolis, gelée royale, cire.
Si j’achète des reines en slovénie, je ne paye pas de CVO sur cet achat.
( j’importe car je donne des sous à un slovène qui m’a fait une facture slovène basé en slovénie )
Si je revends ces reines slovènes ou celles que je produis moi même en france, je paye de la CVO, sinon c’est de la distorsion de concurrence justement entre les reines slovènes et les reines françaises.je ne connais pas tous ces bons messieurs
mais une chose m’interpelle et cela a déjà été souligné d’une autre maniere un peut plus haut :
ce qui m’inquiette c’est ces “témoignages” après le communiqué qui sonne un peut comme une feuille de route préétabli ==>> les pro et semi pro récalcitrants et les amateurs seront mis au pas ou exterminé :twisted :twistedSpatz, que tu sois convaincu et impliqué dans la construction de l’interprofession, çà ne me choque pas …. et je préfère ceux qui ne cachent pas leur identité sous leur bonnet ou ceux qui retournent leur veste.
Maintenant en retour, si tu t’adresses à moi, je ne demande pas de la condescendance. (Voir ton expression : “Un moment, il faut s’arrêter de se faire mal au neurones”). J’estime être légitime (et à plusieurs titres) pour avoir une opinion sur le sujet, sans la permission de qui que ce soit, alors qu’en plus j’essaie d’avoir les arguments les plus pertinents (entre autres les textes CE).
Pour être clair, je vais redire mon opinion sur cette interprofession qui est bien plus mal emmanchée que la précédente. Pour rester uniquement dans le collège des producteurs, je pense que la première phase aurait du passer par l’explication, après on aura la phase de compréhension des enjeux, puis l’acceptation, la participation et derrière au final l’investissement et le soutien.
Malheureusement, dans le cas présent, beaucoup trop de choses en catimini , donc incompréhension, rejet et à terme contestation …
Formidable pour quelque chose qui était censé être au bénéfice des apiculteurs !Quand tu parles de la CVO sur les exportations, c’est un peu à ta sauce ou c’est ce que l’on vous a dit.
Donc, ,je donne le texte de l’article 6 .
“Les CVO peuvent en revanche être appliquées aux exportations. Les autorités françaises s’engagent à assurer qu’une fois les produits exportés ne bénéficieront pas de manière équivalente des avantages qui en découlent de l’affectation du produits des CVO, les cotisations respectives seront remboursées proportionnellement”
Pour faire simple, il y a enclenchement des mesures compensatoires.Tu écrit aussi dans ton post “Raison pour laquelle, il a même été dit et souligné que en fonction de l’origine de la CVO, on ne peut pas faire ce que l’on veut avec”
C’est ce que je m’efforce de dire depuis plusieurs posts, comme le problème de distorsion de concurrence que j’ai abordé.
Maintenant, on nous dit “Oui .. Oui … c’est légitime …”Maintenant, pour revenir à ton post 139428 (je ne sais pas si c’était la première fois que tu te rendais au Ministère de l’Agriculture), donc je pense que tu parles des réunions préparatoires qui ont eu lieu début décembre.
Maintenant, Richard n’est pas impressionné par les “cadors” dont tu parles. Déjà pour certains de ces hauts fonctionnaires, c’est eux qui ont élaboré (ou leur service) le dossier Interprofession des accords entre l’état français et la CE. Donc, je les vois mal récuser ce qui est dans ce dossier et d’autant plus puisque c’est un accord Etat-CE, çà,saute d’un cran et ce n’est plus le Ministère d’Agriculture aux manettes, mais le Ministère des Affaires Étrangères qui a validé cet accord avec la CE
Maintenant, tu fais une erreur magistrale en parlant des compétences de ces hauts fonctionnaires sur le sujet apiculture.
Tu as écrit “Je pense que ces hauts fonctionnaires possèdent les connaissance de base pour savoir ce qu’est le miel, ainsi qu’un pot de miel”.
Reviens sur terre, ces gens vont parfaitement connaitre les méandres juridiques (conformité ou pas avec le traité de Rome, jurisprudence de la Cour Européenne, etc…) Aujourd’hui , c’est l’apiculture, demain la betterave à sucre, etc… Je vais te donner une boutade, ils ne savent pas que pour faire du miel si l’abeille régurgite du nectar ou si elle “chie” du miel.En conclusion, tu vois ces gens (rompus aux problèmes juridiques) se contre dire et indiquer des choses inverses aux accords conclus avec la CE.
Réfléchis bien et relis ce que j’ai dit sur l’opération séduction pour repasser le “bébé ITSAP” … Le clé de énigme est là ….!!!
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