[Marcô83]

Sur la troisième image, si l’ours tombe , il va avoir mal au c…

[pierrolefou]

bonsoir
voleur de ruches appréhendé !!!!!

[pierrolefou]

bonsoir
celui la c est du bon ???????

[larc]

Des abeilles carnivores ?!!!

[tom12]

Non c’est pas tout a fait ca , c’est de l’abeilles vampire!!! :twisted
Un peu comme les moustiques mais en social

[xenon35]

ça tombe bien, il fait chaud, il ne va pas mettre son casque

Always remember to check your helmet for BEES before putting it on

[Superbaba]

[Superbaba]

En cherchant les fleurs ,j’étais en famille puis je leur montre se qui ressemblait à un bout de bois ,je leur expliqu à que cette un chevreuil qui digérait à lombre ,javais l’appareil ,un petit ( pouik ) et il regarde au tour sans quité sa place ,puis nous à vont continuer notre chemin

[chouchie]

Aujourd’hui j’avais mon appareil photo, alors je vous ai fait un roman-photo-autobiographique !

Au levé du jour, vers 14h, j’ai chargé mon camion en piochant dans le bordel qui traine dehors :

Je suis allé vérifier des essaims que j’avait oublié dans un coin, 2 sur 3 sont ok, ils sont beaux, direct transférés en ruches et complété avec les cadres de l’essaim loupé :

Après je suis allé vérifier l’acceptation des cellules d’une éleveuse, c’est une championne, je lui ai pris 3 (petits) essaims depuis le printemps et là elle est sur 19 cadres. J’ai remonté des cadres de couvains et enlevé 3 cadres de miel pour des essaims. Par contre elle pas hyper sympa, c’est de la noire bien hybridée un peu con :

Et 20 cellules sur 24, c’est cool ! Par contre je suis arrivé un peu tard, elles ont commencé à batir autour de certaines, bigoudis pas possible partout :

Après j’ai vérifié la ponte d’essaims fait il y a 2 semaines et il y en avaient un peu à l’étroit. Ils ont batis sous les nourrisseurs, mes potes sont contents je ramène des brèches à manger :

Il y a avait un double nuc en hausse qui trainait et là aussi les reines viennent de se mettre à pondre (19 reines ok sur 21 au final, une bonne journée ) :

[chouchie]

Après j’ai jeté un oeil à ma ruche préférée, je sais pas pourquoi, sûrement la couleur :

A la fin j’ai pris une photo d’ensemble à contre jour où on voit rien :

Puis je suis allé poser quelques hausses sur un autre rucher, normalement c’est des prairies plutôt vertes avec des chataigniers dans le fond, là c’est des prairies plutôt grillées avec des chataigniers dans le fond !

Au final j’ai pas pensé à prendre de photos des ruches et quand je suis repartis j’ai dit “à demain” aux vaches qui bouffent les fleurs de mes abeiiles !

On s’amuse comme on peut !

[Laurent34]

On s’amuse comme on peut !

Certes mais très plaisant à lire et tout aussi agréable regarder ces photos . On est plein à être comme des gosses au milieu de nos ruches

[chouchie]

Vous avez de la chance j’ai encore pris des photos aujourd’hui ! Bon après j’arrête, parce que j’avance pas sur les ruches !

Avant d’aller aux ruchers je me suis arrêté regarder une prairie avec du trèfle, elle a encore une bonne tête et ça bourdonnait un peu. C’est un coin avec pas mal de zones humides, où les agris sont subventionnés pour ne pas faire trop les bourrins.

Après je suis arrivé au rucher, chez un laitier en bio. Il y a + de 150 hectares de prairies en bio juste autour du rucher avec du trèfle. En ille et vilaine c’est souvent de la mono-culture de vaches laitières. Il y a aussi des bois avec pas mal de chataigniers, et de la ronce un peu partout.

Comme j’ai de la chance, en bas il y a un espèce de manoir, et ils ont mis une prairie fleurie à 300m des ruches. On ne voit pas trop mais il y a pas mal de centaurée et de coquelicots. Au début, de loin je croyais qu’ils avaient fait un parking, c’était couleur gravier, gris/bleu. Alors je les aimais pas, mais en fait …

Tout en haut, il y a les ruches et mon magnifique camion :

Sur la retour il y avait des chardons qui commençaient à fleurir et elles aiment bien ça les abeilles, (mais pas les agriculteurs) :

Et là c’est les ruches. Que des ruches pour faire du miel et c’est plutôt un bon coin. Mais l’accès est pas top donc je n’en mets pas plus. Il faut que je monte un talus et des fois c’est sport. Mais les ruches sont au sec et à l’abris du vent.

[chouchie]

Après je suis allé à 1km sur un autre rucher. C’est pareil, des prairies de trèfle, du maïs, de la luzerne qui mielle pas, du chataignier. Mais juste derrière, on ne voit pas il y a 25ha abandonnés depuis les années 80. C’est la grosse friche, avec pleins de ronces et de fleurs. C’est le paradis des abeilles (et des chasseurs).

C’est un rucher en cours de “vidage”. Je dois le déplacer de 100m, à un endroit plus accessible, avec moins de barrières électrique à enlever ! Cest surtout des essaims et j’en ai transféré en ruches. J’ai pris une photo avec pour thème “le rangement” :

Des essaims dans des ruchettes cartons, bien pleines, où j’ai testé les lanières AO / glycérine (là j’ai pas eu la main lourde) :

Puis après je me suis rendu compte que j’avais dû tuer une reine d’un essaim la semaine d’avant, en vérifiant la ponte. Donc ça m’a saoulé et j’ai arrêté de prendre des photos !!

Bon allez bonne nuit, demain fini les conneries !!!

[Superbaba]

bonsoir
voleur de ruches appréhendé !!!!!

toujours pas appréhendé

[pierrolefou]

[Superbaba]

attention la moissoneuse

[Superbaba]

dans un petit ruisseau

[pierrolefou]

https://www.technologynetworks.com/tn/news/rnai-offers-a-new-option-for-tackling-the-number-1-threat-to-honey-bees-291686

[nico14]

Intéressant ce lien . Merci Pierrot

[Sylvie]

j’envoie la traduction, Merci Pierro:

RNAi offre une nouvelle option pour lutter contre la menace numéro 1 pour les abeilles

L’acarien varroa est la menace n ° 1 pour les abeilles et l’industrie de l’apiculture à travers le monde. Ces parasites infestent à peu près toutes les colonies d’abeilles dans le monde, à l’exception de ceux en Australie. À l’origine un ennemi de l’abeille asiatique, Apis cerana, ces acariens ont fait le saut à un hôte nouveau, Apis Mellifera, après que les gens ont commencé à déplacer la douce abeille européenne au monde. Le commerce et le mouvement des stocks d’abeilles ont exposé les populations d’abeilles à de nombreuses maladies et ravageurs nouveaux et exotiques, dont beaucoup ont fait leur chemin vers les États-Unis ces dernières années.

L’acarien varroa a été introduit en Amérique du Nord au milieu des années 1980 et, dans quelques années, s’est répandu côte à côte. Varroa est largement responsable de la disparition de presque toutes les colonies d’abeilles de miel sauvages aux États-Unis en quelques années. À peu près au même moment, les apiculteurs américains ont été confrontés à des prix records de miel, en raison de la concurrence du miel moins cher importé en provenance d’Asie. De nombreux apiculteurs ont cessé leurs activités, tandis que d’autres ont commencé à déplacer les abeilles pour la pollinisation des cultures afin de joindre les deux bouts. Avec moins d’abeilles sauvages et moins d’apiculteurs, les services de pollinisation étaient de plus en plus nécessaires, d’autant plus que l’ampleur de la production agricole continuait de croître. Cependant, ce mouvement accru d’abeilles pour répondre à ces besoins, combiné à l’envoi généralisé d’abeilles pour les apiculteurs amateurs, a abouti à la répartition quasi universelle des ravageurs et maladies des abeilles, aggravant encore les problèmes des abeilles.

Bien que ces parasites nous soient minuscules (environ 1/16 de pouce), ils sont en fait l’un des plus grands parasites connus, proportionnellement à la taille du corps de leur hôte. Les acariens de Varroa eux-mêmes peuvent imiter chimiquement l’odeur des abeilles, envahir et échapper à la détection dans la colonie. Une fois dans la ruche d’abeilles, les acariens endommagent les abeilles de multiples façons dans leur cycle de vie inhabituel. Ils peuvent se nourrir directement de l’hémolymphe (sang) des abeilles adultes, qui affaiblissent les abeilles et raccourcit leur vie déjà brève, ce qui a également pour effet de répandre des virus et d’autres pathogènes pathogènes. Plus dangereusement encore, les acariens ne se reproduisent que dans des cellules d’élevage scellées d’abeilles. Sous la couverture de la cire, un acariens mâche pose des œufs, puis elle et sa progéniture se régalent de développer des nymphes abeilles. Cette alimentation a causé des dégâts importants, réduit l’espérance de vie de l’abeille et transmet des virus alors que les acariens se reproduisent de façon exponentielle. Certains virus ont même été adaptés pour se reproduire plus rapidement dans les acariens. Les acariens qui enlèvent des particules virales d’une seule abeille vecindront ce virus à d’autres abeilles lorsqu’ils se nourriront plus tard.

Maintenant, près de 30 ans après leur introduction, les acariens varroa sont encore en plein essor. Ils semblent pouvoir évoluer rapidement vers les nombreux traitements chimiques et les médicaments que les apiculteurs ont essayé de se débarrasser de ces parasites – un problème qui a été aggravé par la surutilisation des quelques produits efficaces disponibles. Il existe de nombreux produits de traitement varroa disponibles, mais malheureusement, aucune n’est la balle d’argent que les abeilles et les apiculteurs ont besoin d’urgence. Les pesticides chimiques laissent des résidus dans les peignes de miel de cire et ne peuvent être appliqués alors que les abeilles stockent du miel pour la consommation humaine. Beaucoup ont également des effets sub-létaux sur la santé des abeilles. Les acides organiques et diverses huiles végétales essentielles peuvent être utiles pour tuer les acariens, mais il faut veiller lors de l’application de ceux-ci, puisqu’ils peuvent être très sensibles à la température, ou ne peuvent fonctionner que lorsque la ruche est sans œufs (très peu de temps dans le Sud). Certains produits peuvent également affecter la qualité du miel, ou même être très dangereux pour les abeilles et les beekeeprs s’ils sont utilisés de manière incorrecte.

Une nouvelle recherche dirigée par Zachary Huang, à l’Université d’État du Michigan, peut conduire à une toute nouvelle direction du contrôle des acariens. À l’aide d’un processus appelé interférence ARN (ou RNAi), les scientifiques ont réussi à “calmer” des gènes spécifiques dans les acariens varroa afin de déterminer le rôle spécifique des gènes dans la biologie de l’acarien. À l’aide de cette technique, l’équipe a été en mesure d’identifier deux gènes qui ont causé une mortalité élevée chez les acariens lorsqu’ils ont été éliminés, et quatre autres gènes qui semblaient contrôler la reproduction des acariens. D’autres recherches ont montré qu’un mélange de molécules particulières d’ARN à double effet (ARNsp) peut être administré aux abeilles, et les acariens varroa absorberont ces molécules lorsqu’ils se nourriront du sang des abeilles.

L’utilisation de RNAi dans les abeilles et dans d’autres applications médicales n’est pas nouvelle, mais c’est une science qui n’a pas encore été perfectionnée. D’autres chercheurs ont travaillé à empêcher les virus de l’abeille de se reproduire à l’aide de techniques similaires. Bien que le processus puisse fonctionner bien dans un laboratoire, il est beaucoup plus difficile de le faire bien dans le monde réel. Les apiculteurs ont besoin d’un produit qui peut être