[chouchie]

Il faudrait réussir à faire de vrais coopératives.

Ici en bretagne il y a des coins où les gens “cherchent” du miel (même si ça se tasse). Du miel en AB il y en a très peu, tout les apis que je connais ne peuvent pas honorer une grande partie des demandes.

Moi je vends une bonne partie de ma production en poitou-charentes … Région censée être saturée (bon j’ai pleins de contacts, c’est + facile).

Enfin bref il y a plein de coins où le miel se vends, mais le problème c’est qu’il faut accéder aux clients. Et pour l”instant c’est mimiche et montebourg qui s’en occupent …

[Maya79]

Pour 7000 ruches il y forcément plusieurs salariés apicoles à plein temps je dirai au moins 5 plus 5 saisonniers, voir plus donc du boulot pour les saisonniers et pour les salariés certainement des jeunes qui n’ont pas un kopeck, et que le banquier ne vaudrait pas suivre, pour avoir une exploitation en nom propre !![/quote

Ils sont 3 et quatre salariés/stagiaires j’ai bien dit que c’était en projet
Posse des rucher de 70 caisse
Esprit grande surface regarder on est gros mais on embauche…

[Maya79]

Il faudrait réussir à faire de vrais coopératives.

Ici en bretagne il y a des coins où les gens “cherchent” du miel (même si ça se tasse). Du miel en AB il y en a très peu, tout les apis que je connais ne peuvent pas honorer une grande partie des demandes.

Moi je vends une bonne partie de ma production en poitou-charentes … Région censée être saturée (bon j’ai pleins de contacts, c’est + facile).

Enfin bref il y a plein de coins où le miel se vends, mais le problème c’est qu’il faut accéder aux clients. Et pour l”instant c’est mimiche et montebourg qui s’en occupent …

C exactement se qu’il faut faire et beaucoup moi compris se débrouille plutôt bien.
Mais les plus gros marchands font la pluie et le beau temps sur les prix(et la loi..)l’étiquetage pourrait remonter la valeur de l’ensemble du marché du miel français, du petit marché a la vente en fût.