- Ce sujet contient 185 réponses, 49 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Fontaliere, le il y a 3 années et 5 mois.
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Ceux qui vendent les essaims d Italie, vendent aussi les pièges à coléoptères à mettre dans la ruche.
De ce que j’ai compris :
Il y en a eu en Sicile mais ils n’en trouvent plus.
Sinon c’est en Calabre. 8 ruches sentinelles positives et une ruche sauvage en 2020.Mais où c’est bizarre, c’est qu’ils n’ont pas de ruchers infestés dans les zones où il en ont trouvés dans les ruchettes pièges. Donc il devrait en avoir mais personne le déclare.
il y a 3 années et 5 moisRang: ReineMessages: 1449Nb de ruches: 48Localisation : France95 ptsPour mémoire, à la suite de cette “découverte”, il n’y a pas eu une interdiction d’export de cheptel apicole soit des régions concernées, soit du pays tout entier ?
Et si c’est le cas, il y aurait quand même au vu et au su des gens du métier un non respect ?
En tous cas, ce que je retiens, pour autant que les documents officiels soient exacts c’est que depuis l’apparition en 2014, quand même 6 ans, la bestiole semble contenue localement sans être éradiquée.
Où est ce comme tout le reste, tout le monde nous ment ?
Ce serait quand même dommage que les efforts consentis par les locaux ne servent à rien.
Pour rappel quel est actuellement le protocole suivi lors de la découverte d’un nouveau foyer là bas en Calabre ?
J’avais retenu que le coléoptère avait des difficultés à s’établir en présence de sols durs ou argileux ; pour confirmer ou infirmer personne n’a un cousin api en Calabre ? ou un amicci ?salut Seb
on pense a la même personne
a+ bonne journéesalut Seb
on pense a la même personne
a+ bonne journéeSûrement :laugh:, il faut bien fournir les bobos qui mettent des ruches sur les toits des villes….
et si les coléoptères étaient sensibles au COCVID?!!!!!!
non , ce n’est même pas drôle!
en tout cas, si des papé ont calenché à cause du covid, leurs ruches n’ont plus de visites régulières, alors,. attention!
Picoutyet si les coléoptères étaient sensibles au COCVID?!!!!!!
non , ce n’est même pas drôle!
en tout cas, si des papé ont calenché à cause du covid, leurs ruches n’ont plus de visites régulières, alors,. attention!
PicoutySalut
Pour toi, les papés ont quel age ?Mais où c’est bizarre, c’est qu’ils n’ont pas de ruchers infestés dans les zones où il en ont trouvés dans les ruchettes pièges. Donc il devrait en avoir mais personne le déclare.
Sans blague !!!
Si tu déclares un PCR dans une de tes ruches, on te brule tout ton rucher (et tous tes ruchers à 5km à la ronde ?). J’imagine qu’en plus t’es remboursé que dalle à la saint Glinglin.
Bref ça ne doit pas motiver.pour revenir au sujet frelon, un nid détruit hier à 50 mètres derrière mes ruches (avec l’aide du gdsa) pas d’attaque sur mon rucher mais forte pression sur un rucher à 200 mètres plus loin.
Bonjour Lavie,
C’est à la fois impressionnant et déconcertant !
Je tiens à mes ruches, mais à titre personnel, je ne me vois pas faire ça… quid du coût si je passe par un professionnel ? Est-ce à nous de faire ça ? Que fait l’Etat ?
Y’a-t-il un intérêt à le faire ? Si on en croit nos scientifiques aucun (vaut mieux racheter des essaims ).
Bref, on n’est pas sortie de l’auberge !
Haute-Savoie
Un dispositif innovant testé à Annecy pour traquer les frelons asiatiques
Pour freiner une expansion exponentielle du frelon asiatique l’été prochain, la filière apicole haut-savoyarde menacée fonde de grands espoirs sur la télémétrie pour localiser les nids du tueur d’abeilles. Expérimenté avec succès à Genève cet été, le dispositif visant à équiper les insectes capturés de nano-émetteurs pour les traquer avec une antenne radio portative jusqu’au nid, a été testé mercredi 18 novembre au centre horticole d’Annecy, une première régionale. La Ville d’Annecy réfléchit à investir dans cette technologie innovante pour lutter plus efficacement contre l’insecte qui ne cesse de gagner du terrain en Haute-Savoie depuis son apparition en 2016. Explications avec François Lavorel, référent frelon asiatique sur le bassin annécien le plus touché et président du Rucher des Haras.Par Vincent BOUVET-GERBETTAZ – 06:05 – Temps de lecture : 1 min
On a beau dire, mais quand les américains font quelque chose, ils ne le font pas à moitié :
https://www.theguardian.com/us-news/2020/oct/24/washington-state-murder-hornet-nest-destroyed
Ben là c’est toi qui est tombé dans le storytelling américain ! Le but c’est pas d’avoir la meilleure combi, mais de trouver les nids.
il y a maintenant 3 ou 4 ans que j’ai du FA sur mes ruchers; quand il y en a 1 en permanence sur le rucher je reste un ou 2 après-midi avec mon filet a papillon et je biberonne ( une dizaines a chaque fois) et la pression redescend tout de suite .
Ben là c’est toi qui est tombé dans le storytelling américain ! Le but c’est pas d’avoir la meilleure combi, mais de trouver les nids.
Bonjour Chouchie,
Je voulais surtout souligner que les américains se donnaient les moyens, dés le début de l’invasion. Malheureusement, on constate ici les limites de l’approche à la Française. On analyse et ensuite on passe à l’action (ce qui en soit marche pour beaucoup de domaines, mais pas quand il s’agit d’espèces invasives où le temps joue contre nous). Alors que les américains passent à l’action et ne laissent aucun répit aux frelons géants.
Déjà en France on s’en est aperçu la deuxième année, c’était déjà trop tard. Dans l’article ils disent aussi qu’il y a sûrement d’autres nids. Bon j’espère pas pour eux.
Malheureusement pour eux, si il y avait un nid, cela m’étonne qu’il y en ai pas d’autre, et je pense que si il est arrivé chez eux, il va arriver chez nous, le commerce international hélas.
Allez, combien de conneries en 20 lignes…
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