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abeille64, le il y a 2 années et 5 mois.
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Ponte nouvelle reinesalut baba
ta photo me fait penser a 40 ans en arriere !!
juste au commencement du tournesol on avait unehausse et plus de couvain operculé a chaque caisse !!
ca faisait un paquet de butineuses en puissance !!
avec les vieilles generations de produits il y avait du pucerons sur tournesol !!
ca dopait les colo et on faisait en meme temps une hausse de miellat!!!
mais ca c etait avant !!!
maintenant on met du sirop a la place !!! vive le progret !
en plus a l epoque on faisait 3 tonnes a l ha de graines !!
maintenant les agri ont du mal a faire 2,5 tonnes !!
a+Début de miellée dans la vienne sud, les balances indiquent 3kg/jour depuis 5 jours, pourvu que ça dure..
Bizarre car pour richard86 qui n’est pas loin, c’est fini et moi ça commence..
Surement le tournesol ou peut être sarrasin, je ne vois pas trop ce que ça peut être d’autre je vais aller voir demain.
Il y a 2 ans j’ai eu une miellée tardive sur le tournesol après le 15 aout, j’avais enlevé les hausses et les cadres de corps étaient remplis de miel à 80%, j’ai pu tout hiverner sans aucun nourrissement.
Du coup cette année si la miellée se confirme, je vais laisser une seule hausse, je ne vais pas doubler, pour laisser les abeilles blinder le corps.salut baba
ta photo me fait penser a 40 ans en arriere !!
juste au commencement du tournesol on avait unehausse et plus de couvain operculé a chaque caisse !!
ca faisait un paquet de butineuses en puissance !!
avec les vieilles generations de produits il y avait du pucerons sur tournesol !!
ca dopait les colo et on faisait en meme temps une hausse de miellat!!!
mais ca c etait avant !!!
maintenant on met du sirop a la place !!! vive le progret !
en plus a l epoque on faisait 3 tonnes a l ha de graines !!
maintenant les agri ont du mal a faire 2,5 tonnes !!
a+J’ai connu se temps là , où ma production de tournesol tournait à 80 kg part ruche avec des champs décalés , j’étais même obligé de vendre a mimi , je n’avais pas assez de hausses , il fallait extraire et reposer dans la journée et le maturateur plein et un fut . J’ai laissé aussi quelques cadres de couvain operculé dans les ruches de production qui ont été remplis par la suite et prélèvement dans chaque ruche en trois fois suivant la quantité et le besoin . J’en ai encore qui ponde à la maison , si les ruches sont toujours aussi populeuses après le tournesol et couvain je réfléchis à me payer 10 reines fécondées et prélevé un à deux cadres par ruches , j’ai toujours des mâles et couvain mais sa risque d’être juste . ( j’ai fait plein de photos mais sa passe mal
)
Le tournesol à commencé il y a une semaine, entre 1 à 2 hausse par ruche, environ 2 kg par jour d’après la balance, malgré un sol très sec.
Nous ici dans le Gers sa se calme un peu mais sa mielle quand même malgré la chaleur elles sont a la moitié de la deuxième hausse en général elles risque de la finir sauf sur un rucher elles sont a moitier première. Mais la floraison va vite passer avec c’est grosse chaleur.
Bonjour, j’avais vu une étude qui disait que le tournesol dégageait le maximum de nectar autour de 32 degrés, mais au dessus de cette température il continue à en produire pas mal apparemment..
Sinon, je vais introduire des reines fécondées dans des essaims, avec la canicule il n’y pas de risque?
J’ai peur que la reine n’ait trop chaud dans sa cage d’introduction mise en haut des cadres.
J’ai posé des partitions en aluminium sur les toits des ruchettes pour essayer de limiter la chauffe..
Les ruches sont au soleil jusqu’au milieu de l’après midi.Dans mon coin, en début de floraison des 1ers tournesols, ça rentrait fort .
Les choses ont bien changé . Sur des + tardifs ,qui fleurissent à la vitesse V, ce n’est plus la même musique . Chaleur ?Sècheresse ?
En +Je trouve que sur 2 secteurs, la population a bien baissé .il y a 2 années et 11 moisRang: ReineMessages: 1541Nb de ruches: 48Localisation : France208 pts2020 et 2021 étaient ric rac en termes de résultats, cette année ce sera à diviser par 2.
Le tournesol dans le 32 à l’image du reste de la saison ; trois jours qui ont plafonné à 2,5 puis descente inexorable.
Ce jour on est de 900gr à 1,4 maxi en baisse quotidienne, normal vu les conditions.
Sauf déluge entre le 20 juillet (c’est pas le schéma privilégié) et début août on ne se refera pas le moral avec la callune.
Fin de saison pour 2022 qui restera dans notre région comme la pire année depuis 1980.
On va s’informer du montant de la mini retraite accordée et la prendre quoiqu’il en soit ; tout à une fin même les belles histoires parce que l’abeille nous aura passionnés.
Quelques dizaines de ruches pour accompagner les vieux jours, un coup de main si possible à la génération qui suit et garder la santé le plus longtemps possible.
L’abeille, sans l’objectif de rendement mais pour garder le rythme des saisons devrait y contribuer.
Et garder une attention particulière sur “ruche et apiculture” bien sûr.Toujours des paroles de sagesse ave CDSJO .
Tu as raison, la retraite, c’est une récompense du labeur de toute une vie , et il faut savoir en profiter tant que l’on a la santé .,car le temps passe très très vite
C’est une période privilégiée, ou l’on peu vivre sa ou ses passions sans obligation de résultat .
Le tout est de trouver le bon équilibre pour éviter de retomber dans l’obligation .Il faut profiter de tout les moments de la vie, j’en connais qui malheureusement arrivé à la retraite non pas pu en profiter.
Bon courage CDSJO, dans le sud c’est pas bien mieux…
Et puis je pense que si en France tu enlèves la miellée de colza, il s’est pas fait non plus des miracles.
il y a 2 années et 11 moisRang: ReineMessages: 1541Nb de ruches: 48Localisation : France208 ptsLe fil directeur n’est pas ce qu’il se produit ou pas dans d’autres régions même si quand on est apiculteur tout intéresse, mais ce que nos abeilles font chez nous au regard de ce qu’on sait qu’elles sont capables de produire, et qui fait ce que nous savons et ce que nous sommes en tant qu’apiculteurs, je veux dire ici de ceux qui vivent de l’abeille.
En actant que pour les apiculteurs amateurs qui ont de la bouteille, le ressenti peut être identique.
Il est indéniable que l’élévation des températures (minimales, hivernales et estivales) a des conséquences que nous commençons à percevoir.
Nous sommes dans l’observation et la tentative de compréhension de ce qui se passe.
Nous sommes aussi dans un début de débriefing des conséquences des réponses que nous avons tenté d’apporter aux problèmes de l’abeille lors de ces dernières années.
A mon avis, il y a eu deux axes de travail :
Un pour améliorer la productivité de l’abeille.
Un autre pour tenter de faire face à l’avalanche de problèmes auxquels cette abeille a été confrontée principalement, la chimie destructrice du monde vivant, les invités exotiques: varroa, frelon = leur déclinaisons (virus) à mon avis mal évalués à ce jour et enfin le changement climatique impactant l’abeille mais aussi et surtout le monde végétal dont elle dépend.
L’apiculteur a essayé de répondre aux deux problèmes simultanément de façon diverse mais principalement en recherchant une abeille “salvatrice” et en tentant de s’adapter par la technique (manipulations diverses, généralisation du nourrissement, etc….).
C’est loin d’être parfait mais nous sommes en légitime défense, il y a un devoir de réagir, un devoir de transmettre à nos enfants ce que nous serons parvenu à sauver, c’est de cela dont il s’agit.
Nous avons reçu en héritage une abeille de race non définie, une abeille domestiquée ou sauvage, c’était la même.
Une abeille qui piquait dur, qu’on n’avait pas besoin de nourrir, qui essaimait en fonction du temps et de son humeur qu’on acceptait et qui nous donnait du miel bien plus régulièrement que par les temps qui courent me semble t ‘il.
Chaque génération doit faire face donc nos enfants vont devoir faire vivre et eux aussi, transmettre.
Espérons le jour ou les abeilles que nous avons domestiquées pourront pour partie retourner à l’état sauvage et s’approprier à nouveau la nature sans notre intervention.
Sinon, foin de philo et de la technique ou de l’observation de notre quotidien qui nous interroge encore :
Soit X ruchers sur le tournesol dans le 32.
Avec les évolutions données dans un précédent soit une descente de poids lente et régulière sauf que ce jour (dixit 3 balances) on est passé de 0,9kg mini ; 1,3 maxi à 1,4 mini et 1,9 maxi.
Il n’y a aucune modification de l’apport (état des cultures) donc à mon avis, la direction des vents, ou une humidité relative ou ?
Parce que pour ce qui est de la température, c’est toujours tous aux abris, …sauf pour l’abeille.A cdsjo,
Désolé, passage éclaire sur le fofo, mais c’est pas l’ultra sélection de l’abeille par l’homme ou le problème de varroa qui fait les difficultés de l’abeille aujourd’hui, les autres insectes qui ne connaissent ni l’un ni l’autre de ces soucis on vu leurs populations décroître de 80% en 30 ans…
A voir sur le sujet un docu sur arte d’il y a une quinzaine de jours, “comment l’agrochimie a tué les insectes”il y a 2 années et 11 moisRang: ReineMessages: 1541Nb de ruches: 48Localisation : France208 ptsSalut max
Aucun problème avec ta vision des choses ; à une époque on a été manifester jusqu’à Bruxelles pour faire changer les choses, c’est donc qu’il n’y avait pas à nous convaincre d’autant plus qu’à l’époque les pertes d’abeilles étaient massives et instantanées.
C’est plus subtil (c’est pas tout à fait le bon mot) aujourd’hui.
Il n’empêche que nous avons perdu plus de 200 caisses à l’entrée de l’hiver dernier, hélàs une première et que je soupçonne un virus provoqué par le varroa.
De toute façon, il y a plusieurs causes qui les tuent ou les affaiblissent (carences alimentaires en pleine saison de développement), et c’est assez compliqué de les hiérarchiser.
Justement sur ce sujet de l’impact de la chimie, c’est un des rares espoirs d’amélioration, il y a une utilisation plus “rationnelle” grâce à l’action citoyenne.
Pour le varroa pas de solution à ce jour ce qui ne veut pas dire qu’on ne trouvera pas.
Par contre en ce qui concerne le dérèglement climatique, pour l’abeille et l’apiculteur, il y a soucis.
On arrive plus ou moins à maintenir un certain niveau de production de miel mais avec des solutions qui ne sont que des sparadraps, avec de plus en plus d’intervenants et pour un coût de plus en plus élevé.
Pour les types comme moi qui tiennent des chiffres personnels depuis plus de 40 ans, c’est affligeant voire désespérant, c’est pour ça qu’il est temps de refiler le bébé à ceux qui nous suivent.
Pour ce qui est de la sélection de l’abeille qui consiste en gros à faire venir des abeilles des 4 coins de la planète, aboutit à tout croiser pour s’apercevoir in fine qu’il y a un plafond de verre, on peut dire que l’abeille que nous avions est ou était en grande difficulté mais que notre tentative de solution a ses limites.salut cdjo
moi aussi l an passé j ai perdu la moitié de mes ruches !!!!
mais uniquement celles en pollinisations !!
pas les autres qui vont pas en pollinisations!!
et cerise sur le gateau !!
j ai perdu la moitié des caisses dans un rucher sedentaire, un agri avait fait du colza semence a proximité !!!
pour moi le virus du varroa est a exclure !!
a+il y a 2 années et 11 moisRang: ReineMessages: 1541Nb de ruches: 48Localisation : France208 ptsSalut pierro
Bon, le positif est que tu as pu identifier l’origine du problème, mais la cause ?
Perso, j’ai pu faire le distinguo entre des ruchers ayant des parcours et des lieux de stationnement, soit différents, soit identiques.
Mais je ne suis pas certain de mes soupçons à 100% et je vois venir l’hivernage sans panique mais avec quelque inquiétude quand même.salut cdjo
j ai eu un api pro au telephone y a pas longtemps!!
ca fait 15 ans qu il a abandonné le pollinisations !!
il m a dit perdre 20 000 euro / an !!
la cause = trop de pertes !!!
et quand je vois la cavalerie qui tout les ans cherche des ruches pour la pollinisation!!
je pense que les meme causes produisent les meme effets !!!!
a+il y a 2 années et 11 moisRang: ReineMessages: 1541Nb de ruches: 48Localisation : France208 ptsAlors quoi ?
Traitement particulier des semences au départ ?
Traitement de culture en cours de végétation ?
Fixation des abeilles sur une plante qui ne lui apporte rien ?
Quand on va sur le kiwi (en mai), c’est un pain de candi pour 15 jours sans quoi les colonies sont rincées (énorme apport de pollen de kiwi, développement en quantité de l’élevage mais déséquilibre probable dans l’alimentation).
Les plantes à semences sont souvent isolées et ne permettent pas à l’abeille de varier ses sources de nutrition, saturation d’abeilles sur un secteur rationné.
Je ne suis pas spécialiste de ce domaine mais il semble que les colonies en pollinisation (mais peut être pas toutes les pollinisations) demandent un suivi constant.
Quand tu vas polliniser (c’est plus trop de notre âge) tu suis le cahier des charges de l’agriculteur, quand tu vas sur une floraison mellifère, c’est toi qui fixes le cahier des charges en fonction de la ressource, en l’absence de tout autre critère.
Dans l’actualité, on est à ce jour, toujours à 1kg,5 sur tournesol.
Deux remarques, sur cette miellée on va sauver les meubles.
Sur cette plante les fortes chaleurs ne sont pas ou peu pénalisantes.
Pendant les quinze jours qui ont précédé la floraison, ces terres argileuses ont reçu environ 50mm en plusieurs fois, ceci explique cela.Sur cette plante les fortes chaleurs ne sont pas ou peu pénalisantes.
Pendant les quinze jours qui ont précédé la floraison, ces terres argileuses ont reçu environ 50mm en plusieurs fois, ceci explique cela.Bonjour,
Oui, les tournesols et toute la végétation ont de l’eau au pied avec les dernières pluies importantes.. Mais, presque toutes ces plantes ne font que survivent quand les températures dépassent les 26 à 28 degrés, plus possible d’absorber autant d’eau que celle perdue par leur transpiration, donc difficile d’avoir une montée de nectar…
Dans les cultures de ma régions, mis à part la luzerne qui fournit du nectar autour de 28 ° j’ai plus grand chose pour les zazas….
Pensez aussi aux colègues qui sont touchés par les gros incendies .
Courage à tous pourla suite.
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