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Si on est dans une région du sud ou de l’ouest (je ne dis pas que ce n’est pas faisable ailleurs mais je n’ai pas de retour), le nucléi (polystyrène chez nous) s’hiverne parfaitement.
Si on prélève les reines en automne et qu’il n’y a plus de mâles on peut en empiler deux ou trois sur un nuc qui a sa reine.
Le but étant de ne pas rentrer de matériel à surveiller, sinon il faut stocker les cadres à part pour ne pas que le nuc se transforme en passoire.
Si on a un empilement de nucs sur une colonie, comme on augmente le volume, il faut surveiller les provisions (parce qu’on se rapproche du fonctionnement d’une ruche).
Je dis celà pour ceux qui procèdent au remplacement de leurs reines à l’automne.
De cette façon, pas de population à bazarder et pas de population à recréer au printemps.
Il faut aborder le nuc comme une unité de production permanente, fiable, qui ne demande pas les attentions d’une ruche, c’est un jouet vivant qui ne donne que du plaisir.
Et produire ses reines, ce n’est pas anodin.
Demain une bonne partie de mes EA sont à J+18 de la séparation des souches et la méteo dit 17° et pas de vent.
Dans ces conditions j’ai un espoir de voir des vols de fécondations ? et si oui, on voit quoi ?
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