8 sujets de 1 à 8 (sur un total de 8)
    • Rang: Oeuf
      Messages: 4

      Bonsoir, qui peut me conseiller sur le constat suivant: miellee en cours (lavande) et les cadres de corps se remplissent et rien dans les hausses. Je crains l’arrêt de ponte et l’absence de reci’te.
      Dois je retirer 1 ou 2 cadres de miel, partitionner pour faire monter les abeilles dans les hausses?
      Merci pour vos conseils

        Rang: Butineuse
        Messages: 351

        C’est normal…elle remplissent le corps d’abord et ensuite elle montent, mais la majoritë des colonies suivant les races bloquent quasi tout le corps, c’est pour ça que chez moi ils ont tous des tangentielle comme extracteur..surtout la noire locale et la caucasienne moins la buck. Le miel de lavande pour une bonne partie vient surtout des cadres de corps. A la sortie de lavande il débloque les ruches et augemnente ainsi la moyenne. Je le faisait au début mais avec les divisible dadant qui se bloque pas d’ailleurs sur un niveau et les ruchettes plus besoin. Je le fait même plus sur les Dadants qui me reste ça évite de nourrir totalement. En faite elle se gère très bien et les ruches complètement bloqué à la fin des lavandes sont très belles au printemps… L’argument qu’il faille débloqué la ruches pour la ponte de la reine ne tiens pas pour moi…. Elles gère ça depuis des lustres très bien

          Rang: Reine
          Messages: 6672

          Je ne le fais plus aussi. Ça permet juste de faire plus de miel. Par contre c’est rarement du jolie miel de lavande.

          C’est très fastidieux à faire. Elles savent très bien se gérer, certains leur prennent beaucoup et remplacent par du sirop.

            Rang: Oeuf
            Messages: 4

            Je n’ai pas très bien compris: qu’est ce que vous ne faites plus ?

              Rang: Reine
              Messages: 1801
              6 pts

              Les corps.

                Rang: Reine
                Messages: 1543
                Nb de ruches: 48
                Localisation : France
                208 pts

                En général ce qui nous chagrine c’est lorsqu’il n’y a pas de miel dans le corps.
                L’apiculture perd son âme.

                  Rang: Oeuf
                  Messages: 4

                  Je comprends et partage votre réaction. Ma préoccupation première est le bien-être des colonies au fil des saisons. Cependant, j’aimerais bien comprendre.

                    Rang: Reine
                    Messages: 1543
                    Nb de ruches: 48
                    Localisation : France
                    208 pts

                    La situation est celle ci :
                    Tous les matins un certain nombre de personnes souhaitent faire l’acquisition d’une ou plusieurs colonies d’abeilles ce qui demande la compréhension du fonctionnement de celles ci.
                    Mon exemple est imparfait mais quand on veut conduire un véhicule, il faut faire l’effort d’apprendre et se faire aider.
                    Il n’y a aucune problème à vouloir une ou des ruches mais comme les gens viennent tous de milieux artificiels, il faut se reconnecter avec la nature, connaître ses lois et les respecter.
                    Cela coulait de source quand les gens habitaient à la campagne et connaissaient la vie.
                    Il faut donc acquerir des bases ; les réponses sur ce forum ou sur un autre sont insuffisantes, celles qu’on y trouve s’adressent à des personnes qui ont déjà un minimum de connaissances.
                    Dans le cas présent, il n’y a pas trop de miel dans le corps, il y a du miel que les abeilles ont fait pour leur survie, quelles placent où il leur semble qu’il doit être placé.
                    En fonction de la saison, de la miellée, de l’abeille, elles peuvent mettre le miel dans la hausse et utiliser tout le corps pour se développer, ou pas.
                    Ce dont on peut être certain, c’est que lorsqu’une colonie est populeuse, qu’elle occupe tout le corps et qu’il y a encore des ressources, à ce moment là, elle va occuper la hausse.
                    Il faut donc observer, faire preuve de patience et faire confiance à l’abeille.

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