[machairodus]

les fécondations ont été très bonnes car j’avais 22 ruches extrêmement prolifiques.
J’ai multiplié durant toute la saison.
J’ai donné le sirop d’hivernage début Août.
Puis à mon retour de vacances, j’ai constaté qu’elles n’avaient pas operculé le sirop dans les corps de ruche.
La seule erreur que je pense avoir fait c’est la visite d’automne trop tardive (octobre)
Pour le reste je ne vois vraiment pas pourquoi j’ai une hécatombe pareille.
Même un essaim énorme que j’avais récupéré et qui avait un développement tout à fait normal est mort.
J’ai mis toutes mes ruches sous candi durant TOUT l’hiver. Elles ont eu un ou deux cabochons de candi à demeure.
J’ai traité contre Varroa aussitôt après le sirop hivernal. Une fois avec du thymol (sur le haut des cadres) puis avec avec une bande d’acide formique dans le nourrisseur)
J’en ai perdu 16 en novembre/ décembre.
j’avais des essaims achetés auprès de professionnels (Caucasite, noires, Starline)
j’ai multiplié les ruches principalement sur les Causasites car c’était les seules à avoir passé l’hiver précédent sans casse.
l’hiver précédent j’en ai perdu 3 sur 8

[Anteis]

Je ne sais pas où vous vous trouvez, mais pour un hivernage optimal, d’abord il faut nourrir en fin août, troisième semaine.
Ne sachant pas où vous vivez, tenez compte de ceci:

– ici, les pontes ont cessé à mi juin, trou de miellée vertigineux dû à la sécheresse et aux floraisons galopantes jusque fin mai.
– les pontes ont repris mi août au mieux
– nourrissement et stimulation de fin juin à mi août, les cadres dédiés aux réserves étaient secs fin juin!
– à la même époque, position hivernale des abeilles : grappe bourdonnante à l’ouverture, aucun mouvement, aucune sortie.

En fin de nourrissement, il est très important d’ouvrir vos colonies afin, si besoin, de déplacer la nourriture, de sorte que la reine, au centre du nid, ait toujours un cadre à pondre.

Vu les difficultés tout à fait exceptionnelles à pourvoir les ruches en abeilles l’été dernier, j’ai nourri tout l’été, pour ainsi dire. Et j’ai volontairement limité le nourrissement hivernal au strict minimum. En effet, la nourriture était largement non operculée, nourrir plus ou faire en sorte qu’elles aient des réserves normales aurait augmenté le danger de perdre encore plus d’abeilles d’hiver en leur donnant trop de travail.

Résultat : mes voisins qui n’ont pas travaillé comme cela ont tout perdu.
Mes colonies sont là.
Mais, les réserves sont dangereusement basses, il faut les nourri depuis que le mauvais temps s’est installé.

Ce sont les conséquences d’une saison 2011 catastrophique au point de vue apports de nourriture au nid. Le problème, malgré leur survie plus ou moins confortable cet hiver, est qu’il faille nourrir à une époque où je ne le fais jamais. Mais c’est ça ou tout perdsre à très court terme.

[machairodus]

je suis en Ile de France, à 30 km au sud de Paris.
Mon problème c’est que je pars en vacances de la mi juillet à la fin de la 3e semaine du mois d’Août.
Durant ce temps je ne sais pas s’il faut nourrir car il y a un trou dans la miellée ou non.
Alors comment je dois faire ?

[maya39]

j’utilise ces trappes ,avec des peigne nicot ,2 trous agrandi,a chaque extrémités au diamètre 8 ,je les pose pour la visite de printemps et les enlève a la visite d’automne . petit truc pour que le panier colle bien au plancher :avec une lampe a souder et une pince je plie légèrement les oreilles du panier (quand c’est nécessaire) vers le bas .

[machairodus]

Salut,
je viens de mesurer les trous de mes peignes avec un pied à coulisse numérique : J’ai trouvé 4,84 mm.
Le problème vient donc du diamètre des trous !
Les abeilles n’ont pas pu passer et sont donc allées chez les voisines apporter le nectar et le pollen. C’est pour ça qu’il n’y avait aucune récolte.
Je viens aussi d’acheter un forêt de 5,2 mm afin d’agrandir les trous.
Je ne trouve pas de forêt de 5,1 mm.
Pensez vous que des trous de 5,2 mm feront l’affaire ?