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SOLUTER, le il y a 8 années et 2 mois.
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Non je le redis en france et en culture pleine terre il y a trop de risque, en cas d’épisode pluvieux tu te retrouve en hiver dans un sol saturé (peu de maraicher arrose en hiver). ce n’est pas une nouveauté et les essais ont déjà était réalisé.
pour limiter le gaspillage d’eau les pro ont les outils techniques et mécaniques nécessaires, mais il faut avoir envi.
les agri bio le font, alors pourquoi pas tous?alors peut être que je changerais d’avis dans quelques années, mais en attendant tester et trouver la bonne application me semble “intelligent”
Je sais pas si tu “pailles*” tes tomates, alors c’est pas une solution miracle, mais depuis cette année je “pailles” tout mon jardin et j’utilise beaucoup moins d’eau.
pailles*, j’entends avec ce mot, couvrir le sol de 5/10 cm et parfois plus, le sol avec tonte de gazon, paille (blé, lin …), foin & compagnie.
Sinon contre la sécheresse, une bonne explication ici et une solution également a 51.16:
https://youtu.be/y4ULqIGRCmY?t=51m16s
@++
51:16 ça parle de golf …
Non a 51:16 il répond bien a une question et s’étale sur le sujet qui nous intéresse.
Mais effectivement quand je clic sur la vidéo, elle démarre a 50:48 et il parle de golf, mais a la limite c’est après
@++
Claude, un grand ponte de l’agro, si on apliué seulement 10% de sa théorie, on mangerais mieux… et nos insectes se porteraient aussi beaucoup mieux.
Mais voila il n’y à pas d’ingrédient miracle, mais des recettes pas toujours facile à appliquer.51:16 ça parle de golf …
Et le golf te gonfle?
la sécheresse en France…. étrange que l’on ne trouve ici, quasiment que des tomates marocaines ou du sud de l’Espagne. Je crois qu’il y fait un poil plus chaud et que les nappes phréatiques sont un poil plus profond.
(chez mes parents, forages actuels à plus de 200 mètres et goutte à goutte depuis les années 70). Et si tu as de l’eau, en Tunisie, les tomates en plein champs, c’est deux récoltes par an.Pour les oliviers, regardez une photo du sud tunisien par exemple. Les distances entre les arbres non irrigués sont bien plus grandes qu’ici. Chaque arbre a donc une plus grande zone à explorer.
Et comme le dit l’inventeur du stockage dans le sol, apporter de l’eau sert à maintenir, voir augmenter les rendements. Les oliviers survivent dans le sud tunisien, malgré le réchauffement climatique, les années sans pluie et des 50 degrés des semaines durant)Bonjour Apimarc,
Attention : Polyter stocke l’eau sous forme liée. Autrement dit, pas possible d’avoir un sol gorgé d’eau à cause du Polyter.
En revanche, Polyter favorise la vie dans le sol et le développement racinaire profond. L’eau va donc pénétrer plus facilement en profondeur dans le sol.
Polyter a donc un effet bénéfique, justement pour éviter le pourrissement racinaire.je crois que apimarc a raison.
Un chercheur a inventé un système de stockage de l’eau directement dans le sol.
L’irrigation se fait en période de fortes pluie. C’est une façon de les capter et d’apporter jusqu’à 3 ans d’autonomie à un arbre. (pour un enracinement profond, et selon la densité de plantation, je suppose).http://www.la-croix.com/Actualite/Monde/En-Tunisie-le-bon-genie-des-oliviers-2014-04-03-1130646
ça me parait plus sure car rien n’est ajouté au sol. C’est pilotable et réversible.
j’ai pas de lien mais des essais sont menés en France, dans des vergers du sud ouest, je crois.Bonjour N142CA,
Je ne crois pas qu’il faille opposer les 2 technologies. Je pense au contraire qu’il faudrait les associer. Car injecter de l’eau directement dans le sol a pour avantage d’éviter l’évaporation et de pousser les racines à chercher l’eau plus bas, mais cette eau injectée ne va pas rester gentiment là où on l’a mise. L’eau va s’enfoncer dans le sol et alimenter la nappe phréatique.En associant cette technologie avec Polyter, cela permettrait non seulement de conserver l’eau au contact des racines, de faire pousser la masse racinaire en volume et en profondeur, d’éviter de noyer les racines avec un excès d’eau libre, et d’économiser encore plus que les 60% d’économies annoncées : je pense qu’on peut atteindre les 80% à 90% d’économies.
Pour en savoir plus sur Polyter, vous pouvez aller sur le blog qui lui est consacré : http://www.soluter.fr
Et en particulier sur une des vidéos : http://soluter.fr/polyter-arboriculture-oliviers-poussent-3-fois-plus-vite/Vu une autre vidéo de ce produit miracle, avec un autre inventeur au départ, et plus de détails : https://www.youtube.com/watch?v=pRXtV3EqjJ8
Tout en admirant les résultats obtenus, je reste sceptique sur le fait que les plantes ainsi aménagées vivent et se développent indépendamment du sol où elles sont installées et ne subissent pas les aléas du climat, le polyter leur apporte eau, engrais et fraîcheur en permanence, elles sont comme dans une bulle, isolées de leur environnement. L’action du polyter dure 5 ans, et après ? il faut en remettre, car la plante dépérirait sans et serait vouée à mourir. C’est ce qui me chagrine un peu… Le producteur d’agrumes est content car sa production a explosé (et ses bénéf. aussi) en peu d’années et il a utilisé très peu de main-d’oeuvre… Faut-il s’en réjouir ?
Pour ma part je préfère les solutions “classiques” non miraculeuses qui utilisent de la main-d’oeuvre, font simplement vivre les gens correctement et peuvent durer très longtemps : http://positivr.fr/brachoua-permaculture-maroc-developpement-durable/
Bonjour Nouna,
Pour vous rassurer sur l’action du Polyter, celui-ci n’est pas que passager. S’il est vrai que le produit disparaît du le sol au bout de 3 à 5 ans en fonction de l’activité microbienne du sol, son action ne vise pas à booster le végétal pendant un temps, puis à créer un effet de manque. Autrement dit, Polyter a une action structurelle. Ce n’est pas une drogue dure dont le végétal ne peut plus se passer ensuite. Développement racinaire multiplié par 3 à 5, enracinement profond, augmentation du sol utile, équilibre du pH du sol et de la répartition de l’eau dans le sol, développement de la vie du sol.
On le voit bien sur les Oliviers dans cette vidéo : http://soluter.fr/polyter-arboriculture-oliviers-poussent-3-fois-plus-vite/
Ils ont été plantés avec Polyter, se sont développés 3 fois plus vite que des oliviers, et sont en pleine forme maintenant, bien que les arbres n’aient pas été à nouveau remis au contact de polyter.Ensuite, je pense que vous serez d’accord avec moi. Il ne faut jamais opposer les solutions entre elles. Des synergies existent entre elles : permaculture, biodynamie, mulch, BRF, Polyter, etc. Tout ce qui contribue au développement de végétaux en bonne santé avec un minimum d’engrais chimiques et de pesticides (voir plus du tout) sera bon pour l’environnement et pour notre santé. Le sectarisme est toujours l’ennemi du bien.
JSGROS, non ce produit ne se dégrade pas, il est même véhiculé par les racines du coup le volume de terre “colonisé” est exponentiel de la croissances des plantes.
Ce produits est tres efficace les 3 1ere années, ensuite il n’est plus efficace car il n’y à plus le volume conséquent à la plantes.
Il est tres utilisé en afrique du nord et en culture de plantes annuelles, juste annuelle et en contener car en pleine terre même dans le SE, notre climat en hiver est trop humide, et du coup les plantes soufre d’excès d’eau.
De plus il ne se dégrade pas! donc difficile à gérer en pleine terre, et surtout il est complique en culture classique de pouvoir maitriser la fumure. Ce produit est utiliser régulièrement par les collectivités locales pour le fleurissement, donc commercialisé par pas mal de distributeur à un tarif relativement bas.
Il est malgré tout tres utile et à un grand avenir sur les zone semis-désertique pour la replantations des arbres.
Pour exemple les essai réalisé sur la dune landaise ne sont pas concluant (essais réalisé sur 5 ans).
Mais surtout cela reste chimique et un gros désorganisateur de la macro et micro faune du sol, voila pourquoi il est à utiliser en sol stérile ou en pot! Quand à la pollution monsanto aussi explique que son glypomerde est bio dégradable et sans danger.
Je dis pas non, c’est aussi ce que dit l’agronome qui la inventé, et qui travaille plus à aider les zone ou la culture est vitale plutot que de vendre son brevet au gro de l’agrochimi qui vont inonder le marché.
Tous les potagers, toutes les cultures y serait cultivés avec et cela il est pas sur de l’impact sur le sol!Re-Bonjour Apimarc, je n’ai vu votre commentaire qu’après avoir écrit le précédent.
Je suis désolé, mais je vais devoir corriger certaines de vos affirmations :
1-Vous avez dit que “Le produit ne se dégrade pas” : c’est faux. Une étude COFRAC réalisée sur 5 ans viens de démontrer le contraire. Elle sera publiée dans quelques semaines, mais a déjà été présentée à l’ANSES il y a 2 semaines.
2-“Les plantes souffrent d’un excès d’eau sous nos climats” : j’ai déjà répondu tout à l’heure. Là aussi c’est faux et je ne referai pas la démonstration.
3-“Le Polyter ne serait intéressant QUE pour les zones semi-désertiques pour la replantations des arbres”. Autrement dit, tous les exemples qui marchent en France sur arbres fruitiers, vignes, gazons, golfs, aménagements paysagers en pleine terre, etc.ne marcherait pas ?
4-Pour exemple les essai réalisé sur la dune landaise ne sont pas concluant (essais réalisé sur 5 ans)” : Pouvez-vous nous citer l’endroit ont été réalisés ces essais désastreux ?
5-Concernant vos arguments sur la chimie : Polyter contient 5% de polyacrylate de Potassium. Tout le reste, c’est de la CELLULOSE (le principal constituant du bois) et des engrais ORGANIQUES. Le polyacrylate n’est présent que pour emmailloter les 95% de constituants naturels pour apporter la cohésion du grain de Polyter gonflé. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle le Polyter se dégrade aussi bien sans laisser de trace (cf étude COFRAC).Encore une fois, je suis désolé de vous contredire. Et j’étais vraiment sérieux quand je vous ai demandé de me dire où ont été réalisés les essais qui n’auraient été concluants dans votre belle région des Landes. Cela m’intéresse vraiment.
Amicalement
http://www.soluter.fr
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