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franz88, le il y a 12 années et 5 mois.
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Certains peuvent-ils déjà voir les signes extérieurs de varroase ou est-il trop tôt dans l’ensemble.
Je demande ça parce que j’ai fait une tentative empirique pour éradiquer les varroas de mes 2 ruches et que je ne vois plus aucun signe de leur présence.
N’ayant que deux ruches, je n’ai plus de point de comparaison!salut!
quand t’en trouve
varroas habite a l’année ruche et ruchéquand on voit des signe exterieur de la varroas, style ailles atrophier et ou trainnante,le plus souvent tu te retrouve avec une non valeur,voire une ruche morte méme apres traitement le virus continnue sa progréssion souvent couplé a d’autre avec reine qui pont des oeufs contaminé egale CCD
sans indiscrétion?
c’est quoi ton traitement empirique?Bonjour,
même sans signes extérieurs, il faut toujours traiter vos colonies, toutes.
C’est le moment de faire un traitement : vos abeilles se préparent à l’élevage des abeilles d’hiver, il faut assainir au maximum les colonies pour que l’élevage soit sain et sans prédation. L’avenir de vos colonies est en jeu en ce moment.Par méthode empirique, qu’entendez-vous?
Fiez-vous à ce qui fonctionne.
Merci Anteis, mais ça je le savais et comme personne n’a encore répondu exactement à ma question, je m’exprime un peu, ça fait du bien!
Je risque ce que les autres ne peuvent pas faire. Si chacun se fie à ce qui fonctionne mal-Thymol-Apivar-etc.on ne trouvera jamais la solution.Comme le disait Apple et cela a fait ses preuves:”Think different”<http://fr.wikipedia.org/wiki/Think_different>.Toutes les grandes inventions et découvertes l’ont étées par ce principe.
En cas de perte hivernale ,ce qui serait nouveau, comme il très facile en deux ou trois jours de localiser quelques colonies sauvages,j’irai chercher au printemps celles que j’ai déjà repérées et qui auront survécu .N’étant pas professionnel, mes besoins en miel seront largement couvert, je n’ai pas d’impératif de rendement et étant retraité, j’ai tout mon temps. Je ne récolte toujours que 20 kg à 30 Kg par ruche, jamais plus, jamais moins, je sais que ce n’est pas terrible par rapport au gens du métier mais ça me suffit surtout en ne faisant rien.
L’idée est que je veux du miel que j’appelle “Sauvage”, je ne traite jamais mes ruches avec un quelconque produit chimique du commerce, je ne nourrie jamais mes abeilles, je les laissent se débrouiller en sauvages et je récolte donc à la fin de l’été du miel “milles fleurs” 100% naturel & absolument succulent à mon gout et au gout de mes proches. Pas de frais ni de travaux inutiles, pas de cire gaufrée, pas de fil à tendre, pas de portière, pas de grille à reine,etc, ne rien faire, ne pas toucher, observer… La seule chose qui ne soit pas naturelle, c’est la ruche et ses “Petits trucs”. Si il y a des polluants dans le miel, ils ne viennent pas de moi. Marche ou crève, c’est mon leitmotiv. Ma nouvelle souche a été récupérée dans une vielle caisse en bois abandonnée dans un terrain vague et elles ont l’air de fort bien s’accommoder seules avec les Varroas depuis trois saisons. Avec ma dernière modification, je ne vois plus de signes de Varroas d’où ma question Simple restée sans réponse Simple. Je n’ai jamais vue mes reines et la population est mixte, noires ou plutôt grises et des plutôt italiennes. Les faux bourdons semblent être hybrides de noires et d’italiennes mais ne sont pas exactement identiques entre eux.(Cela ne semble pas normal et pourtant ça l’est, et pas par dérive). Si les ruches essaiment, c’est parait-il pour propager l’espèce, peut-être pour changer de reine ou pour d’autres raisons peu m’importe, ce qui doit être sera et je laisse faire.
Mon père de 92 ans me parle du “Sphynx Tête de mort” et du cri qu’il pousse lorsqu’on le saisit parce qu’il l’a vu dans ses ruches et tenu dans ses doigts. Il ne me parle pas du Varroas.
Le problème d’internet c’est que l’anonymat permet à tout un chacun de raconter ce qu’il veut.Tout le monde répète ce qu’il a lu ailleurs et 99% de ceux qui vous parlent de la sortie d’une reine, de son retour après fécondation etc. n’ont jamais rien vu de pareil. Les “experts” sont légion et les écoles d’apiculture ainsi que les Apiculteurs enseignants enseignent tous les mêmes méthodes, bonnes et mauvaises. On vous y apprend donc aussi les maux et leur remède.
Où est l’innovation? Dans le CCD et la recherche qui va avec? Dans le matériel d’élevage de reines? Dans la fécondation artificielle? S’agit-il vraiment de progrès ou plutôt de remède à des maux qui vont grandissants?
Dadant à réussi à imposer un modèle de ruches qui ont fait sa fortune et qui ont grandement participé à l’apparition massive des maladies absentes autrefois des ruches artisanales a en croire les vieux livres d’apiculture et les vieux apiculteurs. Tout ayant été standardisé selon ce système, il est décemment impossible pour un professionnel de changer de pratique. Il lui faut produire du miel “ceci”, du miel “cela”,c’est à la mode alors c’est ce qui marche. Il faut remèrer, traiter, inspecter les cadres,etc. ouvrir et encore ouvrir. Tout doit être compatible avec le standard. A “devoir” trop gagner on fini par trop perdre! Les innombrables pertes de colonies qui en découlent amplifient le carnage. On vole les ruches. Les virus et autres parasites présents dans les élevages sont diffusés à grande échelle en “24H Chronopost” par les marchands de Reines, d’essaims, de paquets d’abeilles,etc. . Ils n’ont pas le choix. Les certificats sanitaires n’ont aucune valeur. Qui a reçu un essaim avec certificat sanitaire et sans Varroas, entre autre? Personne.
Si vous avez la chance de n’être qu’amateur, et seulement amateur, triez les infos, utilisez votre libre arbitre et votre bon sens. Vous n’êtes tenus à aucun standard sauf avec vous même. Respectez les principes de l’abeille pas forcément ceux de l’apiculture.
Par exemple, pensez à la colonie sauvage qui vit dans un vieil arbre creux sans tôle,sans plastique, sans visite, à l’abri d’une bonne couche de bois isolée par de l’écorce et qui ne gèle jamais , qui ne cuit jamais, car les racines enfouies au plus profond de la terre permettent à la sève qui circule plus ou moins vite de limiter les écarts de températures excessifs.Voici un des “Petits trucs”.
Le matériel commercialisé tient quelque fois de l’hérésie totale. Essayez de poser votre main nue sur un toit en tôle en plein été ou pendant un grand froid et vous comprendrez l’absurdité de cette pratique. Ouvrez une ruche ainsi couverte en plein hiver (non, ne le faites pas) et regardez la condensation sur le couvre cadre en “Plastique”… c’est n’importe quoi! Il suffit de rester à trois dans une voiture fermée lorsqu’il fait froid pour vite se rendre compte sur les vitres que la respiration dégage une énorme quantité de vapeur d’eau et dans la ruche avec 10 ou 20 000 petites locataires voir plus, c’est la même chose. Le bois moisi, et une boite qui devrait tenir 20 ans sans rien lui faire est a remplacer rapidement avec le coût qui s’en suit. La maladie s’installe et le Régent ou le Cruiser n’y sont pour rien même s’il ne sont pas innocents par ailleurs.
Vous, vous n’êtes pas obligé de pratiquer la Transhumance. La ruche au fond du jardin, c’est génial mais ça ne fait pas tout. Lorsque vous voulez un autre miel, achetez le à ceux qui peuvent le produire , faites vous plaisir, faites leur plaisir. Les champs de lavande ou les forêts de châtaigniers ne poussent pas partout. J’étais photographe, et les nombreux amateurs ne m’ont jamais empêché de gagner ma vie. A chacun son domaine!Messieurs les Pro, à quand sur les étals, la nouvelle appellation “Miel Sauvage” “Produit de France”?
Comme il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué, j’attendrai encore un An la confirmation ou pas de mes espérances avant de parler ou pas de mes “Petits trucs”. A suivre.Bonjour !
Tantôt t’es dans le domaine du rêve tantôt dans la formule du marche ou crève. Q’en est-il exactement ?
Bonne journée !il y a 12 années et 9 moisRang: ReineMessages: 1605Localisation : Rue des Rosiers, 58360 Saint-H1 ptBonjour,
Voyez par vous même : Vous prenez une poignée de couvain de mâles operculé (sous la hausse on en trouve souvent) vous l’ouvrez sur une assiette et vous comptez les varroas sur les nymphes on les voit parfaitement à l’oeil nu. Vous verrez la réalité en face : TOUTES les ruches sont infestées. elles vivent avec, plus ou moins bien…
si < 20% de nymphes parasitées vous êtes clean Même si vous traitez efficacement les mâles les transmettent de ruche en ruche... Si vous attendez "des signes extérieurs" ce sera trop tard. Chez nous le milieu est favorable aux abeilles, les ruches vont bien je traite quand même après la récolte, en chimique (apivar) ou bio (thymol) selon les sites.
rien de neuf sous le soleil
l’abeille était là avant mous et le serras après nousintéressant
je comprend mal l’idée de prendre 30 kg bon an mal an …
et la pratiquemais l’expérience m’intéresse
une colonie essaime et s’en sort
production amoindrieune qui ne ferais pas as dit on 3 ans d’éspérence de vie
donc cela laisse du temps pour expliquer un peu plus !
les essaims sauvage
avec du miel comme boussole ?quel région ?
pour les signes extérieurs
appart les ailes atrophiés et les petites abeilles (problème aussi rencontré lors du non changement de cire)
il y a comme expliqué plus haut le couvain de mâle dans la ruche
les chutes sous la r^cuhe à travers le grillage
mais avec une boîte en bois …je sais pas trop
prendre un échantillon d’abeille les rincer dasn l’alcool philtrer le tout et compter les abeille set les varroa … mais c’est peu précis
Le long article est intéressant et inintéressant à la fois, vu qu’il n’y a plus rien à faire qu’à laisser faire………….
Quant au miel “de france” ……….. là aussi on est dans le rêve total:
– la production étant trop faible, les fûts sont achetés dans les pays de l’est Europe à des prix dérisoires et honteux pour ensuite vous offrir des miels en pots, étiquetés “France” ou pas.Cette année, aux dernières nouvelles, on aurait fait 60% de récolte de moins qu’une année standard en Belgique. Si les prix n’explosent pas, vous aurez compris….
Tout à fait d’accord avec ce qu’il y a au dessus. Il est nécessaire d’aller chercher les varroas dans le couvain de mâle ou sur la sous plaque après traitement.
Je me suis fait des couvre cadres transparents commodes et là, je viens de passer une 1/2 heure à regarder mes abeilles de plusieurs ruches à travers le transparent, avec une grosse loupe. On peut en voir en position ventrale, si elles marchent sur le plastique, ou dorsale autrement. Je précise que je vois à l’oeil nu les acariens qui tombent sur la sous plaque.
Et bien, aprés avoir observé plusieurs centaines d’abeilles, je n’ai pas vu un seul varroa ni une abeille aux ailes déformées.
Je ne prétends pas ne pas en avoir, on verra, je mets l’apivar le 16 aout, aprés la récolte.
Ni que le varroa soit un mythe, mais, comment ça se fait, alors que j’ai enlevé le dernier traitement le 15 novembre de l’an dernier?il y a 12 années et 9 moisRang: ReineMessages: 1605Localisation : Rue des Rosiers, 58360 Saint-H1 ptTout à fait d’accord avec ce qu’il y a au dessus. Il est nécessaire d’aller chercher les varroas dans le couvain de mâle ou sur la sous plaque après traitement.
Nécessaire… c’est comme on veut mais si certains imaginent que leurs ruches sont indemnes de varroa faites-le, et vous verrez la réalité…
Les traitements même efficaces ne l’empêchent pas de revenir (transport par les mâles)
Les ruches sauvages vivent très bien avec je confirme je suis attentivement 5 ou 6 essaims sauvages autour de chez moi, si un meurt il est remplacé dès le printemps suivant l’emmplacement n’est jamais vide et l’espèce survit;
Je vois le traitement comme une “aide” à la ruche pour ne pas l’affaiblir inutilement, si la sélection naturelle permet à l’espèce de s’y adapter je veux bien mais ça pourrait prendre combien de temps…Oui, oui, Pascal, je suis tout à fait d’ac avec toi. Je ne prétends ni avoir des abeilles qui supportent le varroa, ni en être indemne.
Pour ma part, j’essaye de ne penser au varroa que deux fois par an, quand je mets les lanières et quand je les enlève. Ça va être la 4° année que je traite.
Mais, en bon naïf sans expérience, je m’étonne de ne pas voir de varroa ni d’ailes déformées sur mes abeilles, aprés un examen approfondi.
D’autres ont des loupes et des transparents en couvre cadre. Peuvent’ils regarder sur leurs abeilles ? Il y a là quelque chose que je ne comprends pas.
il y a 12 années et 9 moisRang: ReineMessages: 1605Localisation : Rue des Rosiers, 58360 Saint-H1 ptben nous devons être dans le même cas,
l’infestation en fin d’été est préférentiellement sur le couvain de mâles c’est pour ça qu’on arrive à les voir,
et si on n’a que quelques centaines de varroas sur les ouvrieres, c’est “peanuts” pour la ruche elle va très bien et c’est normal que tu ne les voies pas, du moins je suppose…
tu dois avoir une idée en comptant sur les plaques sous la ruche après traitementmoi aussi je traite comme toi depuis 2009 et tout va bien
les ailes déformées j’ai cru comprendre que c’est une affection virale favorisée par le varroa, mais pas directement causée par lui.
Ouais. La seule explication que je vois, après réflexion, c’est que je suis passé de 12 à 25 ruches ce printemps. Du coup, toutes les ruches ont été divisées, ce qui entraine un arrêt de ponte. Les plus fortes ont été divisées fin mars, avec perte de butineuses pour la souche. Puis, en mai j’ai fait des essaims en prélevant 3 cadres de couvain dans les meilleures divisions, que j’ai déplacées, leur faisant perdre les butineuses et provoquant un nouvel arret de ponte. Puis, les plus fortes se sont mises à essaimer en juin, provoquant à nouveau l’ arret de ponte.
Mais, comme tu dis, j’aurai la réponse quand j’aurai traité.
c’est un peut mous,heu!nous qui décidons de ceux qui peuple nos ruche
une mise au point est nécésaire,on focalise sur varroas et on oublie l’arriere plan des virus qui sont seul résponsable avec d’autre pathogéne de la mort des colonie
y a de quoi faire un bouquin,donc je reste dans les grande ligne
bien comprendre que le probléme est génétique(héliogéne)
donc,quand on a une ruche de résistante,il faut au moins cinq ruchette pour retrouver ou garder cette caractéristique,on peut pas se permettre d’etre passif,mais pas besoin de labo ou de techénique complexe,un illétré avec remrage par cadre et une trentaine de ruche ou plus y a arrive sans probléme avec un peut de bon sens
quand on cherche un peut a comprendre ce qui se passe,on gagne du temps et on s’ouvre de nouvelle porte
l’exemple des males différent de moici(F2 de trois voie)montre clairement l’expréssion génétique selon les alléne chromosomique et leur liéson morphologique,exprimé recésif ou dominant,ya pas de dilution,juste une proabilité comme au lotoSalut,Canna!
Je suis dans l’obligation de faire mes reines.
Pourrais tu etre plus claire au sujet des males,j’avoue ne pas comprendre tas phrase final.
Merci,de prendre le temps de me répondreouai,
tu peut taper sur google,pour la théorie,chiffre et autre terme savant;youtube pour quelque documentaire évolutif
en pratique,ce qu’il faut retenir,c’est que le male transmet tout ces chromosomes a sa décendance,donc le patrimoine génétique de sa mère amplifier et concentré par la réduction chromosomique,sa s’appelle la parthénogénése. Ceci est une épée a double tranchant
les maladroit se blesse avec la consanguinité et les expérimenté s’en serve pour fixer de nouvelle caractéristique(mutation évolutive)dans le cas qui nous concerne le comportement d’épouillage et pour les plus marqué(différent degrés d’expression du géne)un piégeage dans du couvain de male est chasse au varroas sur les cadre,qui lui aussi s’adapte et ainssi de suite,c’est là loi de la nature
c’est dans la reine que ce fait le mélange génétique chaque ovaire a un code différent ce qui fait la variabilité des individus,bien visible avec les males(haploide)
ATTENTION!cette variabillite ne concerne pas le chromosome sexuelle,qui elle est obtenue par les pères(la variabilité sexuel)Merci canna,
la génétique de l’abeille est bien particuliere,pas trop compliquer a comprendre qu’il y a des parent pauvres,des riches et une classe moyenne.
Dans la pratique,ça a l’air un peut plus compliquer,vue le nombre de variable.
je suis sure de l’italoaméricainne,au début sa aller;bonne production,douceur et tout,juste un traitement et un petit coup de sirop en decembre/janvier;je multiplier mes ruches par division.
Comme je souhaite devenir pros,je me suis mis au gréffage,en 2 ans j’ai multiplier par quatre le nombre de mes ruches en suivant les conseils littéraire,mais maintenant c’est la cata,agréssivité,essaimage a tout vas et mycose en grand.
Ma question:est il possible de retrouvez les qualité original et comment?
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