[Nouna]

Des traitements sans risque, il en existe, ils ne sont pas radicaux mais peuvent faire baisser la pression du varroa, en complément des traitements “classiques”
(…)
– essaimage naturel : l’absence de ponte pendant 3 semaines interrompt cette croissance exponentielle du varroa qui a besoin de couvain pour se reproduire (et en plus ça régénère les colonies)

Bonjour Pascal,
J’ai ressorti ce vieux message car je me pose la question : est-ce que l’essaim artificiel bénéficie aussi de cet avantage (décroissance du varroa) ?

[Pascaldanlmorvan]

peut-être si on tient compte de l’interruption de ponte et de l’absence de larves de mâles dans une colonie jeune en cours de régénération, qui a autre chose a faire que d’élever des bourdons principale source de varroas par leur incubation plus longue, l’incubation d’ouvriere ne permet qu’une génération de varroa au maximum alors que le mâle permet 2 ou 3 générations successives (je n’ai pas les chiffres exacts sous la main) le niveau de risque n’est pas du tout le même pour la colonie.
bonne journée
Pascal
Chez nous les abeilles sont très bien sorties le jour de l’an beau soleil et vent du sud, principalement pour ramener de l’eau… tout le monde avait l’air en forme

[Franz]

J’ai ressorti ce vieux message car je me pose la question : est-ce que l’essaim artificiel bénéficie aussi de cet avantage (décroissance du varroa) ?

Je crois que c’est Jean Riondet qui estime une réduction de 50% de l’infestation dans les essaims artificiels l’année de la division (je suis sûr du chiffre, je l’ai lu tout récemment, mais où ?).
Il compare l’essaim artificiel à la colonie souche dans laquelle il y a eu prélèvement de cadres de couvain mais pas d’interruption de ponte