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Fontaliere, le il y a 1 année et 7 mois.
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L’étude complète sur la concurrence des abeilles entre elles et avec les sauvages sur le romarin. C’est en anglais.
https://www.nature.com/articles/s41598-018-27591-y
Mais de ce que j’ai compris, il y’a un impact 1km autour des ruchers. Plus loin ça ne se voit pas.
il y a 4 années et 5 moisRang: ReineMessages: 1537Nb de ruches: 48Localisation : France204 ptsEt bien moi ce que j’ai compris c’est que s’il existe encore des abeilles domestiques c’est uniquement dû au travail des apiculteurs.
Et que si une majorité des autres insectes sont en voie de disparition c’est que ça ne pose pas de problème au quidam.
Alors des leçons de morale, qu’ils se les mettent où je pense.
Il n’y a de place sur cette planète que pour les “humains” et les espèces qui s’adaptent à son comportement ; tout le reste du baratin est fait pour nous détourner du problème et mettre le doigt sur les conséquences et non sur les causes.
Ou et comment faire le buzz sur la mauvaise conscience des gens, c’est pitoyable et tout va dans le même sens.
L’apiculteur il est co responsable de ce désastre, mais pas en tant qu’apiculteur, en tant que citoyen.Nombre de ruches en France en 1960 = + ou – 1 million
Nombre de ruches en France en 2020 = + ou – 1 millionQuand on sait comment a évolué la population de pollinisateurs sauvages dans le même temps… on comprend vite qu’il n’y a, globalement, aucun lien entre les deux populations (en terme de concurrence et de disparition de l’une par rapport à l’autre).
Ces études partent d’un épiphénomène pour essayer d’influencer la vision du grand public.
Si je mets 200 ruches au même endroit, bien évidemment qu’il y aura une influence sur la faune et la flore (avantage dans la multiplication des plantes pollinisées par les abeilles sur les autres ) dans un rayon d’un km… mais on ne pas en tirer de conclusion au niveau national, si dans le même temps le nombre de ruches total n’évolue pas !
On peut se poser la question de qui finance ces études… je pense qu’on aurait des surprises en découvrant qui se cache derrière ça….
L’étude complète sur la concurrence des abeilles entre elles et avec les sauvages sur le romarin. C’est en anglais.
https://www.nature.com/articles/s41598-018-27591-y
Mais de ce que j’ai compris, il y’a un impact 1km autour des ruchers. Plus loin ça ne se voit pas.
Ce qui avait été relevé à l’époque quand on a assisté à la présentation de l’étude lors des journées de l’adapi, c’est que c’est quand même bien dommage que le suivi sois tombé sur deux terribles années de sècheresse, 2016 et 2017, ou personne n’a produit de romarin sur ce secteur.
Bien sur qu’il y a concurrence quand il n’y a pas de ressources, c’est propre à l’ensemble du vivant…il y a 4 années et 5 moisRang: ReineMessages: 1537Nb de ruches: 48Localisation : France204 ptsNe regardez pas le doigt, il cherche à vous culpabiliser d’une situation qui n’a absolument rien à voir avec l’apiculture.
Ceux qui cherchent dans cette direction sont des imbéciles qui voudraient vous faire partager cette imbécilité.
L’évolution des espèces vivantes quelles quelles soient ces dernières decénies est ce quelle est.
Ce n’est pas particulier aux insectes “concurrents” des abeilles mais à toutes les espèces sinon les abeilles seraient responsables de la raréfaction des poissons, de plantes, et de toutes sortes d’animaux en danger.
Je l’ai dit ici et ailleurs ce sont les modifications du milieu et du climat qui sont la cause de ces bouleversements et ce n’est pas en limitant le nombre d’abeilles que les choses changeront d’un iota.
Les gens qui tentent à vouloir démontrer que l’abeille est responsable (alors qu’elle est la première à en pâtir) sont soit des imbéciles, soit des malhonnêtes ; et pour moi, ce sont les deux à la foi.
Pourquoi s’offusquer de tout ça ?
Parce qu’une majorité des gens vivent maintenant en ville, n’ont pas le recul pour avoir vu cette évolution et qu’il est indispensable d’apporter des éléments de réflexion pour que l’on sache qui fait quoi.
Quand on s’escrime à répandre des mille de tonnes d’insecticides et tout autres cides dans la nature sans que peu de gens ne s’en offusquent, on voudrait nous faire avaler que ce sont les abeilles domestiques qui sont coupables, c’est une honte.Mais il y a une différence entre “les abeilles sont responsables de tous les maux” et “des abeilles à un endroit ça peut avoir un impact en fonction du nombre”.
Maintenant tout est soit blanc, soit noir.
Et vous pouvez dire ce que vous voulez, si je mets 30 ruches à 100m des votre vous allez être ravi !
Vous inquiétez pas, je traite le varroa.
Et c’est con l’étude ils se sont bien fait chier. Dommage que les conditions météos fausse la chose. Moi j’aimerai bien avoir une idée plus précise de l’impact d’une ruche autour d’elle.
Et c’est con l’étude ils se sont bien fait chier. Dommage que les conditions météos fausse la chose. Moi j’aimerai bien avoir une idée plus précise de l’impact d’une ruche autour d’elle.
j en connais un, ses ruches ont eu un impact sur sa voisine !!!
:)ry: :ohmy:
Et vous pouvez dire ce que vous voulez, si je mets 30 ruches à 100m des votre vous allez être ravi !
Vous inquiétez pas, je traite le varroa.
Moi ça me gene pas…
il parait que tu as de bonnes reines, j’irai faire du picking sauvage !il y a 4 années et 5 moisRang: ReineMessages: 1537Nb de ruches: 48Localisation : France204 ptsPierro
C’est quoi qui fait l’impact sur la voisine les ruches ou l’apiculteur.
Chouchie
Avec tes 99 ruches, tu peux venir à 30m et passer prendre l’apéro une fois posées, on va en trouver des solutions.Bonjour tous,
Perso, ce qui me fait bouillir dans ce type d’étude, c’est le caractère à charge et le sentiment d’être cocufié!
A charge parce qu’on ne peut pas parler d’atteinte sur la biodiversité sans faire état des points positifs. Il y a la pollinisation bien sûr, mais aussi les 1500 cadavres d’abeilles quotidiens par ruche qui rentrent dans une chaîne alimentaire, et le reste…Prendre une ou deux espèces spécifiques qui déclinent et extrapoler ainsi, c’est de la malhonnêteté intellectuelle.
Cocufié parce qu’après des années à avoir alerté sur la disparition des abeilles, les fonds européens affluent pour l’étude des pollinisateurs et des e………s de mouches qui ne seraient jamais sortis de leur labos viennent capter ces fonds et monopoliser l’attention en nous foutant dehors de toutes les réserves naturelles locales…on pourra peut-être y mettre une ou deux noires sans objectif de récolte…
Sans l’apiculture ces gars auraient été complètement inaudible et la première des choses qu’ils font c’est de nous cracher dessus.
NB: le mnhn est en train d’étudier l’impact du FA, on est sauvé!!!Pierro
C’est quoi qui fait l’impact sur la voisine les ruches ou l’apiculteur.tu fait un copier coller au DID !!
il va t expliquer !! mais prend toi une chaise !!
a+Faire une “étude” de l’éco-système d’une ruche ça pourrait être intéressant et ça changerait en effet, un peu de positif.
Entre les mésanges qui font les entrées de ruches tous les matins, les orvets sous les parpaings, les mulots derrière la partition, les coléoptères avec les perces oreilles sous le toit, les araignées, les varroas et bien d’autres !
On peut se poser la question de qui finance ces études… je pense qu’on aurait des surprises en découvrant qui se cache derrière ça….
oui énormément de lobbings derrière tout ça, avec des stratégies savamment étudiées pour faire évoluer pas à pas l opinion publique
encore quelques années et les néo seront vus comme la solution pour enfin pouvoir se débarrasser de ces foutues abeilles
c est bien triste tout ça mais une fois de plus ce sont les puissants qui vont l emporterDimanche à 20H50 sur France 5, un documentaire intéressant sur le commerce des escargots en France qui proviennent à 90% des pays de l’est …..
On pourra faire aisément le parallèle avec le miel ….
Dans mon coin , dans un rayon de 10km , il y a 2 élevages d’éscargots
@ JCP
Bien sûr, il y a des élevages d’escargots en France, c’est tout comme pour les apiculteurs de l’hexagone qui fournissent 1/4 de la consommation française de miel.
Tout comme les escargots, le problème majeur est le prix très bas de l’importation, car le différentiel entre les charges de production, les charges sociales, les normes environnementales, etc. , etc…, n’est pas en la faveur des apiculteurs français.
Pour ce qui est de la qualité sanitaire du produit (escargot), le documentaire laisse planer de sérieux doutes.
Rappel. Le chiffre (ITSAP) donné lors d’un dernier post, le miel ukrainien vendu en France en 2019 a été au prix moyen de 1.76 €/kg).
Vous comprenez aisément que les apiculteurs français ont toutes les difficultés pour placer leur miel (en fût) à 4 € en moyenne.
Bonjour
miel Ukrainien qui n’a rien d’Ukrainien , vu que la grande majorité de ce miel est chinois et fait juste du transit par l’Ukraine , je serais curieux de connaitre le prix de départ vu son prix d’arrivée .Tout comme le chinois qui entre dans la CEE par l’Italie ou l’Espagne et qui ce retrouve sur le territoire national .
bon dimanche
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