- Ce sujet contient 10 réponses, 6 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
blaireaudesbois, le il y a 11 années et 2 mois.
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Bonjour,
on parle beaucoup d’apiculture urbaine, notamment à Paris. Sur le balcon, je ne pense pas que ce soit une très bonne idée à cause des voisins.
Il reste donc le toit. Mais je me demande… en ville on trouve des édifices parfois très haut ! Si on mettait un rucher sur le toit d’une tour dépassant les 10 étages, les abeilles arriveraient-elles à revenir vers leur ruche ?
Quelle serait la limite selon vous ? Empire Stat Building ?
Je ne pense pas que ce soit la hauteur qui gêne le plus les abeilles, mais plutôt le vent. Plus c’est haut et plus c’est venté, les abeilles n’aiment pas beaucoup ça et la ruche doit être bien accrochée…
10 étages? Oui et mème plus. N’oublions pas que les avettes sauvages habitaient souvent dans les trous des falaises. Celle ci peuvent atteindre plusieurs centaines de mètres.
Je me souviens d’un temps que les moins de 30 ans n’ont pas connu. Je faisais des navettes avec un minibus sur la route des gorges de l’Ardèche. L’aprés midi, avec certaines lumières, une falaise renvoyait le soleil comme si des miroirs y avaient été accrochés. C’était le miel qui coulait des nids d’abeilles sur le rocher.J’avais pensé également aux falaises (cela devait être beau !). On voit encore cela en Asie.
Effectivement le vent est un problème, mais, généralement, il y a au moins une façade abritée. Après sur le toit, c’est vrai que ça ne change pas grand chose.
Ouais. J’ai entendu raconter l’histoire de trois pieds nickelés qui avaient décidé à l’heure du pastis qu’ils allaient se faire du pognon parce que l’un d’eux, en revenant de la pêche, avait remarqué les trainées de miel. Le lendemain, deux d’entre eux descendent sur une petite vire ou il y avait plusieurs ruches naturelles bourrées de miel. Avec une corde d’une vingtaine de mètres.
Ensuite le troisième, d’en haut, leur fait descendre un fagot de branches vertes enflammées pendant que les deux autres attaquent la falaise à la barre à mine.
Oups! La corde s’enflamme et se consume du bas en haut en un instant. C’est à ce moment que les abeilles, furieuses ont attaqué en masse les deux malheureux accrochés à leur vire.
Il a fallu plus d’une heure au troisième pour aller, en vélo, chercher une autre corde au village.rien compris Blaireau
rien compris Blaireau
C’est une histoires de blaireaux!!! pas de pieds nickelés!!!
Je confirme que le nylon des cordes d’escalade brûle très bien et très vite…
mais quand même.. est-ce que cette histoire est vraie??
Elle m’a été racontée dans les années 80 lors d’une balade à pied dans ce secteur. Les trainées de miel sur le rocher de cette falaise étaient bien visibles. Plus d’une dizaine.
La corde? Plutôt en chanvre qu’en nylon. Ca brule bien, le chanvre!
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