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ZAYA_26740, le il y a 5 années et 3 mois.
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Bonjour , c est la première fois que j utilise des lanières Apivar ,
Question bête . Ont elles une odeur particulières ?si oui laquelle.
Merci.Bonjour , c est la première fois que j utilise des lanières Apivar ,
Question bête . Ont elles une odeur particulières ?si oui laquelle.
Merci.Bonjour,
La substance active est l’amitraze, un pesticide à l’odeur désagréable. Poreuses, les lanières en sont imbibées pour pouvoir rester actives pendant au moins un cycle de couvain.L amitraze sent très mauvais, mais bizarrement les lanières apivar ne sentent rien.
Bonsoir,
Vous vivez dangereusement ! :ohmy:
L’amitraz est très volatile, et c’est très déconseillé de le “sniffer” car potentiellement cancérigène, par ailleurs produit interdit en Suisse.
A bientôt,…………………………..peut-être ,
@+Les apis, il faudrait lire la notice du produit que vous utilisez (voir Vsbee pour la durée du traitement).
Il y a une autre notion à bien comprendre pour faire un traitement correct : Le mode d’action du médicament !
La molécule citée (propriétés acaricides) peut être administrée sous plusieurs formes.
– Substance liquide déposée sur un support avec une action par évaporation.
– Substance intégrée dans une lanière qui va libérer la molécule d’une manière calibrée et dans la durée (même principe que le collier anti tiques pour votre chien), l’action se fera par contact.
Ce qui veut dire que les lanières doivent “tremper dans le couvain” de façon que les nourrices soient porteuses de la molécule acaricide, les varroas pour se reproduire rentrent dans les cellules juste avant l’operculation, donc passent par ces abeilles nourrices.Donc, pour revenir à la question initiale, pour une lanière Apivar, il n’y a pas de dégagement gazeux (donc, odeur ?) . Les micros cristaux sous forme solide qui perlent en surface du support, se fixent sur les pattes et les poils du corps des abeilles, donc font leur effet sur les varroas.
Salut à tous,
les lanières doivent “tremper dans le couvain”
Et quand on dit tremper dans le couvain, ça veut dire que la lanière ne dépasse pas au dessus des cadres, comme je le vois trop souvent lors de mes visites TSA.
Certes, elles seront plus faciles à enlever mais leur efficacité sera réduite d’autant.Avec l’amitraz , mettez des gants !!!
Merci pour ces explications…
Vous connaissiez l’existence de ça ?
https://www.latiendadelapicultor.com/medicamentos-contra-varroa/amicel.htmlNon, moi je ne connais pas et je ne sais pas ce que cela vaut , mais c’est aussi de l’amitraze
Si j’ai bien compris ils l’appliquent 2*12j pour couvrir toute la duréee de la ponte à l’éclosion
Par contre je n’ai pas vu le prixle prix 106€ le l mais n’est pas dispo sur internet
par contre sur ce site Apivar est a 15€ mais n’est pas en stock !
cherchez le(les )pigeons :twistedCe qui fait en gros 2€/ ruche, Alors que l’Apivar(par le GDSA) aux environs 5 €/ruche.
Mais l’efficacité est elle la même?L’apivar est dosé pareil
Sauf si c’est une copie, pas de raison que ça ne fonctionne pas ?!?
Par contre effectivement la différence de prix….. ça fout les boules :twistedil y a 5 années et 4 moisRang: ReineMessages: 1535Nb de ruches: 48Localisation : France205 ptsOui, c’est pareil pour le miel ! ! !
Pour ceux qui s’emballent bien vite !
Bien savoir que ce sont des lanières “maison” , qui sont faites à partir d’une seringue de 10 ml par support.
– Nous savons très bien (voir l’incident majeur avec l’Apitraz) que la libération de la molécule dépend du support.
– Il y a une étude sur ce produit ???
Donc, parmi les dérives : le surdosage (rien n’empêche d’en mettre plus, tant que la lanière pourra en absorber). le temps d’utilisation après la fabrication, les conditions de stockage (température et humidité).
Dernier point, je n’ai pas vu d’agrément avec une AMM ?
N’ oublier pas que derrière, vous aurez du miel à mettre sur le marché !
il y a 5 années et 4 moisRang: ReineMessages: 1535Nb de ruches: 48Localisation : France205 ptsJusqu’à la généralisation des lanières, on a traité plus de 600 ruches avec ce genre de support, on y a survécu, mais c’est vrai que les résultats étaient inégaux.
Quand on a affaire à des pays, même voisins, dont les revenus sont inférieurs aux notre, c’est tout qui est décalé, le prix du miel bien sûr mais aussi le prix des appros.
Les fabricants, pour imposer leur produit adaptent leur prix aux moyens des clients qu’ils ont en face.
On peut trouver ailleurs la même chose pour moins cher, mais comme on n’a pas l’intention de brader notre miel, c’est chacun qui voit…..
On peut voir là que les fabricants de lanières et autre font de la marge.@ CDSJO
Tu ne dois pas être sans savoir que pour un médicament (médecine humaine ou vétérinaire pour les animaux), obtienne une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché), ce qui est un minimum de sécurité pour le consommateur, il faut mettre en place une procédure longue (jusqu’à 2 ans, voir plus) et forcément coûteuse au vu des essais réalisés sur l’efficacité du produit et les résidus au niveau alimentaire pour ce qui est notre cas, donc des charges à inclure dans le prix de revient du médicament, donc son prix de vente.
Donc, il ne faudrait pas trop simplifier les choses.
Oui par le passé, faute de solutions, on a utilisé des méthodes de ce type, sauf qu’à l’heure actuelle on a une exigence sur la qualité alimentaire.
De plus d’être producteur, j’ai une responsabilité sur la mise sur le marché de quantités importantes de miel et depuis quelque temps, on nous sort des analyses pointues de tout genre. (Ce n’est pas celui que vous pensez, mais la plupart des conditionneurs importants font faire leurs analyses en Allemagne).
A titre d’exemple, récemment, on nous a mis un retour d’analyse avec présence de glyphosate.
A la question : Combien ? Réponse 5 fois moins que la LMR (Limite Maximale de Résidus).
Donc, pas de quoi fouetter un chat ! et bien que si !!! … On nous a rétorqué : Oui le miel est bien bon …, mais il a bien des traces …. Je ne vous parle pas d’autres analyse de ce genre (une bonne dizaine et toutes toujours en dessous de la LMR) …Que l’on soit, 5 fois, 10 fois, 100 fois moins que la dose maximale, les remarques de suspicions pleuvent …, donc vous devinez la suite avec les pressions (bien sûr commerciales).
Dernier point, dans cette situation, on va rigoler, (et c’est déjà le cas) quand on va demander aux apiculteurs leur registre d’élevage ! ….
A Richard
Nous ne parlons pas là du produit à mettre soi même sur un support (comme tu nous le rappelles …et à raison) mais sur le même site de vente, de véritables lanières apivar .@ CDSJO
Tu ne dois pas être sans savoir que pour un médicament (médecine humaine ou vétérinaire pour les animaux), obtienne une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché), ce qui est un minimum de sécurité pour le consommateur, il faut mettre en place une procédure longue (jusqu’à 2 ans, voir plus) et forcément coûteuse au vu des essais réalisés sur l’efficacité du produit et les résidus au niveau alimentaire pour ce qui est notre cas, donc des charges à inclure dans le prix de revient du médicament, donc son prix de vente.
Donc, il ne faudrait pas trop simplifier les choses.
Oui par le passé, faute de solutions, on a utilisé des méthodes de ce type, sauf qu’à l’heure actuelle on a une exigence sur la qualité alimentaire.
De plus d’être producteur, j’ai une responsabilité sur la mise sur le marché de quantités importantes de miel et depuis quelque temps, on nous sort des analyses pointues de tout genre. (Ce n’est pas celui que vous pensez, mais la plupart des conditionneurs importants font faire leurs analyses en Allemagne).
A titre d’exemple, récemment, on nous a mis un retour d’analyse avec présence de glyphosate.
A la question : Combien ? Réponse 5 fois moins que la LMR (Limite Maximale de Résidus).
Donc, pas de quoi fouetter un chat ! et bien que si !!! … On nous a rétorqué : Oui le miel est bien bon …, mais il a bien des traces …. Je ne vous parle pas d’autres analyse de ce genre (une bonne dizaine et toutes toujours en dessous de la LMR) …Que l’on soit, 5 fois, 10 fois, 100 fois moins que la dose maximale, les remarques de suspicions pleuvent …, donc vous devinez la suite avec les pressions (bien sûr commerciales).
Dernier point, dans cette situation, on va rigoler, (et c’est déjà le cas) quand on va demander aux apiculteurs leur registre d’élevage ! ….
Richard, tu serais bien surpris de certains raccourcis sur des AMM de générique pour l’humain parfois.
Pour moi, détenir une AMM n’est pas le sésame à tout…Là où je te rejoins, c’est que l’on a une obligation envers le consommateur et on ne doit pas faire n’importe quoi!
On reste responsable de nos produits et même si les soucis apparaitrons dans longtemps, on doit avoir la meilleure ligne de conduite envers nos abeilles (nécessité de traiter) et nos consommateurs (Nécessité de ne pas traiter n’importe comment)Sinon, c’est quoi le soucis avec APITRAZ?
Le véto de mon GDSA a remplacé l’Apivar par cela, j’aimerai savoir.
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