20 sujets de 21 à 40 (sur un total de 267)
    • Rang: Reine
      Messages: 9924
      13 pts

      bonsoir
      CVO un sigle que je connais bien , taxe a payé quand on fait de l’exploite forestière et qui soit disant aide les propriétaires forestiers a reboiser , mais c’est une vaste couillonade elle ne sert que les gros propriétaires puisque pour bénéficier des aides il faut prendre un cabinet d’expertise forestière ce qui n’est pas le cas des petits propriétaires , pour déclencher la réclamation de cette taxe , c’est juste le fait de vendre du bois exploité a un scieur quel qu’il soit , c’est lui qui fait démarré le processus une fois que le bois vendu est facturé
      pour le miel je ne voit pas comment ils vont faire a l’exception de court circuité la déclaration du BA
      a + bonne soirée

      AH !! tu sait pas comment ils vont faire !!
      t inquiete pas ils vont trouver !!!a+ :laugh:

        Rang: Reine
        Messages: 2593
        1 pt

        @ Spatz

        Le plus cocasse, c’est que le principal réseau s’appelle “Intermiel” (faite Gogo)

        Par contre Spatz quand tu dis que la situation du marché du miel est absurde, on ne peut que te suivre.

        Un marché où l’offre n’est que le quart des besoins et des producteurs qui n’arrivent pas à vendre leur production. Et je suis bien placé pour te dire que dans le marché du miel en fûts, il y a encore de la récolte de 2016 à vendre.

        Maintenant, tu crois que les conditionneurs français seront plus gentils avec les producteurs, s’il y a une Interprofession.

        Notez bien il y a un loup dans la bergerie … la distribution fera partie de l’interprofession et au bout du compte elle contribuera peu … mais sera influente.

        Moralité. Ce sera pire que pour l’interprofession précédente !

        Maintenant, ceux d’entre vous qui étaient à Clermont au congrès et qui ont assisté à l’intervention de l’acheteur de chez Mi Mi, ne doivent pas être surpris.

          Rang: Butineuse
          Messages: 277

          100 % d accord avec toi je ne vois pas pourquoi l UNAF mais les pieds dans cette mafia
          genre copain à Micheau et compagnie .

            Rang: Faux bourdon
            Messages: 634

            Eh ben les gars, si les syndicats quelque soient leurs tendances vont à l’opposé de ce que souhaitent une majorité, çà va être rock and roll dans les mois qui viennent.
            Pour dire les choses autrement: c’est vrai, si tout va bien pourquoi changer ?

            Ce qui est certain, si on ne bouge pas: ITSAP et ADAs ferment leurs portes plus de financement et grosses dettes. Moi perso, çà ne m’empêchera pas de dormir, mais est ce la bonne direction ?

              Rang: Reine
              Messages: 2593
              1 pt

              @ Spatz

              Dans ce que tu dis, même si tu as raison sur l’absence de financement de l’ ITSAP et certaines ADA ne se portent pas mieux (financement régional + cotisation des adhérents insuffisants).

              Par contre, il y a un gros hic …

              Dans le communiqué pour la création de l’interprofession, on voit les ADAs en première ligne, alors pourquoi un partenaire de cette interprofession aurait lui un tel financement privilégié, même partiel, voir d’autres montages et financement qui remonterait vers l’ ITSAP, via les ADAs. çà ne va pas être simple ! ….

                Rang: Faux bourdon
                Messages: 634

                Dans le communiqué pour la création de l’interprofession, on voit les ADAs en première ligne, alors pourquoi un partenaire de cette interprofession aurait lui un tel financement privilégié, même partiel, voir d’autres montages et financement qui remonterait vers l’ ITSAP, via les ADAs. çà ne va pas être simple ! ….

                Remarque fort juste Richard, raison pour laquelle, il y a deux règles:
                – le participant d’une interpro ne peut pas être bénéficiaire d’un financement de l’interpro
                – les projets à financer sont lancés sur appel d’offre ( c’est la réglementation ), il n’y a donc pas de bénéficiaire attitré
                Autre point essentiel, tout doit se faire dans la transparence la plus totale, d’où l’importance de communiquer un maximum sur le sujet.

                  Rang: Reine
                  Messages: 5420
                  4 pts

                  bonjour
                  je ne connais que très partiellement le fonctionnement de toutes ces institutions apicoles , je n’ai pas eu le temps de mi intéressé de près
                  de ce que j’ai cru comprendre c’est que les organisations qui représentent les api pro sont loin de faire le poids en face des organisation représentants les distributeurs et conditionneurs , et certains syndicats apicoles sont peut être représentatifs en nombre d’adhérents mais sont loin de représenté la profession
                  j’en apprendrais surement un peu plus en suivant ce post
                  a+ bonne journée

                  Salut,
                  Bin, c’est encore plus pire que TOUT ce que tu pouvais imaginer ! Juste une info, dans la version initiale proposée de l’interprofession, la grande distribution avait un droit de véto ! Ca te la coupe, hein? “Ils” ont juste besoin d’esclaves modernes, “on” va finir à 500-600 euros par mois, 80 heures par semaine, comme les producteurs de lait, ou autres professions agricoles!
                  Amen !

                    Rang: Reine
                    Messages: 7371

                    Bien résumé Zaya ;)

                      Rang: Reine
                      Messages: 5420
                      4 pts

                      Bien résumé Zaya ;)

                      Merci Maître, soyez persuadé que je fais de mon mieux, avec mes petits moyens.
                      :kiss: si je peux me permettre !
                      @+

                        Rang: Faux bourdon
                        Messages: 634

                        Dans les objectifs de l’interprofession je lis ” en plus vu toute les subventions qu’on peut déjà avoir il faut pas se plaindre, je vois pas ce qu’il peuvent faire de plus.

                        Fort juste de reconnaitre que certains se bougent le cul en comité apicole avec France Agrimer, c’est grace à eux que tu peux déjà écrire “il faut pas se plaindre” et quand tu écris “je vois pas ce qu’il peuvent faire de plus”, c’est sans doute que tu n’es pas nécessairement au courant de tout, c’est en partageant l’information que cela avance..
                        Et comme tout change, les subventions, aides d’aujourd’hui peuvent parfaitement disparaitre demain, rien n’est écrit dans le marbre.
                        Dans la liste signataire, il n’y a pas moins de 8 syndicats d’apiculteurs pro, pourquoi autant ?
                        Je ne sais pas, mais si parmi les 8, il n’y en a pas un qui te convienne, on va en créer un nouveau.
                        Ou alors cela veut dire qu’il est vraiment stupide que des associations professionnelles se créent pour défendre les intérêts de leur profession. Ok, alors comment on fait ?
                        Pour info, ( chiffres officiels france agrimer) en 2006, il s’importait 57 tonnes de miel d’Ukraine en 2016, 4627 tonnes ( 80 fois plus !!!).
                        Pendant ce temps en France en 2016, on a produit 16000 tonnes alors qu’on a consommé plus de 50000 tonnes.

                          Rang: Reine
                          Messages: 2593
                          1 pt

                          C’est l’objectif N°1 de l’ Interprofession poussée par le Ministère de l’Agriculture pour se décharger des diverses aides en les transférant de fait sur la profession.

                          On va nous dire, au bout du compte ce sera le consommateur qui va payer …. oui et non

                          Pas si simple.

                          – Prenons l’exemple de quelqu’un qui vend sur le marché le Kg de miel à 10 € et le 500 g à 6 € et si l’impact de la CVO est de 10 centimes du Kg, vous croyez que les nouveaux prix seront 10.10 € et 6.05 €. Il y a 9 chances sur 10 que l’apiculteur ne bougera pas son prix et qu’en fait la CVO sera prise sur sa marge.

                          – Prenons l’exemple du conditionneur qui vend à la distribution, dans son prix de revient à la facturation la CVO sera intégrée et le distributeur quand il va former son prix (avec le coefficient magasin) va aussi l’intégrer, donc dans ce cas au bout du compte c’est le consommateur qui l’aura payée.

                            Rang: Faux bourdon
                            Messages: 634

                            Richard, concernant la CVO, rien n’est décidé ni en montant ni en répartition, mais ta remarque n’est pas fausse.
                            Il y a deux sortes d’aides à ma connaissance: france agrimer ( c’est l’europe, pas la france) et ensuite des aides régionales ou départementales. Dans les deux cas, cela bénéficie à toute l’agriculture.
                            Pour l’ITSAP et les ADAs, l’Etat subventionnait de manière transitoire pour permettre le démarrage de ces structures et qu’ensuite la profession prenne le relais. La profession n’a pas su prendre le relais, les pouvoirs publiques disent stop, on arrête; l’apiculture n’a pas à bénéficier d’un traitement différent des autres branches agricoles.

                            Je pense qu’il faut peut être raisonner autrement.
                            Quand tu fais un investissement, c’est évidemment toujours cher, mais si tu le fais, c’est qu’au bout du compte, tu sais que tu vas y gagner en argent, temps, énergie.
                            Là, le raisonnement est identique la question n’est pas la CVO mais ce que l’on peut faire avec et ce que çà rapporte au bout du compte à tous les apiculteurs.

                            Si tout çà est inutile, évidemment, on arrête, on passe à autre chose.
                            On va dire à France Agrimer, que ses subventions elle peut se les garder.
                            Qu’on a absolument pas besoin de sanitaire, on a nos propres recettes.
                            Que l’INRA et autres scientifiques n’ont absolument pas besoin de s’occuper du déclin des pollinisateurs, de l’origine et de ce qu’il faut faire, tout çà coute de l’argent.
                            Que les controles qualités, çà coute et çà ne sert à rien, chacun doit être libre de produire dans les conditions qui lui plaisent.

                            Vous le mettez où le curseur entre la fête du slip intégrale et la bureaucratie tatillonne et stupide ??

                              Rang: Faux bourdon
                              Messages: 682

                              Vous le mettez où le curseur entre la fête du slip intégrale et la bureaucratie tatillonne et stupide ??

                              Spatz tu as tout à fait raison. Il faut absolument que la profession s’organise et l’ITSAP, les ADAs et les syndicats sont indispensables.
                              Mais créer une organisation inter professionnelle qui inclue les importateurs, revendeurs et grandes surfaces, c’est se mettre pieds et poings liés à leur merci.
                              Ces gens la ont des objectifs radicalement opposés à ceux des producteurs et ils pèsent bien plus lourd qu’eux.
                              Toutes les organisations inter professionnelle qui ont été créées ont toutes eut le même résultats :
                              Des actions bidons qui n’ont jamais aidé les petits producteurs mais qui ont perverti les règles au profits des grosses sociétés. Et ce, en faisant financer tout ça par le racket des premières victimes avec cette fameuse “contribution volontaire obligatoire”.

                              Une organisation inter professionnelle, oui… mais que avec des professionnels qui vivent avec les abeilles !

                                Rang: Faux bourdon
                                Messages: 634

                                Toni, tu as raison quand tu dis que les intérêts des producteurs ne va pas nécessairement dans le sens de celui des grandes surfaces, mais:
                                – tu vois de plus en plus de produits bios dans les grandes surfaces
                                – ils mettent de plus en plus en avant les producteurs locaux
                                Pourquoi ?
                                Parce que le vrai patron dans tout çà, ce n’est pas le producteur, ni le commerçant, c’est le consommateur. Car en bout de course, c’est lui qui achète ou pas. Et le consommateur ce qu’il veut c’est de la qualité et avoir le sentiment de faire le bon achat si il est bien informé.
                                Raison pour laquelle par exemple Ispat voit la vie en rose car il est pile poil dans ce que les gens recherchent et c’est très bien.

                                La question de fond maintenant, c’est comment donner envie aux consommateurs pour se tourner vers l’achat de miels produits en France ?
                                Sachant qu’il suffit d’un reportage à la télé où quelqu’un dise “30% des miels produits en France ne correspondent pas à la qualité attendue” pour que soudain sur les marchés on commence à te poser pleins de questions sur l’origine de ton miel, les pesticides, etc….

                                Si en interne, on est incapable de s’organiser pour répondre à la demande en terme de qualité, d’origine et bien on a tout faux. Mais pour çà, il faut s’en donner les moyens.
                                Et les exemples dans d’autres filières agricoles ne manquent pas.

                                  Rang: Reine
                                  Messages: 2593
                                  1 pt

                                  La tenue de ce post est remarquable. En moins de 2 jours, nous en avons appris 10 fois plus que ce que nous avons pu lire sur les revues apicoles de notre choix, c’est à dire presque rien. Honte à non dirigeants nationaux de syndicats et associations apicoles ! …

                                  Merci à Spatz qui anime raisonnablement ce débat.

                                  Précisions sur les aides à l’apiculture (Post 135757)

                                  – Les aides européennes pour l’apiculture sont distribuées à partir d’une enveloppe globale CE, à chaque pays au prorata du cheptel (Ce qui explique, la forte pression l’an dernier, sur les déclarations de ruches et sachant que désormais, tous les pays ont le même modèle). Donc, la France a une somme attribuée (quand, il n’y a pas de retard !) et c’est Agrimer qui gère ces dossiers avec les apiculteurs.
                                  S’il y avait une Interprofession ou plutôt quand il y en aura une, si la CE affecte une aide à l’apiculture, elle continuera à être répartie entre les différents pays, à moins que l’état français l’affecte ailleurs que le destination prévue par les instances européennes, ce qui est plus qu’ improbable (au vu des recours possibles auprès des instances juridiques CE).

                                  – Les aides Agrimer sont des aides à la production (renouvellement de cheptel, matériel, etc.). Il n’y a pas de distorsion de concurrence, car tous les pays ont les mêmes moyens au prorata de leur cheptel.

                                  – Par contre au niveau de l’interprofession (voir en objet de ses statuts, son rôle et ses prérogatives) et pour simplifier, il n’y a pas d’aide directe nominative au producteur. On reste dans le domaine de la recherche, promotion, valorisation de l’image, la qualité, etc..

                                  Donc, il ne faut pas dire, on s’en fout des aides Agrimer. Comme la France participe au budget CE selon sa quote part, elle a droit en retour aux sommes qui lui sont attribuées. Sinon, si le parlement européen disait aux apiculteurs français : Chiche ! … vous ne voulez rien, je pense comme partout en bon politique, ils savent faire ! …

                                  Pour revenir aux aides locales, régionales, etc…, elles sont attribuées à des associations et théoriquement, même si elles bénéficient aux apiculteurs, et ce dans leur diminution des charges d’exploitation, elles sont à la limite de la légalité.
                                  Je vais donner un exemple. Une association fait la promotion de la nécessité de faire la lutte anti varroa et çà a coûté x euros, aucun problème. Par contre si cette même association ristourne par exemple 4 euros par paquet de lanières avec cette subvention, elle n’est plus dans les clous. (Et pourtant, vous allez me dire que c’est courant).

                                    Rang: Faux bourdon
                                    Messages: 682

                                    – tu vois de plus en plus de produits bios dans les grandes surfaces
                                    – ils mettent de plus en plus en avant les producteurs locaux
                                    Pourquoi ?
                                    Parce que le vrai patron dans tout çà, ce n’est pas le producteur, ni le commerçant, c’est le consommateur.

                                    Je connais bien cette “mode” des produits bio dans les grandes surfaces puisque je suis en Bio pour l’huile et l’olive de Nice.
                                    Régulièrement ces grandes surfaces nous demandes ces produits locaux. Après d’âpres discussion pour tirer le moindre centime, vous arrivez à faire affaire.
                                    Vous voyez avec fierté vos produits “en tête de gondole” comme ils disent. Vous voyez aussi qu’ils les proposent au double du prix que vous faites payer à vos clients.
                                    Et puis plus rien pendant des mois. Quand vous passez devant vos produits, vous voyez maintenant qu’ils sont en concurrence avec les mêmes produits “Bio ?” venus de l’autre bout de la planète et 4′ fois moins cher.
                                    Il ne faut pas être naif. Ils ne voient pas cet intérêt grandissant du consommateur pour les produits sains et locaux comme quelque chose qui va les forcer à changer mais plutôt comme une opportunité de marketing. Pendant que nous travaillons pour les nourrir, ils ont des services marketing et juridiques qui étudient toutes les façons les plus juteuses pour profiter de cette tendance qu’ils ont eux même créer à force de nous faire manger de la m…

                                      Rang: Reine
                                      Messages: 1590
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                                      21 pts

                                      Moi j’y vois du positif.
                                      Miche miche et cie, vont prendre position dans cette interpro…
                                      Par exemple, pour que les règles d’étiquetage ,ne changent pas… Ou pour brouiller les pistes sur leurs mélanges de miel…

                                      A nos syndicat de savoir en prendre note et communiquer là dessus.
                                      Pour l’Itsap également il y a du bon si nous pouvons influer sur les orientations.
                                      Il y aura des jeux de pouvoir… A nous de savoir les tirer à notre avantage.

                                        Rang: Reine
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                                        1 pt

                                        @ Mathieu, tu crois encore au Père Noël !

                                        Est ce bien raisonnable ? Quoique pour rêver, tu as encore quelques jours …

                                        Ce qui est sûr, c’est que d’un côté il va y avoir la Fédération du commerce et de la distribution (tu visualises bien qui c’est) et le Syndicat français des miels ( les conditionneurs bien connus) et ce dans un même collège et de l’autre côté un collège de producteurs, si je compte bien avec au moins 7 entités, çà va être un joli bazar … surtout que parmi ce beau monde, il y en aura qui mangent aux deux “râteliers” … Pour sûr, les producteurs, on va être défendu …. par des gens qui discutent en catimini et qui n’ont été foutu d’informer leurs syndicats départementaux de par qui ils dépendent, et encore moins les adhérents.
                                        Petit rappel. Dans une interprofession dans laquelle il y a plusieurs collèges, logiquement c’est la règle de l’unanimité, par contre au sein d’un collège c’est la règle de la majorité simple ou qualifiée. On va voir …. les décisions qui seront prises.

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                                          si je compte bien avec au moins 7 entités, çà va être un joli bazar …

                                          Non, c’est déjà un joli bazar, mais on est des Gaulois, donc c’est normal.

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                                            si je compte bien avec au moins 7 entités, çà va être un joli bazar …

                                            Non, c’est déjà un joli bazar, mais on est des Gaulois, donc c’est normal.

                                            Salut,
                                            De mémoire, c’est à peu près la même bande de joyeux drilles qui géraient l’ITSAP ?
                                            On a vu le résultat ! :sick:
                                            @+

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