[Moulonnaise]

aujourd’hui je crois qu’a l’heure de pointe j’ai battu tous mes records 52 VV en un quart d’heure .

[cotentin50]

si c’est avec une raquette tu a toute t’est chance pour roland garos

[cotentin50]

l’orientalis a l’aire d’être aussi con que le bridé

[pierrolefou]

bonjour
vu au congrés!!

París Normandie Région
Un apiculteur du Grand-Quevilly invente un piège à frelons asiatiques

Le Grand-Quevilly. La présence de frelons asiatiques dans le bois Matisse met les abeilles en péril. L’apiculteur Norbert Mathieu a conçu un piège pour lutter contre l’insecte nuisible.

Norbert Mathieu présentera prochainement son piège à frelons
París Normandie Région
Un apiculteur du Grand-Quevilly invente un piège à frelons asiatiques

Le Grand-Quevilly. La présence de frelons asiatiques dans le bois Matisse met les abeilles en péril. L’apiculteur Norbert Mathieu a conçu un piège pour lutter contre l’insecte nuisible.

Norbert Mathieu présentera prochainement son piège à frelons en conférenceNorbert Mathieu présentera prochainement son piège à frelons en conférence
Depuis l’an dernier, Norbert Mathieu, apiculteur et gérant des ruchers de Matisse, a pu constater la présence de frelon asiatique au Grand-Quevilly. Arrivé en France il y a quelques années du côté de Bordeaux, l’insecte s’est répandu ensuite à travers toute la France et s’est montré extrêmement nuisible pour les abeilles et la communauté des apiculteurs de France. Alors que dans son milieu, il fait partie d’un écosystème complexe, ici en France, le frelon asiatique n’as rien à y faire, sauf de montrer son agressivité et à s’en prendre à nos ruches.

« Le frelon asiatique s’attaque aux ruches au début de l’été jusqu’au premiers froids d’automne. Il pique comme un faucon sur les abeilles et reste en vol stationnaire, ce qu’une abeille ne peut pas faire, devant la ruche, explique Norbert Mathieu. Sa présence stresse les abeilles et la reine avec, qui cesse de pondre. Ses abeilles ne la reconnaissent plus alors et la tuent. La ruche se retrouve sans reine, sans ponte et avec l’hiver, la colonie y passe. »

Deux nids détruits

C’est surtout en août que le frelon fait le plus de dégâts, qui avec les grosses chaleurs devient plus agressif. Même si sa piqûre n’est pas dangereuse, elle reste néanmoins beaucoup plus douloureuse que celle d’une simple abeille. C’est dans le bois Matisse que Norbert Mathieu a déjà trouvé deux nids qu’il a détruits, mais l’insecte se reproduit rapidement. Ainsi naissent « plusieurs milliers d’ouvriers et de mâles et environ cinq cents reines fondatrices par an, qui prennent le relais aux printemps pour faire de nouveaux nids, poursuit l’apiculteur. Elles débutent toujours leurs nids dans la terre, en creusant des galeries et quand il y a assez d’ouvrières, elles remontent dans la cime des arbres, à huit mètres de hauteur pour y constistuer leurs ruches principales. » Depuis cet été, deux ruches de Matisse ont dû être recolonisées par l’apiculteur, la reine étant morte dans chacune d’entre elles. Pour éviter tout autre incident de ce genre, Norbert Mathieu a dû réfléchir à un moyen de contrer l’invasion des frelons au sein du bois, le temps de trouver et de détruire les ruches. Il a mis au point un piège, une boîte au sein duquel une formule de sa conception attire le frelon, qui entre par un tuyau vertical au sein du piège et se retrouve enfermé. « Les insectes émettent des phéromones, un moyen de communication. Une fois un frelon attiré, il prévient ses compagnons et ils se retrouvent ensuite tous enfermés peu à peu dans le piège. Je n’ai plus qu’à mettre la boîte au congélateur pour tous les tuer », continue Norbert Mathieu, qui se refuse à utiliser des insecticides ou tout produit chimique néfaste envers les abeilles. L’inventeur du piège à frelons présentera prochainement sa technique en conférence.

En attendant, il est conseillé de ne pas s’en prendre aux ruches si vous en découvrez dans la forêt ou même en ville, mais de le signaler aux personnels de la mairie.
Depuis l’an dernier, Norbert Mathieu, apiculteur et gérant des ruchers de Matisse, a pu constater la présence de frelon asiatique au Grand-Quevilly. Arrivé en France il y a quelques années du côté de Bordeaux, l’insecte s’est répandu ensuite à travers toute la France et s’est montré extrêmement nuisible pour les abeilles et la communauté des apiculteurs de France. Alors que dans son milieu, il fait partie d’un écosystème complexe, ici en France, le frelon asiatique n’as rien à y faire, sauf de montrer son agressivité et à s’en prendre à nos ruches.

« Le frelon asiatique s’attaque aux ruches au début de l’été jusqu’au premiers froids d’automne. Il pique comme un faucon sur les abeilles et reste en vol stationnaire, ce qu’une abeille ne peut pas faire, devant la ruche, explique Norbert Mathieu. Sa présence stresse les abeilles et la reine avec, qui cesse de pondre. Ses abeilles ne la reconnaissent plus alors et la tuent. La ruche se retrouve sans reine, sans ponte et avec l’hiver, la colonie y passe. »

Deux nids détruits

C’est surtout en août que le frelon fait le plus de dégâts, qui avec les grosses chaleurs devient plus agressif. Même si sa piqûre n’est pas dangereuse, elle reste néanmoins beaucoup plus douloureuse que celle d’une simple abeille. C’est dans le bois Matisse que Norbert Mathieu a déjà trouvé deux nids qu’il a détruits, mais l’insecte se reproduit rapidement. Ainsi naissent « plusieurs milliers d’ouvriers et de mâles et environ cinq cents reines fondatrices par an, qui prennent le relais aux printemps pour faire de nouveaux nids, poursuit l’apiculteur. Elles débutent toujours leurs nids dans la terre, en creusant des galeries et quand il y a assez d’ouvrières, elles remontent dans la cime des arbres, à huit mètres de hauteur pour y constistuer leurs ruches principales. » Depuis cet été, deux ruches de Matisse ont dû être recolonisées par l’apiculteur, la reine étant morte dans chacune d’entre elles. Pour éviter tout autre incident de ce genre, Norbert Mathieu a dû réfléchir à un moyen de contrer l’invasion des frelons au sein du bois, le temps de trouver et de détruire les ruches. Il a mis au point un piège, une boîte au sein duquel une formule de sa conception attire le frelon, qui entre par un tuyau vertical au sein du piège et se retrouve enfermé. « Les insectes émettent des phéromones, un moyen de communication. Une fois un frelon attiré, il prévient ses compagnons et ils se retrouvent ensuite tous enfermés peu à peu dans le piège. Je n’ai plus qu’à mettre la boîte au congélateur pour tous les tuer », continue Norbert Mathieu, qui se refuse à utiliser des insecticides ou tout produit chimique néfaste envers les abeilles. L’inventeur du piège à frelons présentera prochainement sa technique en conférence.

En attendant, il est conseillé de ne pas s’en prendre aux ruches si vous en découvrez dans la forêt ou même en ville, mais de le signaler aux personnels de la mairie.

[jcp]

Chez moi, cette semaine, je trouve que cela c’est bien calmé. Pourtant il y a eu des après-midi bien ensoleillés ,comme aujourd’hui:23°,et juste un frelon de temps en temps. J’espère qu’ils n’ont pas juste pris les vacances de la toussaint !!!!

[tinou031]

Même constat pour moi, je suis passé au rucher que j’ai proche de l’Hers et qui était vraiment infesté et j’ai eu la surprise et le plaisir de voir les abeilles sortir et rentrer en grand nombre alors qu’il y a deux semaines c’était la grappe devant l’entrée…
Je pense que le ou les nids à proximité que je n’avais pas pu localiser à du se faire détruire, à moins que ce soit la potion magique que j’ai fait boire à certains…
Ça redonne un peu le moral même si elle sont super faible du fait de ne pas avoir pu sortir depuis 2 mois à cause de cette salo**** de frelon.

[jcp]

@ tinou31
Je viens de voir sur ton profil que l’on est presque voisins. Juste 15 km .
Tu as des ruches près de l’Hers ou du Girou qui est à coté de chez toi?

[richard86]

Le frelon asiatique n’a qu’à bien se tenir !

Au congrès de Clermont, il y a eu une annonce royale …

On attend maintenant les ouvriers de la 25 ème heure …

A mon avis, les apis pour l’an prochain, comptez sur vous en priorité et continuez à piéger au printemps …

[API07]

et pour 2018 idem …

[pierrolefou]

Tarn: un pompier volontaire survit à 57 piqûres de frelons asiatiques
04/11/2016 à 13h24

Un pompier volontaire a survécu à 57 piqûres de frelons asiatiques, alors qu’il était en intervention dans sa propre entreprise de désinsectisation.

Un pompier volontaire de 26 ans, également chef d’une petite entreprise de désinsectisation dans le Tarn, a été appelé pour détruire un nid de frelons asiatiques qui s’était logé dans un arbre. Les insectes l’ont attaqué et piqué à 57 reprises, le 27 octobre dernier.

Avant d’être pris en charge par les pompiers du département voisin, il a fait une grave réaction allergique qui aurait pu être mortelle. Depuis cet incident, le pompier se porte bien: “J’ai la chance d’être jeune et sportif”, a-t-il déclaré dans un hebdomadaire local le ……….

[N142CA]

à défaut de faire correctement son travail apparemment
à moins que les vv aient eu la présence d’esprit de le dévêtir avant de le piquer

[Toni06]

si je peux apporter mon modeste témoignage :
Jusque vers le 15 juillets, j’avais vu très peu de frelons. J’en avait piégés un peu en mars / avril mais après plus rien.
Rien a voir avec les kilos que je piégeais l’année dernière.
Mais en Juillet, ça a commencé et ça allait en augmentant. Je n’en ai pas tué un seul mais je leur trempais le cul dans de la poudre insecticide. Le problème est que a chaque fois que je pensais avoir éliminé un nid, un autre prenait la place quelques jours plus tard. Ça devenait moins efficace car je pense que, comme ils venaient de nids de plus en plus loin, au retour, ils mourraient avant d’arriver au nid. J’ai changé pour du gel anti-fourmi (désolé !, il est au Fipronil).

C’était sans doute plus efficace car début octobre je n’en voyais plus.
J’ai récolté les dernières hausses et je les ai mises a lécher a 50 m des ruches et alors la !
Miracle !, les frelons sont venus par dizaine de je ne sais ou.
J’ai mis un piège grillagé sur les hausses et j’en grillais une bonne centaine par jour.

Conclusions (je peux me tromper) :
Les frelons sentent (ou sont plus attirés par ) la cire couverte de miel depuis bien plus loin que les ruches.
Donc le type qui dit qu’on peut attirer les fondatrices au printemps avec des opercules mielleux depuis des kilomètres a raison. C’est sans doute le moyen le plus efficace pour éliminer les futures nids a des kilomètres a la ronde.

J’ai gardé bien précieusement mes opercules au congélateur.

[pierrolefou]

bonsoir
ceux qui ont du miel de lierre !!!
gardez en pour pieger les fondatrices au printemps
est ce qu il y a des api parmi vous qui en ont j en cherche 2 ou 3 kg !!!+merci a+

[Toni06]

bonsoir
ceux qui ont du miel de lierre !!!
gardez en pour pieger les fondatrices au printemps

C’est ce que j’ai lu en effet. Le miel de lierre serait le plus efficace.
Mais je peux te dire que mon miel d’été a bien marché aussi.

[jcp]

bonsoir
ceux qui ont du miel de lierre !!!
gardez en pour pieger les fondatrices au printemps

C’est ce que j’ai lu en effet. Le miel de lierre serait le plus efficace.
Mais je peux te dire que mon miel d’été a bien marché aussi.

Oui, mais comment éviter de piéger les abeilles ?

[jpv33]

Bonjour Toni06
depuis 2004 que le frelon est arrivé nous commençons à connaitre le comportement des fondatrices
Au printemps elles viendront dans les pièges du rucher à une date bien précise , variable selon les régions et le temps (fin Mars pour le Sud-Ouest ) et durant une période bien précise également
A cette époque la reine ( abeille) commence à pondre des faux-bourdons et c’est la kairomone du couvain de mâles qui attire les fondatrices ( comme le varroa) et pas autre chose
Nous avons observé que lorsque nous ouvrions une ruche pour la visiter dans les instants suivants la venue des fondatrices était observée
Le piège avec appât se phéromonera à la première capture de fondatrices et sera considéré comme un intrus avec objectif détruire la fondatrice
Le piègeage n’est pas efficace à 100% et si une fondatrice reste en vie elle construira son nid prés des ruches elle élèvera des larves qu’elles nourrira avec les abeilles qu’elle capturera dans le rucher , les pièges à partir de ce moment précis deviennent inopérants

Une ruche bourdonneuse attire énormément de frelons asiatiques ces frelons pénètrent dans la ruche sans capturer les abeilles ( étonnant )

[pierrolefou]

bonsoir
ceux qui ont du miel de lierre !!!

Oui, mais comment éviter de piéger les abeilles ?

salut
tu y met de la gnole !!!!!
le miel de lierre serai tres attractif pour les fondatrices !!!a+

[Toni06]

Oui, mais comment éviter de piéger les abeilles ?

Je me suis fais un piège grillagé de la taille d’une ruche avec 2 entonnoirs grillagés sur chaque face. Ça s’emboîte sur une hausse ou une ruche. Le grillage de 4,5 mm permet aux abeilles de passer.

Le piège a fondatrice que j’ai vu sur Internet n’est en fait qu’un grand plat ou le type attrape le frelon avec de la glue au bout d’un bâton ou en les enfermant dans un bocal. Le problème c’est qu’il faut être la en permanence.

[picouty 26]

tu aurais une photo?

[Toni06]

tu aurais une photo?

Je suis désolé, je ne suis pas en France en ce moment.
Dès que je rentre, dans une semaine, je mettrai la photo.
Mais en fait c’est très simple. Imagine une caisse grillagée avec une armature en latte de bois. Sur chaque cote j’ai fait deux trous rond de 15cm et j’y ai fixe un cône de même grillage avec un trou de sortie de 1,5cm.

Mais je pense qu’on peut faire mieux. Quand je vois les frelons essayer de rentrer a la base, je me dis qu’il serait plus efficace de faire un socle en planche de 15 cm de haut avec plusieurs trous de 2 cm sur chaque face avec un cône plastique (style doigt de gant) fixé a l’intérieur et bien sur avec une sortie de 1 a 2 cm.
Il faut aussi mettre une caisse grillagée dessus pour que les frelons passent leur temps a essayer de sortir et ne restent pas en bas et finissent par trouver la sortie par les cônes

Il existe un socle de ruche comme ça avec tiroir et qui est vendu un bras.