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Anonyme, le il y a 4 années et 11 mois.
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J’ai dérapé dernièrement et la raison en ai la suivante :
Je suis propriétaire de vingt cinq hectares je mets des céréales sur certaines.
Un Apiculteur amateur posait une trentaine de ruches chaque année dans un petit bosquet qui est à moi il n’avait pas l’autorisation mais ne me dérangeait pas et tenait le coin propre donc j’ai laissé faire et j’ai même sympathisé avec lui. J’ai beaucoup appris sur les abeilles avec lui.
Un Apiculteur pro (il y a trois ans) est venu me voir pour me demander l’autorisation chose que je lui ai accordé. Jusque là pas de problèmes sauf quant l’Api amateur s’est pointé avec ses ruches, les tensions ont commencés a se faire sentir. Les plaintes et les remontrances de l’Apiculteur professionnel mon obligé a mettre un terme a la présence de ses ruches sur mes terres. Se ne serait jamais arrivé si il avait mit de l’eau dans son vin en acceptant que la faveur octroyée ne le rendait pas propriétaire et que j’étais seul juge d’accepté la présence de l’un et de l’autre.
Je ne suis malheureusement pas le seul propriétaire a rencontrer ses problèmes et certains en sont venu a refuser systématiquement l’accès.
Dans le sujet qui me vaux les foudres de certains (a juste titre) j’aurais du peser mes mots avant de laissé ma colère se déversé.
Je ne cherche pas d’excuses et je ne mets pas tout les professionnels dans le même sac , il y en a d’honnête et de respectable si je les ai blessés par une réponse inappropriés veuillez m’en excuser se n’était pas mon intention (j’ai juste fais un coup de calgon).
En se qui me concerne je pense que l’autorisation de poser des ruches chez autrui ne vous accorde pas plus de droit que le promeneur et j’ai l’impression que certains confondent et s’octroie des droits de jouissances sur les terres d’un autre.
En lisant celui là n’as pas d‘autorisation alors il dégage parce que moi j’ai le droit, sa me fait bondir.Peut être que j’ai des lacunes sur le droit dans ce genres de situation et j’ose espérer que certains pourrons m’informer davantage sur se mélange d’autorisations et de droits.
Se flou juridique ressemble a une épée de Damoclès au dessus de la tête des Apiculteurs comme des Agriculteurs car si demain un grand groupe se pose sur votre zone d’exploitation les Apiculteurs de taille modeste seront balayés comme un fétus de paille et les Agriculteurs n’auront que les yeux pour pleurés face au dégâts du va et viens de ses industriels. Cette fiction abusive n’est elle pas déjà en place au soleil levant avec l’extraction de miel sur des cadres de couvain ?
Il me semble en tant qu’exploitant que votre profession Apicole devrait dans l’intérêt de tous réfléchir a cette problématique.
Des idées pourraient être remontés dans les chambres Agricoles et ça pourrait être bénéfique a tous. Donc n’hésitez pas.Tu as tout a fait raison tu es chez toi et tu fais ce que tu veux. Perso je met des ruches chez un pot qui a 150 ha de châtaignier, son fils a qq ruches, moi j’en ai 50 chez lui, mon frère 50 aussi, la il accueil un Breizhous pour poser 100 caisse, je vois pas où est le pb. Le gars qui est pas content il vire ces caisses. Moi après j’ai des bois dans lequel je met mes propres ruches. Si un jour j’arrête je prétérerai pour un amis. Après sur certains secteurs le fait d’une surcharge en ruches fait que tu fais une hausse voir que dalle, du coup ça peu vite financièrement être pas rentable. Nous dans chaque village y’a 200 a 300 caisses, c saturée. Après l’idéal est de trouver le coin ou y’a pas de ruches a 3 km a la ronde mais c pas évident. Après mieux vaut pas de tirer la bourre entre amis. Moi certains avec leur attitude de s’approprier leurs coins me dégoûte surtout des types qui ont démarré 15 ans après toi en te copiant parceque tu rentré du fric a l’époque. Des pauvres gars qui ont pas 3 lumière a l’étage et qui sans personnalité se sentent obliger de copier, c con mais c comme ça.
Moi aussi j’ai du terrain ou des emplacements où j’ai demandé la permission , je dédommage ou j’aide suivant les besoins et j’entretiens de bonnes relations , ont me demande de laisser brouter par exemple ou de venir récolter des fruits qui si non
Je sais pas, ça me semble si simple. Tu es chez toi, tu y invites qui tu veux.
C’est vrai qu’il y a une tolérance pour les promeneurs sur les terrains non clôturés, mais ce n’est qu’une tolérance de passage, pas de ramassage ou d’exploitation de ruches.
A cause de ces comportements abusifs, de plus en plus de terres sont clôturées, ce qui est bien dommage (et pour la faune sauvage aussi).Mais d’autres se permettent de faire se qu’ils veulent alors là sa coince
Normalement quand on a un emplacement et que l’on paye le propriétaire avec du miel , c’est assimilé à un fermage.
Que je mette des ruches ou pas , je donne 6 KG, pour un bout de parcelle de 500-600m carré, ramené à l hectare c’est bien payé. ( +1000€ /Ha)Je suis aussi propriétaire de parcelles où je mets mes ruches, mais malheureusement il y a des pignoufs qui se posent maintenant à côté. Du coup vu la concentration de ruches je suis obligé de me servir de ces ruches comme de zones de transitions lors de mes transhumances.
Sur l autre poste, il s’agit d apiculteurs qui se trouvent un terrain un peu isolé et non cultivé, ils passent un coup de debroussailleuse, et pose leur ruche rapidement. Dans le meilleur des cas ils inscrivent leur numéro api. Ce qui est plus compliqué pour les trouver..
Personnellement un gars pose des ruches sur une de mes parcelles ou sur un de mes emplacements ( sans autorisation de mon propriétaire) le gars ne verra plus ces caisses!!
Il m’est arrivé , il y a une paire d’année, un truc de ce genre. J’arrive sur mon emplacement dont je suis propriétaire, un gars avait clôturé et avait mis des chevaux !! Je laissais un mot sur la cuve d’eau lui disant que si le lendemain, ces chevaux étaient encore chez moi il ne les verraient plus!!!J’arrive sur mon emplacement dont je suis propriétaire, un gars avait clôturé et avait mis des chevaux !! Je laissais un mot sur la cuve d’eau lui disant que si le lendemain, ces chevaux étaient encore chez moi il ne les verraient plus!!!
incroyable !
T’as de la chance qu’il ait pas construit sa maison !Toutes ces histoires, c’est des histoires de voisinage ;
Il ya des bons et des mauvais coucheurs .
Il est souvent préférable de parlementer en usant de psychologie plutôt que de ruer de suite dans les brancards.
Il y a certes toujours une minorité qui est bourrin et qui ne veut rien entendre .
Mais quand je me remémore certains messages, je constate aussi qu’en apiculture , il y a beaucoup de jalousie .Ceci explique parfois cela !!!!Larc écrit :
incroyable !
T’as de la chance qu’il ait pas construit sa maison !Malheureusement se cas de figure n’est pas incroyable dans notre secteur et ça devient décourageant comme les déchets du bâtiment ou les poubelles des particuliers. Se problème existe aussi en agriculture avec le peut regardant qui laboure le passage commun entre les terres .
Dans tout les domaines ses problèmes existent et quant les agriculteurs clôtureront tout les Apiculteurs correct et les promeneurs seront les première victimes.
Je me vois mal vivre dans un camps de barbelé.L’avancé de l’Apiculture aujourd’hui ressemble fortement a celle de l’Agriculture d’hier. Les Agriculteur ont commis cette bêtise j’espère juste que les Apiculteurs seront faire la part des choses et entendront raison en encadrant se métier pour le protéger.
il y a 4 années et 11 moisRang: ReineMessages: 1536Nb de ruches: 48Localisation : France204 ptsIl n’y a aucune raison objective pour que les “possesseurs de ruches” ou les apiculteurs se comportent différemment du reste de l’espèce humaine.
Car ils en font partie.
Il y en a donc une large majorité respectueuse du droit, des tolérances, de ce qui se tolère.
Et il y a un pourcentage constant de personnes qui n’en ont rien à faire, que ce soit dans le domaine du positionnement des ruches où dans tous les actes de leur vie.
Face à ça, il y a trois positions :
Laisser faire (parce qu’on est tolérant où qu’on n’aime pas les emmerdes).
Aller au contact pour faire changer la situation (parce qu’on trouve injuste et, ou qu’on subit un préjudice).
Agir, pour les mêmes raisons que le précédent et qu’on ne fait pas confiance à la personne ou au système pour changer les choses.
Le reste, c’est du baratin.il y a 4 années et 11 moisRang: ReineMessages: 1536Nb de ruches: 48Localisation : France204 ptsSeconde réponse qui n’a rien à voir avec la précédente, particulière à l’apiculture.
Quand j’ai commencé cette activité, j’étais seul au monde, le miel ne valait pas grand chose et l’apiculture n’intéressait personne.
Je connaissais tous les apiculteurs pros du département, les amateurs idem et encore une partie des pros des départements voisins, nous étions entre gens sérieux (ou pas) mais entre nous.
Il y avait quelque conflit (notez le singulier) de voisinage mais comme on se connaissait tous, les problèmes se réglaient relativement bien.
Pour donner un aperçu, mon épouse et moi même avions bien plus de ruches qu’il n’y en avait sur notre canton et celui de Lembeye, voisin.
Maintenant, il est de fait que les détenteurs de ruches, toutes proportions gardées, sont à l’image de l’espèce humaine, à savoir envahissante.
J’avais créé un sujet qui avait eu quelque succés sur l’autre forum il y a quelques années, en voyant la déferlante arriver pour expliquer les raisons de l’engouement pour l’apiculture.
Et, on ne refera pas le match ici, mais chacun a le droit d’avoir une ou autant de ruches qu’il le souhaite, cela fait partie des libertés fondamentales.
A la condition d’en respecter les règles, toutes les règles.
Mon avis est qu’un possesseur d’une dizaine de ruches doit pouvoir se positionner à peu près partout sans que celà pose préjudice, avec bien sûr un suivi sanitaire.
Pour ce qui est du ruchers plus importants, là, on rentre dans le dur; Le lieu est il en mesure d’accueillir ou pas un nombre conséquent de ruches supplémentaires ?
Quand c’est oui, on peut être dans l’acceptable par rapport à ceux qui ont une antériorité, lorsque ce n’est pas le cas, on crée un problème.
Qui n’est pas sanctionné légalement mais susceptible d’apporter un préjudice à des tiers.
Exemple personnel:
Sur une commune de montagne peuplée de tilleul, nous avons fait au cours de notre carrière l’acquisition de parcelles façonnées de façon à recevoir des ruchers, facilement accessibles par tout temps.
Là, je vois arriver une rucher à 200m d’un de mes spots sur lequel on a 120 ruches et qui est calibré ainsi parce que c’est le maximum qu’il puisse recevoir sans que la ressource de chaque ruche en soit handicapée.
Bon, ce rucher est d’une vingtaine de ruches et je ne dirai rien ; s’il augmente, on va s’expliquer.
Idem il y a 3 ans, installation à 80m d’une de mes ruchers permanents d’un rucher de quelqu’un qui se lance là dedans.
Demande de bien vouloir les positionner ailleurs, ce qui a été fait en deux ans.
Il y a deux possibilités, soit il est possible sur un secteur donné de positionner un ou des ruchers sans gêner à condition de faire un travail de recherche, soit l’endroit est saturé.
J’ai bien lu quelqu’un sur un autre post qui s’inquiétait de la taille des exploitations pour vivre du métier (comme quoi participer à un forum sur l’apiculture en n’ayant aucune connaissance n’empêche pas d’avoir honte de ces propos en critiquant).
pour éclairer un peu le monde amateur qui peut s’étonner de ce qui existe et qui existait avant qu’il ne naisse quand aux tailles des exploitations, il faut savoir:
Qu’avant que ne tombe une avalanche de problèmes sur l’abeille, les exploitations étaient beaucoup plus importantes, j’ai connu des collègues qui menaient 800 à 1000 ruches seuls.
D’une part les ruches ne demandaient pas l’attention qu’elles exigent actuelllement et le prix du miel necessitait de gros volumes pour être rentables.
Aujourd’hui, ces mêmes exploitations, lorsqu’elles n’ont pas disparu, demandent davantage de personnel, donc font vivre plusieurs familles.
On ne voit pas comment on pourrait limiter d’autorité le nombre d’exploitations apicoles, le nombre de personnes qui sont dans le complément de revenu et le nombre d’amateurs qui se font plaisir (il y a toujours un vrai sujet à développer sur cette typologie), d’ailleurs mon avis est que ce n’est pas souhaitable si chacun respecte les règles.
Donc, je reprends mon cheval de bataille :
Si il n’y a pas de limitations au nombre de ruches (ces fameux ruchers qui viennent s’installer trop près) ; agissons sur la ressource.
Quel est le pourcentage de détenteurs de ruches qui agit personnellement et efficacement pour que ses abeilles puissent trouer dans leur environnement ce qu’elles ont besoin ?
Il est là le problème, non pas dans la fuite en avant, il ne s’agit pas d’artificialiser le rayon d’action de l’abeille mais tout simplement de restaurer: des fleurs en quantité et en qualité ; c’était le cas il y a quelques décades, les gens de mon âge en ont été témoins, réparons donc ce que nous avons détruit.
Je connais assez bien le milieu des apiculteurs de métier, la moitié au minimum n’a jamais planté un végétal, j’ai beaucoup plus de sympathie pour le monde amateur qui est plutôt exemplaire sur le sujet.Bonsoir,
C’est long, mais c’est plein de bon sens!
En parlant de cela, j’ai quelques pieds d’Evodia (arbre à miel) en pots en rabe en fond du jardin au cas où ça intéresse l’un d’entre vous.
Je donne, mais pas d’expé, et gestes barrières actuellement.
C’est dans le 52 (52300)
Par contre, je suis intéressé par quelques graines, … (d’Evodia hein!)
A oui, me contacter par MP.Cool…..
je viens d’aller voir, il en reste 4
Je connais assez bien le milieu des apiculteurs de métier, la moitié au minimum n’a jamais planté un végétal, j’ai beaucoup plus de sympathie pour le monde amateur qui est plutôt exemplaire sur le sujet.
200 % d’accord avec toi… d’ailleurs c’est bien souvent la même moitié qui dénigre le monde agricole…
Après, concernant le côté un peu “territorialiste” de certains apiculteurs, je le conçois tout à fait. A titre personnel, si quelqu’un venait planter un rucher à côté des miennes alors qu’on se fait ch…er sur l’exploitation à proposer le bol alimentaire le plus diversifier possible afin de maintenir des ruchers fixes à l’année pour la lavande ( mise en place de jachères fleuries, remise en place de luzerne, remplacement d’une partie de la surface de blé par du tournesol etc…)…. je l’aurai sacrément mauvaise
….
Moi je commence, j’ai rdv chez le notaire ! On me donne une parcelle de pas loin d’1ha :
Y’a du boulot ! Mais de la bourdaine, de la bruyère, des orchidées et un couple de huppe fasciée !
Une partie en “pelouse sèche sur schiste”, dernier biotope primaire qui existe dans la plaine bretonne (ça j’y touche pas).
Je sais pas trop ce que je vais pouvoir y planter, mais ça va m’occuper
il y a 4 années et 11 moisRang: ReineMessages: 1536Nb de ruches: 48Localisation : France204 ptsCool.
Et quand on n’est pas propriétaire, puisque notre passion pour les abeilles à l’oreille de la population, on peut user de son influence pour privilégier l’implantation d’essences mellifères chez les gens qui ont la volonté de planter, ou de semer.
N’attendons rien d’autrui, nous ne serons pas déçus et voyons ce que nous pouvons faire par nous même pour ce qui nous tient à coeur.
Puisque cette prose s’est largement éloignée du sujet, pardon ; rappelons qu’il n’y a pas de loi qui interdit l’installation d’un rucher par rapport à un autre.
Par contre il y a une coutume qui respecte les ruchers déjà installés et qu’elle fait appel au bon sens et à la responsabilité, moyennant quoi, tout ira bien.Il n’y a aucune raison objective pour que les “possesseurs de ruches” ou les apiculteurs se comportent différemment du reste de l’espèce humaine.
Car ils en font partie.
Il y en a donc une large majorité respectueuse du droit, des tolérances, de ce qui se tolère.
Et il y a un pourcentage constant de personnes qui n’en ont rien à faire, que ce soit dans le domaine du positionnement des ruches où dans tous les actes de leur vie.
Face à ça, il y a trois positions :
Laisser faire (parce qu’on est tolérant où qu’on n’aime pas les emmerdes).
Aller au contact pour faire changer la situation (parce qu’on trouve injuste et, ou qu’on subit un préjudice).
Agir, pour les mêmes raisons que le précédent et qu’on ne fait pas confiance à la personne ou au système pour changer les choses.
Le reste, c’est du baratin.+1
CDSJO:
Je ne peux qu’approuver se discours mais il me semble que c’est ensemble que l’on peut avancer et satisfaire tout le monde. Le ne comptons pas sur les autres ne peut que nous ramener au problème du sujet et aux dérives qu’il en découle. Je suis aussi d’accord sur l’analyse du potentiel mélifére mais la aussi on se heurte au flou juridique sur l’utilisation d’une certaine quantité de ruches sur les zones.
Se flou sera a long terme un gros problème pour la survie de l’Apiculture quelque soit ça nature. Certains en paye déjà le prix mais surtout n’en parlons pas.
A mon humble niveau j’aurai essayé de le dire même si parfois je n’utilise pas les termes adaptés.
Sans être exemplaire je sème cette année un demi hectare de fleurs qui ne me rapporteront rien et me coûte pourtant j’aurais le sentiment de faire une chose utile a tous. Il est évident que si sur cette parcelle on y colle cinquante ruches il y en aura pas assez pour tout le monde et cette petite pierre ne représentera plus rien au milieu de l’océan dans lequel vous vous jetez si vous n’arrivez pas a trouver un minimum de réglementation .
Je connais cette logique de ne changeons pas et je vois le résultat malgré les efforts effectués de l’agribashing peut être que vous aurez compris mon coup de gueule quant vous serez confronté a ce problème.Bonne chance
il y a 2 phénomène dont vous parlez et qui ne doivent pas etre mélanger a mon sens
LE 1er a l’origine du post : le type qui occupe un terrain sans autorisation du propiétaire pour moi c’est comme si tu faisais un barbeuc en famille dans ton jardin et que là une bagole s’arrête 5 type en sortent et viennent s’attabler !! C’EST INADMISSIBLE :twisted :twisted
et 2EME qui est la concentration de ruches dans un lieux donné; et la c’est plus difficile car par ex si je suis propriétaire d’une parcelle a coté d’un champ de lavande je n’ais rien a demander a personne pour m’installer ; idem si le propriétaire d’une parcelle voisine de la mienne donne l’autorisation a quelqu’un de s’installeril y a 2 phénomène dont vous parlez et qui ne doivent pas etre mélanger a mon sens
et 2EME qui est la concentration de ruches dans un lieux donné; et la c’est plus difficile car par ex si je suis propriétaire d’une parcelle a coté d’un champ de lavande je n’ais rien a demander a personne pour m’installer ; idem si le propriétaire d’une parcelle voisine de la mienne donne l’autorisation a quelqu’un de s’installerBonjour,
Oui, tout à fait d’accord.
Mon rucher, installer en fixe sur ma parcelle, auprès d’un champs de luzerne de plus de 11 ha, se trouve (depuis déjà 2 ans) début juillet avec plus de 60 ruches qui viennent de” tataouine ” .
Ces ruches sont posées sur un terrain qui n’appartient même pas à l’agri qui cultive la luzerne.
Cet agri qui posséde aussi une 30 ene de caisses alors que, nous avons déjà du mal a trouver des endroits dans nos plaines et on viens nous ” prendre” notre ressource pour cette période… le paysan se sans priver de son bien, car sans ca luzerne, il n’aurai pas 30 colonies chez lui. Pour lui ce nectar fait partie de sa production de la luzerne.
Iui, il considére cela comme une privation de son bien…
Pas facile tout cela… le débat n’est pas terminer….
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