- Ce sujet contient 63 réponses, 22 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
chouchie, le il y a 5 années et 5 mois.
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Tu es sur que c’est bien apivar et non apitraze ,car c’est le générique apivar??
DDM du lot, tu l’as connais ou pas ?
Tu es sur que c’est bien apivar et non apitraze ,car c’est le générique apivar??
DDM du lot, tu l’as connais ou pas ?
Oui, oui c’est bien apivar.
J’ai plus les emballages donc je ne connais pas la ddm par contre je peux garantir qu’elles n’étaient pas périmées, je regarde toujours quand je les récupère.
Je me suis fait avoir une fois
J’ai plus que le numéro de loton a parlé ici d’une méthode par augmentation de la température pour faire baisser la pression du varroa; avec les températures que l’on a eu cet été on aurai put penser que la situation serai moins catastrophique . je suis dans le meme cas que beaucoup d’entre vous et pourtant je penssais avoir fait ce qu’il faut : acide formique a l’automne un passage bee vital en hiver et au printemps,retrait du couvain de mal durant la saison (contage ace moment mais rien de catastrophique);
on a parlé ici d’une méthode par augmentation de la température pour faire baisser la pression du varroa; avec les températures que l’on a eu cet été on aurai put penser que la situation serai moins catastrophique .
et tu as mesuré 48°c dans ta ruche en haut et en bas ??? je pense pas…
non et pour cause je ne vois pas la nécécité de le faire
et puis tout est une question de moyen $$$Cette méthode thermique de destruction du varroa, certes si elle est bonne en théorie, et peut être envisagée en labo. Je veux dire dans un espace dont on a l’énergie pour le faire et les moyens précis de contrôler les températures au degré près.
Sur une exploitation, c’est une utopie.
Bonsoir,
Bin justement, la première conférence sera faite à Avignon Simapi sur ce thème.
A voir…………..
@+Justement Zaya, à voir … ,
Comme, je ne vois pas, je me pose tout simplement les questions suivantes :
– Quel moyen(s) thermique(s) pour produire cette chaleur et la maintenir dans le volume de la ruche le temps nécessaire à l’opération ?
– Quel système pour homogénéiser les températures au cœur du couvain, dans l’espace ruche (volume variable selon le type, avec hausse ou sans hausse) ?
– Quel système de contrôle des températures ? Quel type de régulation ? Où se trouve la sonde ?
(voir la plage étroite entre la mort du varroa et la préservation des abeilles, des larves, des œufs, etc.. et les risques d’effondrement des cires).
– Combien de temps pour traiter une ruche ?
– Ergonomie, portabilité du matériel qui doit être déplacé dans un rucher, donc en extérieur ?
– Le coût (prix de revient de l’opération par ruche) ?
– Le contrôle de l’efficacité de l’opération ?Sans doute, j’oublie d’autres questions !
(ou, je m’en pose trop !).Salut richard86,
Tu veux que je demande l’autorisation de filmer la conférence ?
J’te garantie pas, mais j’peux essayer ……
@+Pas de problème Zaya.
Je pense que ces conférences seront reprises dans les revues apicoles telle que l’Abeille de France (qui me semble t’il est le partenaire de cette manifestation).Maintenant, si je me fais critique sur une telle méthode, ce n’est pas sur le principe qui est irréfutable (le delta température qui élimine le varroa), c’est sur sa mise en œuvre).
Il y a déjà pas mal d’années, sur un congrès Apimondia, dans un pays de l’Est (Varsovie, sur toute réserve), un laboratoire russe avait fait une présentation tout à fait cohérente de la méthodologie pour faire ce traitement…, mais c’était une démarche “laboratoire expérimentale” et non une technique dans une exploitation.Anonymeil y a 5 années et 7 moisRang: ButineuseMessages: 3713 ptsil m’est arrivé de trouver les lanières d’APIVAR complètement sèches à l’ouverture d’une plaquette neuve.!… efficacité à tester absolument. et si rien ne tombe, compléter par AO si le dernier pchitt remonte à + de 6 mois.
Bonjour,
Il me semble moi que les lanières d’Apivar sont “sèches” à l’ouverture d’un sachet neuf (ou pas).
Du moins, rien n’y coule, et ça ne parait pas mouillé. Jamais vu ça!
Quand à conseiller ici (sur ce forum ouvert à tous), un autre protocole, je crois qu’un vétérinaire serait plus habilité.
Après…………. pour ma part.Si..!! les lanières d’amitraze sont en général humectées par l’excipient . on le voit très bien à l’ouverture . bien évidement ça baigne pas dans l’huile…!!
pour ce qui est de la fréquentation du forum. Je le pratique le “bistro à pagnol”de puis 5 ans , j’ai été jusque là, satisfaite d’être c conseillée par des personnes de terrain qui m’ont évité bien des erreurs.
ceux que nos questions d’amateurs soulent, ne sont pas obligés de répondre. A bon entendeurs salutPour dépanner un pote très en retard, je suis passé chez le veto chercher de l’apivar Et il m’a donné de l’apitraz A la place au même prix.
Quand j’ai demandé s’il avait bien une amm en France, son assistante a regardé le paquet et m’a trouvé un mode d’emploi en français…
Bref, c’est plus une pharmacie qu’un veto…Sinon, les lanières sont plus longues, je pense qu’il doit bien y avoir une raison…
On est vraiment des vaches à lait
Il y a 2 longueurs pour apitraz 25 cm ou 30 cm suivant le type de ruche utilisé, pour que la lanière descende jusqu’au bas du cadre.
Il y a 2 longueurs pour apitraz 25 cm ou 30 cm suivant le type de ruche utilisé, pour que la lanière descende jusqu’au bas du cadre.
Bonjour,
Alors on est en droit de se demander, si l’Apivar qui existe en une seule longueur est bien adaptée à la Dadant ? Bin oui, dans ce cas elle serait trop courte !
Pour la Langstroth, pas contre ça correspondrait mieux !
Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ces AMM ! J’ai plutôt l’impression de jouer au qui perds-perds!
@+Bonsoir,
Tu as mieux à faire ! :ohmy:
Passe en BIO est le problème est réglé !
@+j’ai vinifié 2 ha de bio d’un adhérent de ma cave…Pour 2000 bouteilles 900 € pour ecocert…!!!!pour pouvoir étiqueter et vendre….
Salut,
Pour aller au bout de la réflexion puisque ta remarque est d’ordre économique, n’oublions pas de préciser que si il a payé 900 de certifications, il a du par contre certainement recevoir un crédit d’impôt de 3500, en tant qu’exploitant bio…Je viens de recevoir ce mail du GDSA 29
Message à l’attention des OSAD, à diffuser aux adhérents
Bonjour,
Nous tenons une nouvelle fois à attirer l’attention des apiculteurs sur l’importance de surveiller l’efficacité du traitement de lutte contre le varroa réalisé en fin de saison.
Il arrive que malgré le respect des préconisations du fabricant (sur la notice) et du prescripteur (sur l’ordonnance), le traitement ne produise pas l’effet désiré et que les colonies souffrent d’une pression parasitaire anormale en cette période de pré-hivernage. Ceci peut se traduire par des chutes journalières de varroas en quantité très élevée et dans les cas les plus graves par des signes cliniques de varroose (abeilles aux ailes déformées, couvain abandonné, parasité, mortalité de nymphes, etc.) et conduire à un effondrement des colonies dès l’automne ou durant l’hiver et le début du printemps.
Il s’agit d’un défaut d’efficacité du traitement qui, dans certains cas, peut être en lien avec le médicament lui-même et mérite à ce titre d’être signalé.
Nous invitons donc les apiculteurs :
– À effectuer un test d’évaluation du niveau d’infestation, tel que décrit dans l’article publié par la FNOSAD dans sa revue La Santé de l’Abeille N°293. (Article en pièce jointe)
– À signaler à leur OSAD et leur vétérinaire conseil, ainsi qu’à l’OMAA dans les régions où ce dispositif est mis en place, tout constat de défaut d’efficacité.
Des échecs de traitement ont d’ores et déjà été signalés cette année par des apiculteurs qui ont perdu parfois de nombreuses colonies, des cas ont fait l’objet de visites d’acteurs sanitaires et des problèmes de résistance à l’amitraze ou de défaut majeur d’efficacité du médicament sont suspectés.La FNOSAD qui assure une veille de l’efficacité des traitements réalisés avec les médicaments autorisés (en France) depuis 2007, observe depuis plusieurs années des défauts d’efficacité inquiétants avec certains médicaments et effectue les déclarations de pharmacovigilance correspondantes. Les résultats des suivis d’efficacité de la FNOSAD sont publiés chaque année dans le N° de Mai-Juin de La Santé de l’Abeille sur son site https://www.sante-de-labeille.com/anciens-sommaires-et-editoriaux. L’article de 2019, paru dans La Santé de l’Abeille N°291 est joint à ce mél.
Les varroas auraient ils développé une résistance à l’Amitraze ??
Depuis des années que le varroas est traité à l amitraze, c’est tout à fait normal qu’il y devienne résistant.
J’ai un collègue qui a fait 4 passages au fogger, il tombe toujours autant de varroas, c’est bien qu’il y a un soucis.
Un autre collègue qui a mis l apivar, après le traitement au comptage il y a 14 varroas pour 100 abeilles !!Je pense que la nature arrive toujours à trouver une parade pour les molécules chimiques crées par l homme.
( résistance au insecticide, au herbicide etc….)Bonsoir,
Tu as mieux à faire ! :ohmy:
Passe en BIO est le problème est réglé !
@+j’ai vinifié 2 ha de bio d’un adhérent de ma cave…Pour 2000 bouteilles 900 € pour ecocert…!!!!pour pouvoir étiqueter et vendre….
Salut,
Pour aller au bout de la réflexion puisque ta remarque est d’ordre économique, n’oublions pas de préciser que si il a payé 900 de certifications, il a du par contre certainement recevoir un crédit d’impôt de 3500, en tant qu’exploitant bio…Bonjour,
Juste pour info, si la personne n’est pas imposable, revenus faible, est-il prévu un chèque en provenance du fisc ?
Merci
@+
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