- Ce sujet contient 42 réponses, 15 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par CDSJO, le il y a 2 années et 5 mois.
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Bonjour Toni et les autres apis,
Pour revenir sur le point de la formation et des 7 jours de stage intensif, je pense que c’est une très bonne opportunité pour développer rapidement des connaissances de bases, théoriques et pratiques.
Pour ma part j’ai également débuté via des formations “intensives” (2*5 jours en CFPPA) qui m’ont fait progresser rapidement, et permis d’ouvrir plus sereinement une ruche. En complément j’ai suivi des cours d’un rucher école afin de réaborder ces notions sous un autre angle avec des formateurs locaux et de nombreux échanges.
Un conseil : prends du temps cet hiver pour potasser la littérature apicole afin de te familiariser avec cette activité et arriver en formation avec des bases et tout un tas de questions pertinentesEnfin, concernant la date, début mai ne me parait pas trop tardif car tu recevras au mieux tes essaims hivernés vers la mi-avril, tu seras donc dans le bain à la sortie de la formation ! En cas de doute sur tes capacités à soigner tes essaims avant formation, tu peux également tabler sur des essaims de l’année 2022 que tu pourrais récupérer courant mai donc post-formation, à un tarif inférieur mais avec une moindre chance de récolter du miel en 2022 …
Dans tous les cas je te souhaite une bonne découverte du monde des abeilles !
il y a 2 années et 5 moisRang: ReineMessages: 1449Nb de ruches: 48Localisation : France95 ptsjcp
Pour répondre à ta question sur la mode des waré, on peut ajouter les kenyannes , c’est que le loisir n’échappe pas à l’apiculture.
On sort d’une apiculture standardisée tournée vers la production vers une apiculture hobby dont les attentes sont différentes.
La question n’est pas de dire qu’est ce qui est positif et qu’est ce qui ne l’est pas mais c’est comme ça, un constat ; la fréquentation croissante des ruchers écoles qui tournent à plein l’atteste.
Ce qui serait sympa, c’est que les deux puissent cohabiter : une apiculture qui fait face à la demande de miel de nos compatriotes et une autre qui permette à l’humain de garder un contact avec la nature au sein d’un monde qui en est complètement déconnecté.il y a 2 années et 5 moisRang: ReineMessages: 1449Nb de ruches: 48Localisation : France95 ptsAutre élément à prendre en compte :
Comme une bonne partie des gens qui s’essaient à la conduite de ruches abandonnent à court ou à moyen terme, autant partir avec un modèle standard, qui aura une valeur à la cessation d’activité et on s’inscrira dans un cycle vertueux.
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