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pierrolefou, le il y a 3 années et 4 mois.
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Pour équilibrer, tu comptes le nombre de cadres de couvain que tu as sur toutes les colonies.
Ensuite tu divises ce nombre par ton nombre de ruches.
Ça te donne le nombre de cadres de couvain à avoir par colonies. Il faut prendre le cadre de couvain prêt à naître des grosses colonies pour renforcer les plus petites.Salut,
Ce qui me gène avec l’équilibrage, c’est que j’ai peur de renforcer des colonies qui s’avéreront des rognes, et du coup d’affaiblir inutilement les fortes.
Comment fais-tu pour éviter cela ?Je mets 1 pain de candi en janvier, 10 -15 jours après je repasse le rucher, pour remettre à bouffer et je marque avec une pierre toute celle qui on très peu consommé et je les contrôle voir le problème. Et je sors celles qui sont trop petites et merdique. Généralement j’ai que des bourdonneuse ou des remerage.
Mes ruchers sont classées par âge de reine. Il n y’a que de la 2020 ou 2019.
Avec la vitesse de consommation du candi , ça permet de voir la dynamique de colonies , j arrive à peu près à bien les trier comme ça.
En gros je fais comme ça…Merci bien de ton retour.
D’où l’avantage d’avoir des ruchers homogènes.
Dans le mien, des reines 18, 19, des 20 sur 10 C, mais aussi sur 5C. Des EA tardifs sur
3C…
du coup, pas facile d’apprécier le développement.Toujours le même problème, l’homme veut régenter la nature alors que c’est elle qui a toujours la main. Mais on ne refera pas l’homme…
??? T’y vois un problème ?
Pas du tout, c’est un constat dont je fais entièrement parti.
Pour le coup je ne trouve pas que c’est régenter sur ce point
C’est juste une histoire d’organisation
Sauf si tu parlais de l’importance de l’homogénéisation des reines bien-sûrUn cadre de couvain pris sur une ruche bien forte, ça ne lui manquera pas beaucoup car elle va vite le récupérer. Par contre il fera beaucoup de bien à une ruche qui manque de population et qui de ce fait patine .
jusqu’à présent je n’ai jamais tenté d équilibrer mes colonies mais c’est vrai que c’est un peu le bordel, rien d’homogéne, c’est bien dans un sens… mais bon je vais essayer de rationaliser un peu tout ça cette année, on va commencer par l équilibrage et après ça sera le tour des reines
Je l’ai fait en 2017 sur mon rucher principal à l’époque et après j’ai dispatché sur plusieurs secteurs à colza
Et bien les plus moches m’avaient sortie une hausse quand même
Et peu d’essaimageJe vais l’essayer, dès que je peux, je le tente.
Chez moi beaucoup ont travaillé les vignes. Je ne vois pas trop l’intérêt… au lieu d’avoir de la biomasse pour faire de l’engrais vert , et refaire la vie du sol, c’est terre à nue.
Je ne comprends pas ce principe non plus
A moins qu’ils enfouissent pour amender…..bonsoir
pour re semer peut etre !! a+C’est une des vertus de l’HVE3….
HVE3….
pour ma culture, c’est quoi ce truc?
https://certification.afnor.org/environnement/certification-haute-valeur-environnementale-niveau-3
Je ne vois pas trop le but si ce n’est le crédit d impôt.
https://www.domaine-biodynamie.com/post-quest-ce-que-le-label-hve-viticulture,62.html
bonsoir
pour re semer peut etre !! a+Ce qui sème un rang sur 2 l’on fait. C’est avec féverole ou orge.
a moins que ce soit pour limiter le gel!
en fait , il y a deux types de gelées, les gelées blanches et les gelées noires!
1° les gelées noires sont des gelées provoquées par des descentes d’air froid du pole, comme en ce moment!
et au niveau des vignes, comment limiter les dégâts; rien à faire, car l’air est mobile,…..2° les gelées blanches, qui sont provoquées par le refroidissement nocturne de l’atmosphère., autrement dit, dans ce cas de figure, il n’y a pas de vent, la journée, le soleil brille, et les températures montent à 10-15 °c, puis, le soir, les températures baissent, toute la nuit , et le matin, elles passent au dessous de 0°, et peuvent flirter avec -2 -3°c. au niveau du sol, mais les températures sont positives à 5 ou 10 mètres de haut!
et au niveau des vignes, comment limiter les dégâts: il y a plein de solutions:
1° mettre des chaufferettes( ca se fait sur arbres fruitiers)
2° mettre des éoliennes , entrainées par des gros moteurs diesel, elles brassent l’air , car il gèle au niveau du sol, mais la température est de 2à4 °c à 10 mètres
3°utiliser des hélicoptères, pendant 2-3 heures de 6à 9heures, au moment ou les températures sont les plus faibles( vignes de la vallée du Rhône ( st Joseph))
4°l’irrigation, qui permet de produire un manchon de glace autour du rameau et des jeunes fleurs….
5°l’utilisation de la température du sol!
pour ce faire, ils détruisent le couvert végétal, qui isolait le sol de l’atmosphère( thermiquement ), ils tassent et arrosent, comme cela, lorsque l’atmosphère se refroidira, le sol s’opposera à ce refroidissement , en échangeant des calories, et en principe, le gel sera moins intense
ce procédé est largement utilisé pour les fruitiers, pourquoi pas la vigne, si c’est pour du bon vin!mais au fait la question qui tue, est ce sur des vignes qui produisent des grands cru?!!!
PicoutyOublie le crédit d’impôt. Ici ils sont tous au forfait. Quant à l’HVE c’est un réel progrès et qui va évoluer dans les années à venir avec l’interdiction des CMR. Les gros acheteur (grands chais, castel, inter, système u l’exigent).
https://www.certis.com.fr/article/324-Certification-Environnementale-des-Exploitations-HVE-Niveau-3
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