- Ce sujet contient 15 réponses, 12 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
Morelia, le il y a 2 années et 7 mois.
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bonjour
est ce qu il y en aurait parmi vous qui utilise varomed !!
et surtout quand et comment vous l utilisez !!
dans ce que ma fille a trouvé c est pas tres clair !! ca change suivant les regions !!
pas evident de s y retrouver !!!
merci a+Comment ça change avec les régions ??
En provence, on rajoute un peu de rosé, alors qu’en normandie on met du calva ??Ici, on y rajoute de la mirabelle.
Si je comprends bien : çà pourrait marcher avec des abeilles “bourrées” avec de l’alcool ! …
Encore une nouvelle dépense que nous n’avons pas prévue …..Bonjour,
Alcool + gros température….vous aller faire l’hydromel dans les ruchesNotre véto du GDSA parle de faible concentration de l’AO et AF ds ce prod et donc plusieurs passages nécessaires et possibles sans trop de casse. Pour moi ça reste des acides qui s’attaquent à la cuticule de nos zazas donc si trop de passage ça doit être moyens pour la reine et les ouvrières.
Les ouvrières, elles vivent pas très longtemps, donc ça peut passer.
Mais les reines, elles doivent déguster.
Avant que ça devienne à la mode, il me semble que l’on disait pas plus de 2 douches acides par an.
Bien sûr, les varromed et autres ont intérêt à en vendre le plus possible, doit y’avoir une grosse marge !Que reste t’il actuellement pour être dans les clous ??
A part varromed et apibioxal qui ont été pompés sur nos pratiques……
Comment traitez – vous ?C’est vrai qu’a l’heure actuelle on arrive à la limite des traitements avec l’apparition des résistances du varroa à l’amitraze et surtout aux Fluvalinates. Perso je fais deux traitements un long (lanière) et un flash et j’ai quand même de la casse, après d’autres paramètres entrent en compte notamment les infestations initiale avant traitement.
Moi je fais 2 à 3 passage au varomed en complément de lapivar. Si il n’y a pas eu de rupture de ponte en hiver j’en fais un à la visite de printemps (1 bouteille par lot de 30 ruches environs) . Après le colza je fait un passage ( ça aide à decompacter le pollen qui se trouve dans le NAC ( nid à couvain) 1 bouteille pour 20 ruches) et un autre passage mi juin avant le tournesol (2 bouteilles pour 30 ruches) ce dernier je ne sais pas si il a un réel impact sur la miellée de tournesol mais je le fais pour faire chuter la pression varroa pour avoir un taux d’infestation acceptable mi août à la pause des lanières. APIVAR. Je le fais aussi pour ne pas faire que de l amitraze vu qu’il y a une résistance à cette molécule. Et on peut s’attendre à une résistance à l’acide oxalique si ce n’est déjà fait au vu du nombre de traitement administré aux ruche à ce produit. Quand à varommed il préconise 5 passages par ruches par saison ce qui pour moi qui fait majoritairement du miel de grandes cultures que je vend en gros est financièrement pas rentable.
Pour l’instant aucune étude montre de résistance à l’oxalique ! Après honnêtement regarde les études mais ces passages de varromed peut être pas tous n on aucun impact sur le varroa et l infestation final ! A part celui normalement hors couvain l’hiver. Voir le phenome de rattrapage ! Produit très cher pour ce que c’est ! Vraiment pas bon les inventeurs de produit de traitement ,a part pour marger plein pot. Par contre l apivar commence à y avoir de sérieuse résistance localisé ! Les flash marche pas . Pour avoir un réel impact quand y a du couvain il n’y que les application longue durée qui on un impact sur l’infestation en général ! Peut être que l’étude de l’adapi est mauvaise moi aussi ça m’a surpris ! Il on fais trois lots un avec trois sublimation d’oxalique au printemps et un avec masq et au comptage de l’été le lot pas traité était pareil que le lot avec les 3 sublimation. Y a que le masq qui a eu un impact sur l’infestation final bon y d’autre souci avec ce produits . A revoir si cela intéresse. Je suis pas sur qu’elle y soit encore après le tintamarre des vetos bonne saison
L’an dernier j’avais remarqué une forte infestation après 10 semaine d’apivar en test flash. Et cette année l’agri ou j’ai les ruches me demande si je peux pas avec la combi enlever un gros guêpier au bord du chemin un peu plus haut dans une souche ! Et quand j’y suis allé en fais c’est une jolie colonie d’abeilles qui était la. J’ai d’ailleurs récuperer son essaims qui est parti en avril et qui était plutôt jolie , bon il est pas rester, j’ai réussi à le traité avant qui reparte! Je sais pas si y en a d’autres et combien mais ça fais des foyers de reinfestation potentiel ce qui expliquerai les remonter des chutes malgres le traitement… Ca m’ennuit mais je devrai le détruire cette année ça risque d’être pareil.
Il est si près que ça de ton rucher ?
A 50m! Et j en connais qu’un mais il doit y en avoir d’autre et ça, dans pas mal de région je le prenais pas vraiment en compte. c’est des usines à varroa qui peuvent reinfeste un rucher à l’automne et faire baisser l’efficacité normal qu’aura du avoir les traitements. cette essaim si j avais pu le garder en vie la va falloir que je l enleve vu que le proprio veut couper le bois autour. je l’aurai juste traité et laisser tranquille pour pas qu’il dissimine autour… Par chance, l’essaim d’avril qui est parti de la souche. j’ai pu le traiter avant qui se rebarre ! Déjà ça en fait deux j ignore combien ils sont !
Anonymeil y a 2 années et 7 moisRang: ReineMessages: 159220 ptsje ne suis pas sûr que détruire des colonies vivant à l’état sauvage soit une très bonne idée.
Toutes les études sur les passages de virus entre elevage et monde sauvage vont dans le même sens : ce sont généralement les élevages dans lesquels se developpent les parasites (concentration des colonies, grande présence de couvain, essaimage limité, génétiques peu résistantes) et qui les repassent aux colonies sauvages…. et même aux autres espèces (bourdons par exemple).
+1 avec Mathieu, de plus Randy Oliver avec ses 4 comptages de varroa phonétiques par ans sur plusieurs milliers de colonies a clairement démontré que l’on se ré-infeste nous même : quel que soit le moment de l’année si l’on compte on s’aperçoit que 75% des varroa sont dans 25% des ruches, c’est ces têtes à poux au milieux de nos ruchers qui nous ré-infestes, pas les quelques malheureux essaims sauvages qui vivotent de ci de là…
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