10 sujets de 61 à 70 (sur un total de 70)
    • Rang: Butineuse
      Messages: 454

      Exact.

      Respirez-le, c’est un vrai plaisir.

      Ensuite, prenez une bonne respiration par dessus une bouteille de formique, vous m’en direz des nouvelles. :)

      Bonjour
      Je vous trouve de très mauvaise foi
      Essayez donc de manger du beevital pour voir, puisque vous préconisez d’en mettre au printemps, juste avant la pose des hausses.

        Rang: Reine
        Messages: 1340

        QUand vous l’aurez utilisé, vous verrez que vous ne serez pas incommodé par le fait de le respirer. Vous pouvez même en boire une petite gorgée, pas besoin d’appeler le samu.

        La démarche du BeeVital n’est pas de tuer les varroas en les empoisonnant. Les acides sont très dilués, de même les huiles essentielles.
        La démarche est bien de:
        – troubler l’atmosphère interne de la ruche de sorte que les facultés olfactives des varroas soient anihilées; perdus dans la ruche, ils se laissent tomber.

        – faire de sorte que les abeilles s’épouillent vigoureusement et longtemps, ce qui là aussi entraîne la chute des varroas et pour une part d’entre eux, destruction de la carapace par morsures des abeilles.

        – nettoyer les cellules infectées pas varroas.

        Le printemps, pour moi, c’est mi février.
        Les hausses sont posées maintenant.
        Mauvaise foi ?

          Rang: Nourrice
          Messages: 123

          Bonjour
          Étant jeune apiculteur j ai effectuer un traitement a l acide formique a l automne que de précautions j ai dues prendre mettre des gands etc
          Ce printemps j ai effectuer un traitement au beevital que du bonheur une seringue et hop c est fait simplicitee efficacitee

            Rang: Oeuf
            Messages: 19

            Le dégouttement est bien en période froide en réchauffant légérement le produit mais encore mieux en pulvérisation sur les cadres ,lorsque la visite d’une ruche est possible (15°)

              Rang: Reine
              Messages: 1340

              Par dégoutement en toutes saisons.
              Le jet du bouchon de la bouteille est bien adapté, très fin, plus performant que le dégoutement avec une seringue. Enfin, tout dépend de la taille de l’embout de la seringue….s’il est fin, c’est bien.
              Pulvériser, oui, on peut faire l’essai. Mais c’est un travail beaucoup plus long. Quelques ruches, d’accord, mais 200……..non. :)

                Rang: Gardienne
                Messages: 235

                Sur le forum Biz,certains parlent de mortalité de larves d’abeilles suite au traitement,info ou intox?
                A+

                  Rang: Reine
                  Messages: 1340

                  Bah, n’importe quoi. Mes colonies sont en train d’exploser, après trois traitements de mi février à début mars. Posons ici la questions aux personnes qui l’ont utilisé… Les seules larves qui dérouillent après traitement sont les larves parasitées. Je crois qu’on est là sur des discussions de personnex qui parlent plus qu’elles ne travaillent. Utilisateurs réels, à vos avis.

                    Rang: Larve
                    Messages: 47

                    Est ce qu’il serait judicieux de traiter au beevital (1 passage) les essaims artificiels une fois que les mâles sont nés et qu’il n’y a plus de couvain ?

                      Rang: Reine
                      Messages: 2815

                      Merci Papy Mouche !

                        Rang: Reine
                        Messages: 1340

                        La pulvérisation du beevital se fait par dégoutement.
                        Le jet qui sort de la bouteille ou canule qu’on y ajoute est très fin et suffisant.

                        Imaginez un peu le travail lorsqu’on doit traiter plusieurs centaines de ruches par pulvérisation!…….. Ne fut-ce que cent ruches, fortes en saison, cela fait pas moins de 800 cadres à sortir, pulvériser, retourner, pulvériser, remettre dans la ruche! Intenable.

                        Les essaims artificiels ont une démarche différente.

                        D’abord, leur état sanitaire reflète celui de vos ruches donneuses.
                        Le fait de prélever du couvain pour former une essaim réduit d’autant les reliquats de varroas dans les ruches donneuses, qui continuent à élever.
                        Dans l’essaim, nouvelle colonie, il y a un temps de latence, sans couvain, qui y réduit encore la possibilité des varroas à se multiplier.
                        Ils sont à traiter comme les autres colonies, fin juillet et septembre.

                      10 sujets de 61 à 70 (sur un total de 70)
                      • Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.
                      Ruches & Apiculture

                      Ruches et Apiculture