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, le il y a 1 année et 7 mois.
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il y a 6 années et 7 moispas sortie de l auberge !!
https://www.franceinter.fr/sciences/quand-le-glyphosate-s-attaque-a-la-flore-intestinale-des-abeilles il y a 6 années et 7 moisLa ruche du Muséum du Havre attaquée par des frelons asiatiques
il y a 6 années et 7 moispas sortie de l auberge !!
https://www.franceinter.fr/sciences/quand-le-glyphosate-s-attaque-a-la-flore-intestinale-des-abeilleset t’as pas vu ça alors !
Presque dix ans après son enquête Le monde selon Monsanto, Marie-Monique Robin démontre, faisceau de preuves à l’appui, l’extrême nocivité du Roundup, à l’heure où l’Union européenne doit décider de prolonger ou non l’autorisation du glyphosate sur le marché. Déclaré en mars 2015 “cancérigène probable” par le Centre international de recherche sur le cancer (Circ), et reconnu comme tel par des études scientifiques secrètes commanditées par Monsanto, l’herbicide, omniprésent dans l’eau, l’air, la terre et les aliments, est aussi un perturbateur endocrinien, un antibiotique et un chélateur de métaux – il séquestre les minéraux. Face au silence coupable des agences de santé et à l’inertie des gouvernements, le film, à travers ce procès, montre également la mobilisation à l’œuvre de la société civile mondiale pour faire reconnaître l’écocide. L’enjeu ? La poursuite au pénal des multinationales dont les activités menacent la sûreté de la planète et la santé des hommes.
https://www.arte.tv/fr/videos/069081-000-A/le-roundup-face-a-ses-juges/
il y a 6 années et 7 moisLa ruche du Muséum du Havre attaquée par des frelons asiatiques
Bonjour,
Oh bin quand même ! :ohmy:
Il pourrait demander l’aide du MNHN, non ?
C’est bien des experts ? Non ?
Des experts “desexperants” OUI !
@+ il y a 6 années et 7 moisArticle intéressant sur la réaction du syndicat des miels français suite au vote définitif de la loi impossant la mention des pays d’origine pour les miels d’assemblage
https://www.challenges.fr/economie/consommation/ce-que-la-loi-alimentation-va-changer-sur-votre-pot-de-miel_617230.amp?__twitter_impression=true il y a 6 années et 7 moisPDG de la société Famille Michaud Apiculteurs, un acteur prédominant avec un chiffre d’affaires de 120 millions d’euros
“Le coût d’analyse de mon entreprise s’élève à 1,944 million d’euros”
bizard les chiffres… j’aimerai pas être son comptable !
il y a 6 années et 7 moisActe 2 scène 1
Joseph Benazra, vice-président du syndicat français des miels, pense qu’il “faudra peut-être mettre en place un signe distinctif, un sticker, un code barre, un QR code, non seulement sur l’origine mais aussi sur le fait que ce miel a été analysé.”
il y a 6 années et 7 moisActe 2 scène 1
Joseph Benazra, vice-président du syndicat français des miels, pense qu’il “faudra peut-être mettre en place un signe distinctif, un sticker, un code barre, un QR code, non seulement sur l’origine mais aussi sur le fait que ce miel a été analysé.”
bonjour
rajoutons en !!!!!
rajoutons en !! y en a pas assez encore !!!!
a+ il y a 6 années et 7 moisL’analyse (même poussée) pour un conditionneur en général correspond à un lot de fabrication, donc une quantité importante mise à la vente avec cette garantie et par conséquent un impact faible sur le surcoût du prix de ce miel (coût de l’analyse divisée par le nombre important d’ UVC).
Par contre, pour le petit apiculteur avec quelques fois des volumes faibles cela aura des conséquences non négligeables sur son prix de revient. Et là, on rentre dans cette spirale : pas d’analyse = crédibilité faible.
Pour, la structure qui me concerne, nous avons toujours fait une analyse spécifique à l’appellation pour chaque lot de fabrication (en général au moins une palette de 480 kg).
Cela est majeur pour notre sécurité et évite l’ étiquetage non conforme et c’est une garantie pour nos clients qui savent que notre miel a été analysé par un labo agréé par Agrimer. il y a 6 années et 7 moispour le petit apiculteur avec quelques fois des volumes faibles cela aura des conséquences non négligeables sur son prix de revient. Et là, on rentre dans cette spirale : pas d’analyse = crédibilité faible.
c’est bien le but visé : décourager les petits producteurs & la vente directe, faire évoluer l’opinion publique : l’important ce n’est pas l’origine du miel, c’est son analyse
il y a 6 années et 7 moisDans ma région voilà ce qui arrive à ceux qui font des importations frauduleuses de vin
bon, je ne cautionne pas…
il y a 6 années et 7 moissalut fontaliere
ben tu vois la ou je suit en ce moment ??? tu sais le village gaulois !!!
c est marrant, dans la grande distribution y a pas de postes a essence !!!!! ?????? il y a 6 années et 7 moissalut thierry
reste cool !!!
je sent que depuis quelques jours y a un truc qui t énerve !!!
alors ecoute !! je t envoie une de mes stagiaire !!!
ca va te changer les idées !!!! mais fait gaffe quand meme !!!
il y a 6 années et 7 moisPierrot, avant de lui envoyer ta stagiaire, assure toi qu’elle est née , élevée en France avec des papiers en règle .Ce serait vraiment dommage qu’il en fasse ce qu’il dit
il y a 6 années et 7 moisSacré Pierrot, il sait parler à ses collègues apiculteurs!!!!!
les gars , ne soyez pas trop zen, c’est le moment de la mise en hivernage, il y a du boulot!
Picouty il y a 6 années et 7 moisHello,
Par contre, pour le petit apiculteur avec quelques fois des volumes faibles cela aura des conséquences non négligeables sur son prix de revient.
Pour ma part, lorsque je fais analyser un miel, c’est parce que je pense que je vais pouvoir lui donner une appellation monoflorale. Et dans ce cas, si l’analyse le confirme, comme je le vendrai un peu plus cher qu’un miel de fleurs, le coût de l’analyse est ainsi couvert par les recettes.
pas d’analyse = crédibilité faible.
Bah, c’est pas certain, étant donné que la grande majorité des clients ignorent qu’on peut faire analyser un miel, il n’y a guère de perte de crédibilité.
c’est bien le but visé : décourager les petits producteurs & la vente directe, faire évoluer l’opinion publique : l’important ce n’est pas l’origine du miel, c’est son analyse
Perso, je pense que les analyses devraient être obligatoires.
On se plaint des miels frauduleux qu’on trouve en grande surface, pourtant il y a vraiment de quoi dire quand on voit ce qui est vendu sur les marchés par de petits apiculteurs.Et sinon, quand on n’a pas toute une vie d’apiculture derrière soi, faire analyser son miel, c’est très formateur.
il y a 6 années et 7 moisMoi je veux bien.
Mais pourquoi du miel de chez Mimi justement,
composé de sirop de blé(du moins en partie), passe à travers sa machine infernale ?
Bizarre non ?
Il ne devrait pas avoir le droit d’analyser son miel il y a 6 années et 7 mois@ Kaki
Petite précision l’ajout de glucose et de fructose, sans autres résidus (issus d’un processus industriel) donneront une analyse “Pic Poil”.
Par contre, l’apiculteur qui va “forcer” sur le sirop de nourrissement, va se faire “choper” avec les résidus de maltose.
Par contre, peut ‘on voir l’origine de ce glucose et/ou fructose rajouté ?
Certainement, on faisant des analyses isotopiques. Mais là, on est hors réglementation du miel et bonjour pour le coût et cette compétence de labo est rare.Si la dose a été un peu forte, on peut suspecter la fraude à partir de l’analyse diastasique … et encore comme les miels sont chauffés, on ne saura pas si c’est normal à cause de la dégradation thermique ou de l’ajout de sucres industriels neutres.
il y a 6 années et 7 moisPierrot, avant de lui envoyer ta stagiaire, assure toi qu’elle est née , élevée en France avec des papiers en règle .Ce serait vraiment dommage qu’il en fasse ce qu’il dit
Arrêtez ….. je la veux même sans papiers je vois tout de suite qu’elle est normande
il y a 6 années et 7 moistiens finalement !!
elle existe cette maladie !!
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