- Ce sujet contient 15 réponses, 9 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
Surf, le il y a 3 années et 2 mois.
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Bonjour,
Concernant la protection des ruches par trempage dans la cire bouillante. Est ce que je peux utiliser de la cire venant des ruches? Plutôt que d’acheter de la microcristalline? Mercibonjour
on a une coutume sur se forum qui est de se presenter un minimum avant de poser des questions !!
en indiquant ta localisation dans l avatar !!
ceci afin de te répondre au plus juste car le climat n est pas le meme partout !!
et de te situer dans quelle categorie tu a ton apiculture !!!
bienvenu sur le fofo !! a+Est ce que je peux utiliser de la cire venant des ruches? Plutôt que d’acheter de la microcristalline? Merci
Oui, c’est tout à fait possible.
Nous avons plusieurs collègues qui font cela.
Il faut quand même un certain volume de cire pour effectuer le trempage des éléments de ruche. Et pour avoir de la cire …. il faut produire du miel.
Je m’interroge sur deux choses :
– D’où provient ta cire d’abeille ?
– As-tu réalisé des analyses de cires ?
Car si c’est pour mettre de la cire coupée à la paraffine ou chargée de produits phyto, autant utilisée de la cire microcristalline agrée contact alimentaire.Hé surf, il t’arrive de respecter ce que dit un modo?
attendre que les nouveaux se présentent.
tu as compris, qu’ici, nous ne sommes pas un drivela présentation est le minimum que l’on puisse demander, afin de tisser des liens, et coller le plus possible au terroir.
PicoutyBonjour,
Ouaip ! T’as raison Picouty, d’autant que la cire d’abeille en protection de ruche ne s’utilise PAS par trempage ! Mais par …………………..
@+
Anonymeil y a 3 années et 2 moisRang: ButineuseMessages: 39410 ptsapparemment le message de pierrot a du mal a arriver jusqu’à nouméa :)ry:
Bonjour,
Merci pour vos réponses,
OK profil mis à jour, pour la petite histoire je suis sur Boulouparis en Nouvelle-Calédonie, apiculteur amateur depuis 10 ans j’apprends à l’arrache en bricolant et en faisant des expériences parfois raté mais ça forge… j’ai commencé avec 1 essaim aujourd’hui j’en ai 20.Pour répondre à Surf:
La cire provient des opercules quand je fais des récoltes,
Je la fais fondre au moins 3 fois pour finir avec des beaux pains de cire propre.
Jamais fais d’analyse et j’utilise pas de produit on a pas le varroa chez nous.Pour le trempage je pensais: poser un toit de ruche à l’envers sur un gros réchaud, fait fondre la cire dedans et faire tourner les caisses dedans,
Je peux pas contrôler la température faut pas que ça parte en combustion..merci a+
Pour répondre à Surf:
La cire provient des opercules quand je fais des récoltes,
Je la fais fondre au moins 3 fois pour finir avec des beaux pains de cire propre.
Jamais fais d’analyse et j’utilise pas de produit on a pas le varroa chez nous.
Pour le trempage je pensais: poser un toit de ruche à l’envers sur un gros réchaud, fait fondre la cire dedans et faire tourner les caisses dedans,
Je peux pas contrôler la température faut pas que ça parte en combustion..Cela semble cohérent tout ça.
Les collègues qui font du trempage à la cire d’abeille, plongent les éléments de ruches entier dans le bain, mais cela nécessite du volume.
Utiliser un toit de ruche est plus rationnel pour le nombre de ruches que tu as. Généralement, il faut laisser tremper les éléments 8-10min dans le bain pour éviter la formation d’une grosse pellicule de cire en surface des éléments.
Tu fais fondre ta cire au certificateur solaire ?il y a 3 années et 2 moisRang: ReineMessages: 1536Nb de ruches: 48Localisation : France204 ptsC’est quand même une drôle d’idée mais pas au sens de marrant.
Mais pourquoi pas ?
L’idéal serait de le faire, et au bout de 5 ans de voir quel est l’état du bois et de faire une comparaison avec tous les autres types de protection dont on connaît à peu près l’efficacité.
Pour moi il n’y a aucun intérêt économique au vu du prix de la cire d’abeilles mais si on prend un autre critère, genre qui colle plus à la nature, il reste que la fonte de la cire d’abeilles à 50 et quelques pourrait poser problème.
Qui nous donne la moyenne de fonte des cires artificielles utilisées en apiculture pour valider ou pas ?
Ceci de façon à savoir s’il y a un intérêt économique ? écologique ? pour faire en sachant ce qu’il en est.Pour rebondir sur la réponse faite par CDSJO :
Vu le point de fusion de la cire d’abeille, dans les régions chaudes voir aussi sur les parties exposées quand le soleil est au zénith, je pense que çà doit sérieusement coller et peut être même suinter …
De même, je ne vois pas une hausse traitée ainsi, passer en chambre chaude …La cire micro cristalline est choisie dans maintes exploitations apicoles pour ses qualités et de fait pour son point de fusion bien plus élevé, ce qui exclue les remarques faites précédemment..
A chacun de faire son choix … mais en plus par les temps qui courent avec la rareté de la bonne cire d’opercules, il faut aussi regarder l’aspect économique ….
Il existe plusieurs types de cire microcristalline, son point de fusion est donc variable selon sa qualité/provenance, il se situe entre 60 et 100°C.
Quant à la cire d’abeille, il est généralement admis que son point de fusion oscille entre 63 et 65°C.Si cela suinte au soleil, comme hypothèser par Richard86, c’est que le trempage n’a pas été effectué correctement.
Normalement, quand on ressort un corps du trempage, au bout de quelques secondes d’égouttage, il est quasi sec.
Et pour vous rassurer, nous avons plusieurs collègues qui trempent leur matériel dans de la cire d’abeille pure, ils sont dans le Sud-Est, cela ne pose aucun problème, même en chambre chaude.Heureusement que le bon sens et la vertuosité l’emporte de plus en plus sur les aspects “économiques”
Il existe plusieurs types de cire microcristalline, son point de fusion est donc variable selon sa qualité/provenance, il se situe entre 60 et 100°C.
Quant à la cire d’abeille, il est généralement admis que son point de fusion oscille entre 63 et 65°C.Si cela suinte au soleil, comme hypothèser par Richard86, c’est que le trempage n’a pas été effectué correctement.
Normalement, quand on ressort un corps du trempage, au bout de quelques secondes d’égouttage, il est quasi sec.
Et pour vous rassurer, nous avons plusieurs collègues qui trempent leur matériel dans de la cire d’abeille pure, ils sont dans le Sud-Est, cela ne pose aucun problème, même en chambre chaude.Heureusement que le bon sens et la vertuosité l’emporte de plus en plus sur les aspects “économiques”
Surf, tes collègues trempent également leur caisse dans un toit de ruche ou dans un bac beaucoup plus grand?
Ce qui me fait peur, c’est de placer un toit de ruche sur un tripatte et de balancer plein de cire juste au dessus.
Dans un toit de ruche, la quantité n’est pas énorme…Surf, tes collègues trempent également leur caisse dans un toit de ruche ou dans un bac beaucoup plus grand?
Nous avons tous des bacs d’imprégnations dans lequel nous pouvons plonger à minima 1 corps + 1 hausse dans le même bain.
L’mprégnation est une opération délicate, vecteur de nombreux risques qu’il ne faut pas oublier de consigner dans le DUER pour ceux qui ont des salariés/stagiaires/woofers.
Que ce soit soit dans un toit ou dans un bac, les risques pour l’opérateur sont quasi identiques. Le toit cela permet de minimiser le volume “mort” de cire/huile.
Néanmoins il faut prévoir un couvercle hermétique en cas d’inflammation spontanée (ou pas), une couverture ignifugée et mieux, un extincteur de classe B. Je préfère ceux au CO2, il y a moins de dommages collatéraux en cas d’utilisation. Les extincteurs à eau additivée ou à poudre sont également utilisables.Anonymeil y a 3 années et 2 moisRang: ButineuseMessages: 39410 ptsUn toit en 105 ça le fait bien il suffit d’être bien attentif
Ouep, je ne le sens pas, je vais garder ma peinture suédoise du coup.
Merci pour les réponses
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