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pierrolefou, le il y a 3 années et 7 mois.
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Ben même en Bretagne j’ai un rucher qui commence à ramener du tournesol. Bon c’est pas le sud, il y a UNE parcelle ! Mais elles vont dessus et il y a 10ha.
Je sais pas si va être la folie, mais au moins elles m’ont gardées pleins de mâles celles-ci. Donc j’ai pas résisté, j’ai relancé une éleveuse.
Et ça a une odeur particulière le tournesol ? Dans les ruches ça sentait bon, odeur chaude et un peu fruitée.
La c’est une qui a marché essaim avec reines d’hermano au 19 avril sur 6 c de hausses plus un peut être en plus après… Je crois que la divisible dadant sur un niveau à la recolte est la plus adapté à la miellée de lavande…Ça doit faire la cinquième année que je lui en prends, mi à part cette année où les 2020 ont essaimé, rien à dire, les ruches à 2 hausses de chataignier sont des Ermanno de mars 2021. Je lui prends les bucks méditerranéennes.
J’ai un peu tout testé chez lui et j’en suis globalement très satisfait. Le rapport qualité prix est même très très positif. J’en commande une 50aine par an généralement depuis 5 ans aussi.
Pour moi aussi les MDS en BF sont aussi mieux adaptées à mon circuit de transhumance (Drôme, Isère, Loire).C’est pour quel miellée la Loire ? Ta un peu plus de 30 ruches apparement… Au niveau qualité prix je sais pas à côté y a des essaims fait avec cellules de carnica ou buck au 9 avril qui ont autant de miel et on quasi rien couté. Je lui en reprendrai sûrement mais plus tôt la oui le rapport sera pas le même par rapport au cellules et encore il ne se ont pas développé comme il aurai pu avec un autre temps en mai ça reste quand même bien positif.
La miellée de tournesol donne bien dans la vienne.
Je pensais ajouter des hausses, doubler ou tripler selon le cas.
Mais je pense ne pas le faire pour les laisser saturer le corps et avoir un max de réserves pour l’hivernage.
Qu’en pensez vous ?
Ce qui me pousse à vouloir faire ça est que j’ai eu une belle miellée de tilleul à Paris, mais une fois les hausses enlevées les corps s’avérent peu remplis de miel, entre 0 et 3 cadres de miel de réserves dans le corps. Je vais devoir nourrir alors qu’elles ont rentré 1 ou 2 hausses en général. Elles ont surtout stocké en ‘haut’, à part une qui m’a mis du miel en couronne autour du couvain. Je précise que je suis amateur et mon but n’est pas d’optimiser la quantité de miel récolté.Hier j’ai fais ma tournée en Cévennes. Le châtaignier est fini sur le dernier rucher, ça a pris la grêle . C’est mieux que les 2 autres mais c’est pas terrible quand même.quelques une ont une hausse et demie.
Après je suis passé sur un rucher en montagne, là c’est la cartouche…. Des colonies mortes de faim et d’autres en limite de crever. Et au milieu quelques une qui ont fait la hausse !!! Pourtant c’était tout pareil. J’ai pas reconnu mes colonies.
Et j’ai finis sur un rucher qui miellait bien , j’en ai une trentaine de doublé et une vingtaine de triplés. Il reste du châtaignier, elles ne font que du pollen dessus, la bruyère erica , la ronce et serpolet sont en pleine fleur .
C’est pour quel miellée la Loire ? Ta un peu plus de 30 ruches apparement… Au niveau qualité prix je sais pas à côté y a des essaims fait avec cellules de carnica ou buck au 9 avril qui ont autant de miel et on quasi rien couté. Je lui en reprendrai sûrement mais plus tôt la oui le rapport sera pas le même par rapport au cellules et encore il ne se ont pas développé comme il aurai pu avec un autre temps en mai ça reste quand même bien positif.
Effectivement !
Au fil des ans il faudrait ajouter un 0…
Sinon la Loire c’est pissenlit/prunelier (miel de printemps), fleurs (acacia/aubépine), montagne (framboisiers/ronce), éventuellement sapin et callune. Bon cette année ça sera 0 au presque!
Après je produits surtout en Isère…
Le tournesol mielle fort. La hausse en 1 semaine.
48/64 de doublées. Pourvu que ça dure.le tournesol ça mielle de partout où il faut une nature de sol bien particulière? il y a des champs de tournesol pas loin de chez moi côté nord Isère mais je n’ai jamais trop vu de miel de tournesol à vendre sur le secteur
En général chez nous ça fait pas grand chose voir même rien du tout.
Cette année vu qu’ils ont les pieds dans l’eau, il est permis d’espérer même si en toute honnêteté je n’y crois guère.
Ce matin encore 22mm.Le terrain est argilo calcaire
bonjour
plus le taux d argile dans le sol est elevé !!
plus ca mielle !!
par chez moi il y a plusieurs nature de terre qui cohabitent !!
argilo calcaire, boulbenne, argilo limoneux silicieux, sable, graveleux !! et terre a la con ???
malgré le meme climat , meme pluviometrie, c est l arglo calcaire qui l emporte !!
hier elles bossaient a donf !!
j ai l impression aussi que les boites de semences ont compris comment fonctionnait la pollinisation en pratique par l abeille ! et non par la théorie des ingenieurs !!!
les 1er a avoir compris c est KWS !!!!
a+On a posé 700 hausses, il n’y en a plus.
Mais une ruche à 3 hausses, c’est 45 à 50 kg.
Déjà dit il y a quelques jours, c’est du pas vu depuis 25 ans, non pas des ruches qui vont produire 50kg, il y en a chaque année, mais leur nombre.
J’en tire trois enseignements :
– le tournesol a encore un potentiel élevé.
– cela demande des semis réussis sans stress jusqu’à la floraison
– la disponibilité en eau doit être importante (d’où peut être la nature du sol a son importance au travers de sa rétention).
Pour cette saison et à ce jour, en comparatif les plus belles journées (30°) ont donné
– 3Kg/jour pour la coriandre
-2,5 Kg/jour pour le sarrasin
5 Kg/jour pour le tournesol
Ces chiffres sont actuels relevés sur nos balances dans un rayon de 6kms avec des ruches de potentiels identiques.
La fin de floraison du tournesol est envisagée an bout de la semaine prochaine, le reste on ne sait pas au vu des températures moyennes anormalement basses annoncées pour les 15 jours à venir.
Par contre, vu le fort déficit en eau qui dure depuis le mois de mars sur les Pyrénées occidentales, il n’était pas envisagé la dernière transhumance sur la callune malgré le bon état (avec du retard) de la plante ; les dernières précipitations, le peu d’évapotranspiration et les pluies annoncées dans les 8 jours pourraient rebattre les cartes.
Position récupération, l’arme au pied, prêts à mener le dernier raid de l’année apicole vers le 8 avec 1 récolte 2 extraction 3 transhumance ; ensuite on pourra rapatrier et préparer les ruches pour l’an prochain qui ne saurait être pire, tous résultats confondus.En plus je n’ai pas mis des colonies de production. Ceux sont essaims de l’année partionnés sur 7 cadres. Ils avaient 5-6 couvains.
Si j’avais posé des colonies avec 8 couvains et une hausse d’abeilles , ça aurait été l orgie…Quelles sont les conditions météo pour que le tournesol mielle ? Mes ruches sont entourées de plusieurs hectares de tournesols dont les fleurs viennent tout juste de s’ouvrir, mais ils prévoient entre 20 et 26 degrés dans les 10 jours qui arrivent avec de la pluie en alternance avec du soleil. Est-ce suffisant?
A 25° la récolte représente 1/2 de celle d’une journée à 30° et plus.
Dans le premier cas, le nombre d’heures “utiles” de butinage actif est réduit de trois heures environ.
Départ plus tardif le matin et retour anticipé en fin de journée.
C’est une première explication.
Reste à déterminer si les températures supérieures agissent également sur les quantités de nectar délivrées.
Pour ce qui est de la période a venir, ce n’est pas l’idéal, par contre, baisse des températures = floraison plus longue ; là encore, il y a consensus pour constater que la floraison du mois d’août ne vaut pas celle de juillet.
Je crois que le meilleur est passé mais continuons à observer, la nature sait parfois nous surprendre.Est ce que tu as remarqué qu’elles bloquaient le corps ? Même si j’ai des jeunes reines, elles ont tendance à se bloquer, après c’est peut-être dû à la puissance de la miellée et elles le remonteront à la fin.
Il me semble l’avoir fait remarquer il y a quelques jours.
Une miellée “normale” de tournesol est encore plus impressionnante que celle de l’acacia au niveau du corps.
4/5 cadres de couvain fermé et du miel, c’est encore plus flagrant sur les dadant.
Dans celles qui ont terminé la saison, le miel reste souvent en place sans que ça pose problème quant à l’hivernage.
Celles qui vont ensuite sur la callune se débloquent ; elles sont même fichues de gâcher le miel de callune par la remontée de plusieurs kgs ; si on y prend garde, dans le passé des fûts ont été déclassés pour ce problème.
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