- Ce sujet contient 142 réponses, 19 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
barbemiel, le il y a 10 années et 2 mois.
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Super beau, bravo !
Merci pour le tuto sur la réalisation de la tarière !
Voici mon modeste rucher:Très beau rucher aussi !
Il est fait depuis longtemps ?
Tu notes aussi une différence avec des ruches à l’extérieur ?
Modeste? Il claque ce rucher!
Merci ! Mais il n’est pas encore fini; je pense fermer la partie haute avec des plaques de polycarbonate transparent ( amovibles ) et lui mettre une porte car c’est un endroit très venteux….
Je n’envisage pas de transhumer et le rucher apportera un confort de travail indéniable, ainsi qu’un meilleur vieillissement des ruches.
Quant au confort des abeilles et leur productivité ( qui commence déjà par le fait de passer l’hiver ou pas… ) je ne peux rien dire, car j’ai commencé l’apiculture au printemps 2014 et j’ai déplacé mes (3) ruches en décembre.Bienvenue Nounotte, tu te présentes?et surtout ta localisation
MerciModeste ? pour le nombre de ruches peut-être… pour le reste il est magnifique. Est-ce que tu as teint tes planches de couleurs différentes ou est-ce que ce sont des bois différentes ? en tous cas c’est très joli.
Et puis, est-ce que je rêve ou est-ce que tu as même coulé une dalle sous les agglos ?
Il ne manque plus que de savoir où c’est (mais Dcouzanais m’a devancé pour te le demander).
Merci pour vos compliments, ça fait grand plaisir ( ainsi qu’à mon épouse qui m’a beaucoup aidé ! )
ce sont à la fois des bois différents ( planche à coffrage et plancher 1er prix ) et lasurés avec des couleurs différentes
le plancher est fait en vieux chêne ( récup’ de wagon chemin de fer )
je n’ai pas coulé de dalle dessous, mais j’ai désherbé par brûlage
il me reste à mettre une gouttière ( qui sera raccordée à leur bar )
sur deux côtés j’ai planté une haie de thuyas ( pour les protéger du vent )
sur le devant, je vais mettre des dalles ( de récup’ ) pour marcher à plat et au sec…
en plus d’être superbement orientées, elles ont une vue splendide !
je les gâte, mes “fifilles” espérant qu’elles ne seront pas ingrates !
Désolé, “campagnard” de squatter ton post !Merci pour les explications.
Pas de soucis pour squatter mon sujet, au contraire j’espère qu’il y aura d’autres témoignages de réalisations de rucher.
C’est l’occasion de découvrir des améliorations possibles, nous sommes de perpétuels apprentis quand on se lance dans des constructions.
Comment le tien est il fixé au sol, si je regarde la base du poteau central avant, je n’ai pas l’impression qu’il aille en terre ?
Merci d’accepter la colocation de ton post !
C’est certain que le partage d’expériences permet de progresser, mais j’aime bien respecter un minimum de “politesse”…
Mon rucher n’est pas fixé au sol, il repose sur les 9 plots en agglos et la gravité fait le reste: le plancher pèse “un âne mort” car il est en vieux chêne de 3 ou 4 cm d’épaisseur ( qui avait été récupéré d’un vieux Wagon de train ); j’avais pensé à visser ce plancher aux agglos, mais si une tempête emportait le tout, elle emporterait aussi les agglos qui sont juste pris dans un peu de ciment…
Les apiculteurs ont-ils un “Saint Patron” qui les protègent ? Reste plus qu’à caresser l’espoir que ça souffle pas trop fort !Ouais, le grand saint Ambroise.
Les bois de chemin de fer sont traités à la créosote, comme les poteaux électriques. Je ne suis pas sur que ce soit trés bon.
Souvent, il ty a sur les ruchers couverts un avant toit calculé pour que les façades des ruches soient au soleil quand le soleil est bas et à l’ombre aux heures chaudes, quand le soleil est au zenith.
Merci “blaireaudesbois” de me mettre en garde contre ce risque que je connaissais;
ce sont surtout les traverses qui sont traitées à la créosote et ce produit est grandement nocif à cause de ce que ça donne lorsqu’on les brûle; de plus les traverses sont “imprégnées” des “déjections” des voyageurs avec tout ce que cela comporte…bactéries, antibiotiques, œstrogènes etc etc…
de plus il est déconseillé d’utiliser des traverses pour faire des encadrements de jardin, car cette créosote ( et le reste ), dissoute par la pluie va aller “polluer” la terre etc..
Les murs des wagons étaient traités différemment, de plus, les morceaux que j’ai utilisé ont été en plein vent et pleine pluie durant quarante ans ! s’il reste des traces de traitement, elles sont vraiment infinitésimales ! ( des millions de fois inférieures à ce dont Bayer et les autres nous gratifient )
pour finir, ces planches servent de plancher, les fifilles n’ont pas de contact direct avec elles !
Pour compléter la vraie histoire du créosote, les fabricants de matériaux pour agencement de jardin ( qui proposent des bois auto-clavés à prix d’or ) voyaient d’un mauvais oeuil la concurrence des traverses indestructibles à très bas prix et ont fait une sorte qu’une loi interdise leur utilisation…puissance des lobbies…Quant à mon avant-toit, c’est effectivement ainsi qu’il a été pensé, et il semble que cela fonctionne…
Par contre elles ont fait une pétition par rapport au bruit de la pluie sur le toit en bac acier qui trouble leur quiétude…préavis de grève déposé pour le mois de mai…
Merci Nounotte pour tous ces détails sur l’avancée de tes travaux: on s’y croirait
D’autant plus que les remarques et conseils qui fleurissent sont très enrichissants, comme le point sur la “créosote”; je ne connaissais pas le fin mot de l’histoire avec la concurrence: du beurk dans tous les sens
Les traverses de chemins de fer récupérées, à mon avis, elles ont été traitées il y a plusieurs décennies… sûrement elles contiennent encore des poisons dans leur coeur, mais à mon avis les rejets aujourd’hui doivent quand même être minimes… A mon avis ça peut rester une bonne solution pour faire des marches, des bordures d’arbustes ou de fleurs.
J’ai fait l’erreur de faire la charpente d’un appentis (à l’origine pour les chiens) avec un poteau électrique réformé (40 à 50 ans à l’extérieur) que m’avait laissé ERDF.
Je peux te dire que dés qu’il fait chaud et humide, ça sent si fort dedans que je n’y ai jamais mis les chiens.Rien à voir entre les traverses ou poteaux et les “murs” de wagon !
Si le bois qui servait à faire les wagons avait été traité de la même manière que les traverses et poteaux, ils n’auraient jamais pu servir à aucun transport de marchandises !Pour revenir aux abeilles j’y suis allé ce tantôt, superbe soleil, 4 à 5 degrés, peu de vent, les ruches profitaient de chaque rayon pour faire grimper leur température interne et les fifilles des 2 premières se prenaient un pied pas possible, sortaient presque comme en pleine saison, et revenaient avec du pollen…
que c’est agréable, ce bourdonnement…
seule la troisième n’avait pas d’activité, mais je pense qu’elle va se réveiller dans quelques jours…
j’y retourne au prochain soleil pour vérifier ça et voir si elles ont apprécié le candi…C’est vrai qu’à température égale, même un peu basse, celles des ruchers couverts sortent plus que celles de dehors
Profitant de quelques belles journées, j’ai déplacé la ruche jaune vendredi soir et la ruche bleue hier soir.
La ruchette jaune clair qui est un EA un peu plus faible théoriquement a été recentrée pour récupérer des butineuses des deux autres ruches qui n’auraient pas mis leur GPS à jour.
A midi tout se passait bien apparemment
J’ai remarqué le contraire: mes ruches, en pleine nature, sont plus actives que celles du rucher-école (couvert)…Elles profitent au maximum de l’ensoleillement, ce qui n’est pas le cas des autres…
Quelque soit l’orientation du rucher…comme elles sont à l’abri, en retrait, elles se retrouvent à l’ombre , soit plus tôt, soit plus tard..Le rucher couvert profite surtout à l’apiculteur…
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