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, le il y a 6 années et 3 mois.
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il y a 6 années et 3 mois@ Zaya
Le problème n’est pas que Richard ou Zaya, aient une info de l’ANERCA en aparté.
Cette association qui a un potentiel majeur en adhérents et compétences apicoles n’a pas souhaité s’engager sur la fameuse charte (en 3 axes) de constitution de l’interprofession.
Cette position (peut être justifiée) est de la responsabilité de l’ANERCA et qui aurait eu le mérite d’être expliciter publiquement.
Par contre, on aura vite fait de faire le raccourci “On boycotte”, comme toi dans le post 137771.
A priori, tout semble indiquer que l’ANERCA s’est exclue elle même et c’est pour cela que je redis, il nous manque la position officielle de l’ANERCA par la voix de son Président.
Ils ont peut être des raisons objectives, mais en l’absence d’information, rien de rationnel…! il y a 6 années et 3 moisBonsoir,
Richard, là tu chipotes !
Le président avait déjà communiqué la position de l’ANERCEA.
Et sa conclusion montre une sérieuse expérience et clairvoyance dans la définition et la conclusion de l’interprofession :“Dans l’actualité apicole, on parle beaucoup de l’interprofession. Ce fameux serpent de mer. L’Anercea n’a aucunement l’intention de prendre le rôle des syndicats, ils sont suffisamment nombreux. Si l’on nous demande notre avis sur certains points, nous le donnerons, mais nous avons déjà beaucoup à faire avec nos prérogatives « FORMER et INFORMER ». J’entends certains qui espèrent des aides, des subventions, etc. N’oublions pas que ce sera avant tout une nouvelle taxe à payer. Sachons seulement que ce ne sera pas la panacée, que les apiculteurs doivent avant tout compter sur eux-mêmes et que ce ne sera pas un étage de plus à la fusée administrative qui va tout solutionner. L’interprofession sera vraisemblablement financée par une taxe sur le kilo de miel et donc ce sera le négoce qui fournira la plus grande partie des subsides. Et généralement, celui qui décide, c’est celui qui paye. Il y a donc peu de chance de voir les apiculteurs posséder le pouvoir décisionnel.”
@+ il y a 6 années et 3 moisMerci Zaya pour ce texte que je n’avais pas pu trouver sur le site de l’ANERCA (ou je suis passé à côté).
Il a le mérite d’être clair. La non participation de l’ANERCA est bien une décision propre à cette association, donc faut pas accuser les autres de les avoir boycotté.
Je dis quand même :)ommage !
(Quand on sait, les compétences et l’importance de cette association).
En pensant que les éleveurs de reines ne seraient pas concernés par la CVO, je pense qu’il y a une erreur car, la taxe pour les producteurs) sera sans doute sur le chiffre d’affaires de l’exploitation apicole (et non sur le kilo de miel) et surement sur toutes les exploitations qui sont à la MSA (solidarité y compris).
il y a 6 années et 3 moisN’oublions pas que ce sera avant tout une nouvelle taxe à payer.
Il est mignon le président de l’ANERCEA.
Etant moi même à l’ANERCEA, je paye une cotisation et en plus l’abonnement à la revue “Info-Reines” ( dont je ne serais me passer) .
Alors vu sous cet angle, je peux aussi affirmer de manière péremptoire que l’ANERCEA c’est avant tout une taxe à payer, ou une magnifique occasion de rencontrer des potes et de boire un coup ou d’assister à de super conférences et d’apprendre ou tout çà à la fois.
Ce qui m’intéresse dans l’interprofession, c’est de retrouver la dynamique de l’ANERCEA. Car comme le dit fort bien le président, l’ANERCEA sa vocation est de “former et informer” donc pour adresser l’ensemble de la profession, il faut une autre structure. il y a 6 années et 3 moisBonjour,
Il est vrai que l’ANERCEA est un modèle du genre autant au niveau du fond que de la forme de l’organisation ! C’est le top du professionnalisme apicole comme on aimerait le voir PARTOUT !
C’est p’têt pour ça qu’on les a pas pris à l’interprofession, ……………ils faisaient TACHE !
@+ il y a 6 années et 3 moisIl a le mérite d’être clair. La non participation de l’ANERCA est bien une décision propre à cette association, donc faut pas accuser les autres de les avoir boycotté.
Bonjour Richard,
Faut pas être aussi tranché ! Pour exemple, je vais te faire une proposition que tu vas refuser :“Viens dans mon assoce, t’inquiète, tu n’auras pas le droit de vote, mais j’ai juste un trou de 800 mille à boucher !” Hors micro, tu vas me dire : ” Vas te faire mettre !” Mais à l’écrit, ça donnera : “Des divergences structurelles n’ont pas permis le rapprochement, tant souhaité, de nos organisations, la porte reste cependant ouverte à toute négociation.”
@+ il y a 6 années et 3 moisC’est très facile d’envoyer des vannes depuis son PC.
Mais quand en fin de saison, tu te retrouves avec pleins de fûts sur les bras, tu téléphones à un, deux, trois conditionneurs et que tous te chantent la même chanson: “on a fait nos stocks de miel français, on n’achète plus” sans même te demander d’analyser un échantillon ou te proposer un prix indécent.
Et que de l’autre coté, la production française représente à peine le tiers de la consommation française, tu te dis que la planète apicole marche sur la tête.
Puis tu regardes autour de toi et tu t’aperçois que tu n’es pas tout seul dans la même galère.
L’un des buts de l’interprofession est d’essayer d’assurer la fluidité et la transparence du marché.
C’est un lieu où tu as en face de toi les conditionneurs, les grandes surfaces et là, il y a matière à discuter et çà peut même devenir constructif, je m’en rends compte. A condition de réaliser de notre coté que nous avons, nous les apiculteurs de sacrés atouts en main qu’il faut faire valoir. C’est un rapport de force, d’intérêts qui peuvent être divergents.Et puis un moment donné, faut arrêter avec les histoires de pognon.
Quand tu fais un investissement, un hangar, un véhicule, etc…. çà coute mais si tu le fais, c’est que tu sais qu’à la fin, çà t’aura rapporté plus que l’investissement initial. La CVO, c’est pareil.
Après il y a les bons et les mauvais gestionnaires, mais çà c’est une autre histoire et çà doit absolument rester une autre histoire et pas venir polluer ce que l’on essaye de construire. il y a 6 années et 3 moisBonjour,
@spatz,
Je peux comprendre ta détresse, mais ne perds pas trop de vue que le chat joue avec la souris, mais que c’est TOUJOURS la chat qui bouffe la souris ! Et tant que les souris ne seront pas solidaires la conclusion du dicton n’est pas prête de s’inverser !
Pour le pognon, t’as raison, je n’en parle plus !
A mon avis, la situation ne va pas s’arranger toute seul, mais bon !
@+ il y a 6 années et 3 moisTu crois franchement que grâce à l’interprofession les grossistes vont ce mettre d’un seul coup à acheter du miel français qui en plus ce verra recevoir une taxe pour boucher le trou de l’itsap. Surtout que quand on va dans les magasins on voit du miel étranger avec un beau drapeau français et les consommateurs achète, pourquoi les grossistes changerai de crémerie ?
Je ne crois en rien , je fais ce qui me semble juste de faire, c’est tout et si on est plusieurs à essayer d’aller dans la même direction tant mieux.
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