Étiqueté : apiculture
- Ce sujet contient 33 réponses, 12 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par CDSJO, le il y a 2 semaines et 5 jours.
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Bonjour
oui ce n est pas facile quand on est entouré de pros avec dés Buckfast ou autres.
J ai 14 ruches, dont 10 en noires, et le reste en « abeilles de gouttières ».
J’utilise des cadres à jambages, qui produits le nombres de mâles que la reine décide, cela augmente un peu le nombres de mâles noires dans le secteur de mon rucher.
Il est vrai que les métisses sont un plus belliqueuse que les autres.Perso, j’ai de la Buck, de la Caucasienne et pour au moins 50% de mon rucher de la locale multi hybridée de chez multi hybridée .
J’ai eu des soucis de colonies agressives, pas seulement sur les races hybrides d’ailleurs, et dans ce cas, je suis radical !
Je claque la reine, je déplace la ruche de quelques mètres sur le ruchers pour perdre les butineuses (elles se feront recueillir par les ruches les plus proches) et une semaine après je claque les cellules royales. J’introduis un beau cadre d’œufs de ma colonie la plus douce et je laisse faire.
Une sorte de sélection “massale” et à aujourd’hui mon rucher est super sympa à travailler. je ne vois pas la différence entre mes “locales” et mes races “pures”.Chez moi, il y a des Apiculteurs PRO et des Amateurs.
Je ne veux pas de BUCK, j’avais récolté un énorme essaim juste derrière mon rucher, il ne m’a que causé des soucis en poluant mes colonies futures.
Je fais de l’élevage de mon rucher, de temps en temps je garde un essaim pour complèter mon rucher limité à 10 (rucher couvert).
Je vois des abeilles noirs, donc des mâles venus je sais d’où !
Mes Abeilles sont toutes douces, visites et récoltes en short et the short, j’ai pas de camisole.
D’ailleur l’an dernier, 3 classes de maternelles ont eu la joie de voir l’intériezur de 2 colonies, Reine, couvain de tout âge et abeilles émergeantes.
Il faut dire que cela s’est fait à la demande de l’école chapauté par une “maison de la nature de Muttersholtz.
SalutationsIl est devenu presque impossible de maîtriser la fécondation sauf pour de grosses unités ou des secteurs très isolés.
La présence de ruches à proximité, quelque soit la race est un +, ce qui pénalise, c’est l’absence de mâles en quantité.
La buck n’est pas réputée pour son caractère d’essaimage , sinon, le métissage on n’y échappe pas.oui , difficile de conserver une variété à peu près pure . .moi j’aidébuté en 2008 avec des essaims récupérés , il y avait de tout . Petit à petit , j’ai introduit des doses de Buks .et j’ai noté une grande différence sur la douceur et la prolificité . Mais je n’ai aucune idée préconçue sur le fait qu’il faudrait ou pas telle ou telle variété .
A ce jour , Mes hybrides tendance buks , me conviennent parfaitement, car globalement assez douces et assez prolifiques pour moi .
Juste quelques mots par rapport au message de rhinauer .Je ne sais pas dans quelles conditions tu as pu montrer aux enfants de maternelle .
C’est une demande qui m’a été faite plusieurs fois par des enseignants , j’ai refusé , et je m’en suis expliqué . Je m’interdis absoluement d’amener des enfants ur le rucher , car si un seul se fait piquer et qu’il est allergique …..
Que fait on ?
Qui est le responsable ?
ça peut aller trés loin , et moralement , on doit prendre une claque !!!A JCP,
Les enfants ont suivi des cours sur les Abeilles, par la Maison de la nature et son encadrement a été fait par la dame qui a apporté des vêtements corps complet pour les enfants.
Je n’aurais jamais fait cela si j’ai des Abeilles nerveuses.
Une fois devant la ruche ouverte, les enfants bien répondu à la maîtresse aux questions posées.
Revenu dans la cour, j’ai fait une démonstration de marquage de Reine (avec des Faux Bourdons).
Ils ont goutté au Miel, mais aucun parent n’est jamais venu pour prendre du Miel et c’est comme ça de nos jours.
Il faut savoir que c’était de jeunes colonies, essaim naturel ou artificiel, mais avec des Reines en ponte et il faisait beau.
Personne n’a été piqué, même pas moi en short et the short comme toujours.les abeilles locales quand il y en avait encore et plutôt un peu noires avaient réputation d’être un peu plus agressives que les sujets d’importation qui avaient été un peu plus sélectionnés sur le caractère de la douceur. Par la suite les apis (plutôt avec des noires et je parle de plusieurs dizaines d’années en arrière) accusaient les croisements d’augmenter l’agressivité. Moi j’avais plutôt constaté le contraire. Comment des croisements avec une variété comme les bucks augmenteraient le caractère agressif, je suis septique. Si tes noires étaient vraiment très douces et que des fécondations croisées avec certaines caucasiennes cela pourrait être le cas.
le caractère abeilles qui se défendent est pour moi un signe d’abeilles pas trop dégénérées par la sélection “artificielle” humaine. Et je préfère cela surtout à cause des multiples autres caractères défaillants (que les sélectionneurs ne prennent pas en compte) et qui nous compliquent le métier.Je m’adapte très bien à l’agressivité de mes abeilles (quand elles le sont). Quand je peux je privilégie les jours fleurs et fruits du calendrier lunaire et planétaire. J’évite les jours feuilles et bien sur le temps météo et certaines heures ont toute leur importance. L’endroit ou la colonie est posée a selon moi toute son importance (en fonction de la géobiologie). Essayer en déplaçant ne serait ce que de 50 cm à un mètre peut suffire à diminuer l’agressivité d’une colonie réputée méchante. L’attitude de l’api a aussi toute son importance dans sa manière de les aborder.
Bonjour
la Geobiologie joue avec les Abeilles.
J ai mis trois ruches dans un nouvelle endroit….les 3 me « démontent » à chaque fois que je les ouvre et même avant.
J ai regardé, testé: il apparaît que je les ai installé toutes les trois sur une ligne tellurique.
Une fois déplacer que quelques mètres, elles sont retrouvées leurs calmes.Ca ne coûte pas grand chose d’essayer dans le cas d’agressivité avérée. Des petits déplacements de 50 cm en 50 cm (avec un intervalle de temps suffisant) pour que les butineuses rentrent. Cela pour la plupart des apis qui ne sont pas entrainés à la géobiologie.
il y a 2 semaines et 6 joursRang: ButineuseMessages: 423Nb de ruches: 20Localisation : 38080 Saint-Marcel-Bel-Accueil10 ptsBonjour
la Geobiologie joue avec les Abeilles.
J ai mis trois ruches dans un nouvelle endroit….les 3 me « démontent » à chaque fois que je les ouvre et même avant.
J ai regardé, testé: il apparaît que je les ai installé toutes les trois sur une ligne tellurique.
Une fois déplacer que quelques mètres, elles sont retrouvées leurs calmes.Bonjour, je serais curieux de savoir comment vous identifiez que vous êtes sur une ligne tellurique ?
Bonjour Olivier
J’utilise 2 type d’objet pour savoir si je suis sur une ligne ou un noeud.
J’ai les basiques Baguettes « de Sourciers » et également un lobe antenne, plus précisément un lobe « de Gumi ».
Avec ces 2 objets, je vérifie, je recherche si mes ruches sont sur des noeuds, des lignes.Des colonies repérées agressives s’étaient calmées une fois transhumées. Ce sont des constats de pas mal d’apis. Mais les endroits ou sont précisément installées les ruches ont une certaine influence sur la vitalité des abeilles. Elles peuvent être plus ou moins favorisées ou défavorisées ou dans la neutralité. C’est ce qu’a démontré une étude faite en Suisse.
Pour ceux que çà intéresse :apiculture.com/files/26/Autres-origines/1094/Geobiologie-et-Apiculture.pdf?preview=1
Sinon j’utilise pour ma part les baguettes coudées (Rod masters) et un pendule. Les situations cosmo telluriques plus ou moins bonnes ou mauvaises dépendent de pas mal de phénomènes : réseaux telluriques avec d’une part des lignes négatives et d’autres positives et aussi les configurations de superpositions et croisements. Il y a aussi les failles + les courants d’eaux souterrains + les cheminées cosmo telluriques : des situations pouvant avoir des influences sur les êtres ou végétaux stationnés sur les endroits en question.
il y a 2 semaines et 5 joursRang: ReineMessages: 1524Nb de ruches: 48Localisation : France189 ptsPour répondre à la question posée et à la totalité des débutants :
Que cherche t’on au travers de la possession d’une colonie d’abeilles ?
Souhaite t on produire du miel ? Observer les abeilles ? Contribuer au maintien de la biodiversité ?
Toutes les abeilles savent faire cela mais certaines produisent un peu plus, d’autres essaiment un peu plus, d’autres consomment un peu plus, d’autres piquent bien alors que certaines presque pas.
Cela dépend aussi du débutant, par exemple, s’il ne craint pas les piqûres, il n’y a aucune restriction de race.
Cela dépend aussi du positionnement de la ruche (voisins à proximité ou pas).
Chaque apiculteur confirmé conduit “sa race d’abeilles” un peu comme on a sa marque de voiture, parce qu’elles semblent les plus adaptées au pays, ou souvent parce que c’est la race qu’on préfère.
Il n’y a pas d’abeille qui s’adapte à l’apiculteur mais il y a un apiculteur qui fait au mieux avec les abeilles dont il dispose et il y a aussi l’abeille qui colle le mieux au lieu qu’on aura choisi.
Dans un autre monde, il y aurait une race peu sensible aux maladie, peu agressive, supportant les trous de miellées, produisant beaucoup et consommant peu.
Dans ce monde ci, elle n’existe pas.
Nous avons à disposition une abeille locale plus ou moins métissée, une abeille issue de X croisements volontaires que tout le monde connaît, des races d’abeilles issues d’autres régions ou pays réputées pour leur douceur, leur volume de production, leur faible consommation, leur développement très important et enfin une abeille issue du croisement systématique de 2 races.
Du fin fond du Béarn, ce serait malhonnête de conseiller une abeille pour un débutant d’une autre région du pays ; à un débutant du coin, j’exposerai le biotope et le climat qui nous concerne puis les races d’abeilles susceptible de s’y adapter au mieux.
IL appartient donc à chaque débutant qui souhaite mettre toutes les chances de son côté, de contacter plusieurs apiculteurs pros ou amateurs confirmés, peu importe de savoir avec quelle abeille ils travaillent et pour quelles raisons.
Ne pas non plus perdre de vue, qu’au bout de 1, 2, 3 ans notre colonie aura essaimé, que la nouvelle reine donnera peut être des abeilles différentes en se rappelant que les mâles couvrant la zone de fécondation ont une action très importante dans la détermination de la future colonie, ce qui est un autre sujet.
J’ai oublié de préciser, contacter des apiculteurs à proximité, il y en a de fréquentables.il y a 2 semaines et 5 joursRang: ReineMessages: 1524Nb de ruches: 48Localisation : France189 ptsBon l’âge est là et les limites de votre serviteur sont atteintes.
Sur la fin de mon message, je voulais dire qu’il appartient à chaque débutant d’essayer de contacter des apis expérimentés voisins, pour connaître la race d’abeilles qu’ils “utilisent” et quelles en sont les raisons.
Mea culpa.
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