- Ce sujet contient 53 réponses, 19 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Isarn, le il y a 3 années et 9 mois.
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Pour Kramer
La loque américaine n’est pas une maladie fantôme come tu le dis
Sa propagation se fait par la dérive et le pillage des abeilles uniquement des colonies malades et affaiblies par la pathologie et donc transport des sporesPar maladie fantôme j’entendais maladie que beaucoup rencontrent tôt ou tard mais dont on parle peu vu pour les raisons évoquées plus haut.
Pour en revenir au sujet initial de la déclaration d’un cas de loque américaine, on retrouve la même problématique dans l’ensemble des productions agricoles.
A savoir que le législateur a une facilité déconcertante à décider de mesure radicale quand il n’a aucun risque d’être concerné par la dite mesure… vous avez déjà vu un député devoir abattre ses canards pour cause de grippe aviaire ?
Pour rappel :
Lorsque la présence de la loque américaine (Paeni bacillus larvae) est confirmée dans un rucher :
― une zone de protection de trois kilomètres autour de la zone de confinement est établie ;
― une zone de surveillance de deux kilomètres autour de la zone de protection est établie ;
― le préfet peut ordonner la destruction des colonies d’abeilles faibles ou malades non viables ;
― l’utilisation des produits de la ruche pour les besoins de l’apiculture (nourrissement) sont interdits ;
― les corps de ruches, les hausses et l’ensemble du matériel d’apiculture ayant servi à l’exploitation du rucher sont nettoyés et désinfectés selon une procédure appropriée ou détruits si besoin sur ordre du préfet ;Si le même type de mesure avait été prise pour la COVID 19, je suis sûr qu’on n’en serait pas à 30 000 morts… Mais d’un autre côté, de telles mesures appliquées dans le cas des maladies humaines poseraient de sérieux problèmes de morale.
Et finalement, c’est un peu le même problème pour nos ruches… on sait bien que ce type de mesures sont efficaces… mais elles sont à minima un crève-cœur pour l’apiculteur et qui, en plus, se sent stigmatisé. A cela se rajoute le risque pour le professionnel de mettre en danger son exploitation, qui peut se retrouver dans une situation délicate avec ce type de mesures.
Bref, le législateur ferait bien d’intégrer le côté humain dans sa réflexion et se placer aussi au niveau de l’individu (l’apiculteur) qui est confronté à ce genre de problème. D’autant plus qu’à être trop stricte, la règlementation devient contre productive.
A Fernand
Quel type d’odeur ?
As tu regardé l’aspect de la larve du couvain operculé ? Si il y en avait…
Sans ces réponses pas trop de quoi grailler…Larves grosses blanc nacrèe pas pourries dont certaines remuaient en haut de l’alvèole comme si elles voulaient sortit mais non operculèes couvain operculè en mosaïque odeur moitiè miel fromage doux. essaim artificiel de l’annèe, ne prenais pas le candi pour l’une et l’autre bonne prise du sirop chaque deux jours puis d’un coup arrêt de prise de celui ci dans le doute j’ai rèagi au plus prés.
Je ne sais si je suis dans le bon postPas de larves pourries sous les opercules donc?
Pas de quoi s’inquiéter je pense
Tu as réuni du coup ?
Qu’as tu fait des reines ?Non pas de larves pourries j’ ai secouè l’une aprés l’autre devant une caisse constituêe d’un cadre bâti sain de rèserve et le reste des cadres cirès, sans chercher les reines. je pense qu’elles sauront mieux que moi choisir la bonne. En suite j’ai sirotè à 600gr lit en même temps qu’avec ajout de candi dans le nourrisseur
Aurais tu procèdè de même ?
Merci de te pencher sur mon casFort Myers dit <
>
Ouverture tout les huit jours me semble un conseil non avisé (même si je respecte l’opinion de chacun sur le sujet)
La grappe d’abeilles (sauf erreur) maintient une température constante de la ruche a ± 35°
Lors de l’ouverture vous créer un refroidissement même si s’est pour quelques secondes (pas besoin d’être pro pour en avoir conscience). L’ouverture est générateur de stress pour la colonie (vous en connaissez les conséquences du stress puisque vous les citez plus haut) et une opportunité pour le développement du varroa (je suppose que vous connaissez les température favorable a son développement). Une vitre sur le couvre cadre (ou a la place)vous permettrez de voir sans refroidir .
Pour une visite sérieuse je suis plus pour le faire toutes les trois semaines se qui laisse largement le temps a la colonie de remettre en place leur micro climat.
Je ne parle pas de cas ou la ruche est malade mais bien d’une gestion normale de la ruche.Fort Myers dit <
> La désinfection au chalumeau pour le lève cadre s’est mieux que rien sachant que les spores résiste a la chaleur .J’avoue être surpris de cette remarque de votre part surtout quant vous mettez en avant votre professionnalisme (soyez assuré que même si il me laisse septique je ne permet pas de mettre en doute)
Je finirai en vous avouant que mes objectifs sur la gestion des colonies est au antipode de la votre :
Je suis fasciné par ses insectes se qui ne veut pas dire que je suis un gougnafier (bien au contraire) me moquant complètement de la production de miel je suis pour la sauvegarde et la compréhension du fonctionnement de la colonie.Non pas de larves pourries j’ ai secouè l’une aprés l’autre devant une caisse constituêe d’un cadre bâti sain de rèserve et le reste des cadres cirès, sans chercher les reines. je pense qu’elles sauront mieux que moi choisir la bonne. En suite j’ai sirotè à 600gr lit en même temps qu’avec ajout de candi dans le nourrisseur
Aurais tu procèdè de même ?
Merci de te pencher sur mon casPas de larves pourries c’est déjà très bien
Bon après, zéro+ zéro= la tête à Toto
Je veux dire que , sauf si il manquait de population, une reine mauvaise ne s’améliore pas
Il faudra sans doute les aider à coups de sirop léger et régulièrement
Et finir certainement par changer la reine restante, s’il y a .
C’est difficile de juger sans voir l’état général
Moi je secoue pas souvent au final
Les bourdonneuses oui et les loqueuses (européenne) aussi (et encore)
Faut pas être trop sentimentale en apiculture(ça n’engage que moi bien-sûr)
C’est plus rapide et plus propre de faire un essaim que d’en rattraper un
L’équilibre d’une colonie est déjà fragileCher isarn
No comment, ni sur le fond ni sur la forme de vos propos car nous ne sommes pas dans la même dimension, et nous n’avons certainement pas les mêmes objectifs apicoles.
Je respecte les vôtres, quant à moi, je n’ai plus rien à prouver, surtout en France
Si vous aviez un jour besoin de vous former un peu plus, j’organise un stage d’élevages de reines.
Je vous y accueillerais bien volontiers, vos critiques sont vraiment constructives, j’aurais plaisir à échanger avec votre point de vue si pertinent sur l’élevage des abeilles, j’en suis persuadé
Je vous demanderais d’exercer désormais votre droit de réponse en MP SVP afin de ne pas “polluer”ce post
Je vous en remercie
Bonne apiculture à vous
Emmegy
La désinfection au chalumeau pour le lève cadre s’est mieux que rien sachant que les spores résiste a la chaleur.
Isarn, vous avez des spores de loque sacrément costaud dans le gard …. la température en sortie de chalumeau doit dépasser allègrement les 500 °C… à cette température, je ne pense pas qu’il reste grand chose.
A priori la bactérie résiste à 130° pendant 30 minutes ce qui est déjà impressionnant
A priori la bactérie résiste à 130° pendant 30 minutes ce qui est déjà impressionnant
Bonjour,
Tout dépends du message que l’on veut faire passer !
Sinon, c’est 1/4 d’heure dans de l’eau à 100°C.
@+Tous les autres outils (lève-cadres, enfumoir, gants… qui ont été utilisés lors des
visites, ainsi que les fond de ruches et les cadres en plastiques doivent être
nettoyé et désinfecter avec la solution javellisée concentrée à 0,5% pendant 20
minutes (Chlorox® ou Chlorux® 1 part pour 20 parts d’eau).Les spores de LA sont très résistantes à la chaleur (‘jusqu’à 130ºC durant 20
minutes) c’est pourquoi l’eau bouillante ne suffit pas.
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