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JR35, le il y a 9 années et 11 mois.
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Au printemps il n’y a que des fondatrices ( fécondées où pas)
La phéromone de contact est la même pour tous les individus de l’espèce
( c’est marqué dans le texte du GDSA177Je reviens sur ce message dans l’espoir d’une réponse… comment sais-tu que des fondatrices sont entrées dans ton piège en décembre, comme les as-tu différenciées des ouvrières ?
A mon avis c’est juste parce qu’en décembre il ne devrait plus rester une ouvrière vivante ! quoiqu’avec ces températures, on ne peut plus être sûr de rien.
Merci pour cet avis qui est la position généralement admise mais qui ne m’explique pas pourquoi ne pas piéger en hiver dans les régions les plus douces. J’ai encore attrapé un beau spécimen cet après midi…Peut-être les chances de survie sont faibles et donc l’action peu rentable? Je vais donc poursuivre et tirerai les conclusions en automne….
SERGEBonjour,
Félicitations pour toutes ces précisions. Malgré les heures passées sur le net, je n’ai pas vue ces photos. Auriez vous un blog perso ou pourriez vous communiquer les sites les plus pertinents sur ce sujet afin de distinguer le vrai du faux ? J’ai l’habitude de distinguer les fondatrices à leur taille. En décembre, j’ai piégé effectivement 2 ouvrières et même un male…
J’ai retrouvé le spécimen piégé hier que j’avais congelé. Je n’ai trouvé que peu de cette graisse jaune abondante vue sur vos photos. A votre avis est ce dû à ce qu’elle se trouvait en fin de diapause et, affamée se jette sur tout appât sucré? J’utilise bière brune + miel.
SERGEEh bien, merci pour toute cette expérience. Deux questions pour moi :
– Les “fondations”, c’est l’ébauche de nid ?
Et (ce n’est pas provoc) :
– Tu sembles dire qu’un nid est réutilisé au printemps suivant (si j’ai bien compris), au contraire de v. crabro. Si c’est bein ça, et qu’on pousse ton raisonnement, pourquoi détruire un nid à l’automne ? ne vaut-il pas mieux le garder, sachant qu’il est là et qu’il va empêcher un autre nid dans sa zone de contrôle, plutôt que de le détruire et avoir à rechercher en pleine végétation un nouveau nid ?Merci,
Bonsoir,
Cette longue prose n’est pas convaincante et je poursuivrai le piégeage des fondatrice en hiver comme l’INRA selon l’avis de M. Denis Thierry semble avoir une certaine efficacité. Je ferai part des résultats de cette action en fin d’été.
Accès site INRA sur le sujet: “comment empêcher le frelon de faire son miel avec l’abeille”Samedi Réunion sur Vespa Vélutina au jardin du Luxembourg,
Je vous donne des infos demain soirPardon, les infos c’est pour Samedi
Ce qui est certain c,est que tous les organismes de recherche émettent de sérieux doutes sur l’efficacité du piégeage des fondatrices. Cela rejoint l’analyse de FA.
De là à ce que les Api l’admettent… Il y a du chemin à parcouriril va falloir de la patience , de la pédagogie , des messages clairs de la part de nos GDSA .
Salut Frelon,
Apres la réunion d’hier apres midi, j’ai été convaincu.
Tu vas être étonné, mais je suis entierement d’accord avec toi(c’est y pas beau?)
Effectivement le piègeage de printemps ne sert strictement à rien,(les Reines sont en concurrence, donc autant de reines en moins et d’après ce que j’ai compris, c’est à partir de Juillet qu’il faut commencer à les pièger.
Plusieurs moyens de repérer les nids, leur attacher une plume ou un morceau de ficelle de couleur, et là essayer de les suivres!! Ce qui n’est pas évident
Pour le reste, ce que tu as écrit est très intéressant
Au fait, celui qui dit qu’il a attrapé des fondatrices, ou des ouvrieres, en fin de saison, à celui là, je lui dit Chapeau bas car à part au printemps ,on ne voit aucune différenceUn piège attractif, mettre du jus de cadres fondu, ça marche très bien
La carte de la présence des frelons asiatiques, en 2014 :
Source : http://www.wedemain.fr/Frelons-asiatiques-batissez-votre-piege-et-sauvez-les-abeilles-_a850.htmls
e
l
l
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u
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N
s
Le de la SCA
no 18 février 2015
mensuel
EDITO
En cette fin février, les apiculteurs se tiennent encore au chaud, travaillant dans leur atelier pour remettre le
matériel en état et, pour les plus courageux, bénéficiant des réunions professionnelles qui ne manquent pas.
Au même moment et dans l’intimité de la ruche, les abeilles ont entrepris la préparation de la nouvelle saison.
Leur horloge biologique s’est remise en route. Depuis le solstice d’hiver, la lumière du jour a gagné une
bonne heure et demie sur la nuit et à n’en pas douter les abeilles y sont très sensibles. Et puis, si vous allez
visiter vos ruches en ce moment par un après-midi où la température atteint 10°C, vous pourrez observer,
parmi les abeilles rentrant à la ruche, une ou deux butineuses ramenant du pollen. Si vous nettoyez les
plaques mobiles sous les planchers, il y aura sans doute aussi quelques pelotes échappées des corbeilles.
Pas de doute la reine a repris sa ponte et l’élevage, encore discret, réclame son lot de pollen frais, du
noisetier, des viornes, de l’ajonc, des camélias ou une autre fleur précoce !
Beaucoup d’évènements importants ont marqué ce mois de février. On pourrait citer le recul sur le plan
« Ecophyto » et le constat impuissant de l’augmentation de la consommation des produits phytosanitaires,
ou le rejet par le Sénat d’une résolution visant à une interdiction de toutes les utilisations des pesticides
néonicotinoïdes en Europe jusqu’à une meilleure évaluation de
leurs risques sur l’homme et l’environnement. Mais ne soyons
Comité de rédaction :
pas dupes, cette agriculture intensive est tellement « intoxiquée »
aux pesticides que ce n’est pas demain que les choses vont
Thierry Duroselle
changer. Il y a eu aussi les 3e journées de l’ITSAP (Institut de
Michel Ricard
l’Abeille) où les équipes scientifiques viennent présenter les
Alain Sandmeyer
résultats de leurs recherches. Cette année la réunion s’articulait
Yves Le Cunuder
autour de quatre thèmes : les ressources pour les pollinisateurs,
Patrick Maguin
l’épidémiologie et la surveillance des colonies, l’impact de
Ont participé à ce numéro :
l’environnement et du climat sur les colonies et la santé de
l’abeille. Par exemple il a été rappelé que Varroa pouvait être
Page 1 Edito
responsable de 50% de la mortalité observée chez les abeilles.
par Thierry Duroselle
Tous les chiffres sont discutables ! Mais le Varroa est
Page 2 Recette
certainement aujourd’hui l’ennemi le plus sournois et le plus
Séloua Grolleau-Raoux
dangereux pour les abeilles. Il n’est pas ou peu visible, sauf à
faire des comptages rigoureux. Il est très opportuniste et, par
Page 3 Formation permanente
exemple, il sait profiter des belles arrière-saisons pour continuer à
Alain Sandmeyer
infester nos ruches et y faire les dégâts que l’on sait sur les
Page 4 et 5 Vespa velutina
adultes et les nymphes. Regardez attentivement le travail
MNHN
présenté en page 7 de ces « Nouvelles » pour réaliser les risques
pour certaines de nos colonies dans la saison à venir. Cela
Page 6 Quiz
signifie aussi que dans certains cas le traitement de fin d’été, s’il
Alain Sandmeyer
n’a pas été suivi d’un traitement d’hiver (acide oxalique) devra
Page 7 Comptages varroas
être complété par un traitement de début de printemps. Même si
Alain Sandmeyer
le Frelon asiatique, terrible prédateur progresse dangereusement,
Page 8 Règlementation
ne baissons pas la garde devant le Varroa car la bataille est loin
Alain Sandmeyer
d’être gagnée et les pertes de ruches peuvent être
considérables !
Page 9 Agenda
Alain Sandmeyer
Thierry DuroselleCrème brûlée au miel
Cette recette est facile à réaliser et inratable.
Choisissez des belles gousses de vanille bien dodues.
Si vous souhaitez les conserver sans qu’elles se
dessèchent, placez-les dans un sac au congélateur.
Après les avoir grattées ou utilisées, ne les jetez pas.
Rincez-les et laissez-les sécher quelques jours avant
de les mixer avec du sucre semoule. Vous obtiendrez
un délicieux sucre vanillé maison.
Pour plus de saveur, laissez vos crèmes maturer une
nuit au réfrigérateur avant de les servir.
Seloua Grolleau-Raoux
Nbr. Préparation
de
pers
8 15 minutes
Ingrédients
Repos
Préparation
Cuisson
1 heure
Proportions
Crème brûlée
Crème liquide 750 g
Lait 250 g
Miel d’été 150 g
Gousses de vanille
Jaunes d’œuf
2
160 g
1. Dans un saladier, mélanger les jaunes d’œufs
et le miel.
2. Mettre à chauffer le lait et les gousses de
vanille fendues en deux. Dès ébullition
ajouter la crème et verser le liquide sur les
jaunes d’œuf.
3. Filtrer à travers une passoire fine et verser
l’appareil à crème dans les ramequins
(diamètre 10 cm, hauteur 2 cm).
4. Cuire pendant environ 1 heure à 105°C au
four ventilé. Sortir du four lorsque la crème
est prise et encore légèrement tremblotante.
5. Laisser refroidir avant de réserver au frais.
Finition
Cassonade
Crème brûlée
100 g
6. Au moment de servir, saupoudrer de la
cassonade à la surface des crèmes brûlées.
Puis caraméliser légèrement à l’aide d’un
chalumeau. Servir aussitôt.
Adresses
Pour trouver les ustensiles ou les produits spécifiques pour réaliser vos recettes :
G. Detou E. Dehillerin Deco Relief PCB création
58 rue Tiquetonne, 75002 Paris 18-20 rue Coquillère, 75001 Paris 6 rue Montmartre, 75001 Paris 7 rue de Suède, BP 67, 67230 Benfeld
http://www.deco-relief.fr http://www.pcb-création.fr
M° : Etienne Marcel ou Les Halles http://www.dehillerin.comFormation permanente – Samedi 7 février 2015
Origine
Biologie
Mode de vie
Le bol alimentaire
Cycle annuel
Générations d’ouvrières
Générations sexuées
Nids primaires
Nids secondaires
Identification
Localisation des nids
Reconnaître les nids
Destruction des nids
Piégeages d’été : oui
Piégeages de printemps : non
Protection des ruches
Expension en France
Vespa Crabro
Vespa Orientalis
Les travaux des scientifiques
Apis cerana et les frelons
Apis cypria et Vespa orientalis
A la découverte de Vespa velutina
avec Quentin Rome
Museum National d’Histoire NaturelleVespa velutina nigrithorax
Le frelon d’Europe, Vespa crabro, à l’abdomen à
dominante jaune clair, avec des bandes noires. Sa
tête est jaune de face et rouge au-dessus. Son
thorax et ses pattes sont noirs et brun rouge. Les
ouvrières mesurent entre 18 et 23mm et les reines
entre 25 et 35.
Les guêpes sont plus petites que les frelons. Les
ouvrières mesurent environ 15mm en fin d’été.
Attention, une reine de guêpe peut dépasser légèrement
20mm, c’est à dire la taille du frelon asiatique représenté
ici sans tête. Au printemps les guêpes peuvent donc être
plus grandes que les premières ouvrières de frelon.
L’abeille charpentière mesure entre 2 et 3cm.
C’est l’une des plus grandes abeilles européennes.
Elle est entièrement noire avec des reflets bleu
violacé. Elle construit son nid dans le bois mort et
nourrit ses larves de pollen.
Source Museum National d’Histoire Naturelle – Quentin Rome, Franck Muller, Claire VillemantVespa velutina nigrithorax
plus grands et gris)
Source Museum National d’Histoire Naturelle – Quentin Rome, Franck Muller, Claire VillemantQuiz février
Question A
Un apiculteur pour protéger ses colonies
pose des pièges à frelons :
1 – du 15 février au 15 mai
à 300/400 m de ses ruches ;
2 – Près de son rucher
du 15 mars au 14 octobre ;
3 – Près de ses ruches du 15 juillet
au 15 octobre.
Question B
Vespa velutina prédateur
des abeilles ramène à son nid pour
nourrir ses larves :
1 – L’abeille entière broyée sans
les ailes;
2 – Uniquement le thorax broyé
de l’abeille ;
3 – Uniquement l’abdomen broyé
de l’abeille.
Question C
Vespa velutina
1 – Produit de la cire
pour construire les alvéoles
contenant les larves.
2 – Est un peu plus grand que
Vespa crabro.
3 – Ses ailes sont équipées
d’hamuli.
4 – Possède deux ocelles.Résultats comptages varroas – Ruchers Poudrerie et Georges-Valbon
400
Nombre de varroas tombés pendant 12 jours après traitement complémentaire à l’acide
oxalique en janvier.
Les intervenants des ruchers se sont relayés chaque jour pour effectuer ces comptages.
Toutes ces colonies ont été traitées à l’Apistan en août-sept.
350
300
On constate, qu’avant le traitement à l’acide oxalique :
250
55% des colonies avaient plus de 50 varroas
30% des colonies avaient plus de 150 varroas
20% des colonies avaient plus de 250 varroas
200
150
Idéalement : 50 est le
nombre maxi de varroas à
ne pas dépasser dans les
colonies en janvier.
100
50
0
1
2
3
4
5
6
7
8
9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29
Comptages effectués sur 29 colonies
L’acide oxalique a un taux d’efficacité d’environ 90% en période sans couvain.
On peut en conclure :
1 – Coût faible (20 centimes par colonie).
2 – Simple d’application.
3 – Abaisse le nombre de varroas à moins de 50 pour le début de la saison apicole.
4 – Une seule application par an et par colonie.
5 – Des précautions simples doivent être prises pour son application.
6 – Ne dispense pas d’un traitement (Apivar, Apistan, Apilifevar, Apiguard…) après la dernière récolte pour
protéger les abeilles d’hiver qui vont naître en sept/oct.
nombre
varroas
9000
8000
7000
6000
Ci- dessous une projection de l’évolution de l’infestation d’une colonie, avec en
février, un nombre résiduel de varroas de 50, 150, 250.
En réalité, l’évolution de l’infestation dépend de plusieurs paramètres : force de la
colonie, essaimage, interventions biotechniques, taux d’émergence des varroas
filles, nombre de cycles effectués par chaque fondatrice… Les courbes donnent
cependant une bonne indication et montrent le risque important d’atteindre 5000 à
8000 varroas en fin de saison.
A la Poudrerie, certaines colonies ont atteint ce taux d’infestation. N’ayant pas reçu
de traitement à l’acide oxalique en 2013, elles ont certainement démarré en 2014
avec un taux élevé de varroas.
8500
varroas
fin août
5100
varroas
fin août
5000
4000 250 varroas en fév 3000 150 varroas en fév varroas
2000 50 varroas en fév fin août
1700
1000
0
fév
mars
avril
mai
juin
juil
aoûtQuelques rappels concernant la règlementation
Ni vente ou Vente ou don moins 10 moins 10 OUI OUI OUI OUI OUI OUI
don de miel de miel ruches ruches
OUI OUI OUI OUI OUI
OUI OUI OUI OUI OUI
Registre d’élevage OUI OUI OUI OUI OUI
Etiquettes règlementaires OUI OUI OUI OUI OUI
OUI OUI OUI OUI
Déclaration de rucher
(1)
Numéro Numagrit
Plus de 29 Plus de 49
Plus de
ruches
ruches (3) 199 ruches
OUI
Numéro SIRET
Numéro d’apiculteur (NAPI)
Plus de 10
ruches
OUI
Déclaration fiscale
Cotisant MSA par solidarité
Cotisant MSA
(4)
Assurance responsabilités
civiles
OUI
(2)
OUI
Conseillée
Miellerie aux normes
Conseillée
Conseillée
Conseillée OUI OUI
OUI OUI OUI
(1) A effectuer avant le 28 février de chaque année pour les apiculteurs ayant effectué une déclaration
l’année précédente.
(2) Vous ne serez pas couvert par votre assurance responsabilités civiiles si vous n’avez pas déclaré vos
ruches !
(3) Entre 40 et 50 suivant les départements
(4) MSA = Mutualité Sociale Agricole)
Février 2015 :
Vous gardez votre registre
d’élevage 2014 : 5 ans.
Vous ouvrez un nouveau registre
d’élevage dans lequel vous
agrafez votre récépissé de
déclaration de ruches 2015.Quelques dates sur l’agenda de la SCA en mars :
Un cadeau sympathique
Nous sommes régulièrement
ouvrage de Michel Ricard
pour
récupérer
Rucher parc
Georges
Brassens des
le 4 consultés
:
Réunion
de
coordination
pour
la
réception
des
classes
illustré par Julien Norwood
essaims à Paris et en région
132×157 mm – 144 pages
Réunion parisienne.
bureau SCA – 9h30 à 12h30
le 5
Conseil êtes
d’Administration
de la SCA
– 14h30 à 17h
Si vous
intéressés
pour
devenir
récupérateur d’essaims,
Conférence sur Le pollen
le 7 :
merci
de nous
communiquer
vos
Crédit
Municipal
de Paris
41, rue Pernety 75014 Paris
coordonnées ainsi que vos zones
le 14 : Cours rucher du jardin du Luxembourg – 9h à 12h
d’intervention.
permanente – 14h à 17h
le 14 : Formation
s.c.a.@wanadoo.fr
en vente 4 euros
au siège de la SCA
La multiplication des colonies – Par Alain Sandmeyer
le 21 :
Cours rucher du jardin du Luxembourg – 9h à 12h
Apicultrices, apiculteurs
au rucher
du
jardin
générale de
la SCA
– 14h du
à 17h
leformés
21 : Assemblée
Luxembourg
le 25 : Premier cours pratique du mercredi
recherchent
emplacements
Rucher du jardin du Luxembourg
pour
l’installation
cours
pratique du samedi
le 28 : Premier
de 2 ou 3 ruches.
Paris et départements des Hauts-de-Seine,
Essonne, Seine-Saint-Denis,
Val-de-Marne, Yvelines et Val-d’Oise
Résultat du Quiz
Propositions reçues s.c.a@wanadoo.fr
Question A :
réponse 3
Question B :
réponse 2
Pour communiquer avec la SCA :
Question C :
Question D :
pour toutes
questions
réponse 3
pas
de question D ce mois-ci
Vous avez du matériel
concernant votre inscription,
d’occasion à vendre, un
emplacement à proposer
votre cotisation annuelle,
pour l’installation d’un rucher,
vos abonnements,
vous recherchez un ou des
veuillez adresser vos courriels
équipiers
Le mot du mois
: hamuli pour vous aider
ponctuellement
dans
votre
latin hamulus, lui-même
diminutif
à s.c.a.@wanadoo.fr Pluriel du mot
rucher, que sais-je encore ?
du mot hamus
qui signifie petit crochet d’où vient
Cette page vous est ouverte
également le motpour
hameçon.
Le
mot hamuli
vos
annonces,
Pour toutes communications
désigne l’ensemble des
crochets qui
permet
aux
condition
: être
sur
aux Nouvelles de la SCA :paires d’ailes seule
des
abeilles
de se
solidariser.
la liste
des
abonnés
aux
scanouvelles@gmail.com
«Nouvelles de la SCA»
Adresse ci-contre.
Société Centrale d’Apiculture
41, rue Pernety 75014 Paris – Tél. 01 45 42 29 08
Email : s.c.a@wanadoo.fr – site : la-sca.netScusez moi, mais j’ai un peu chargé……
c’était juste pour vous dire que (théoriquement, le piègeage des VV est innéficace en ce moment, et qu’il faut attendre début Juillet pour mettre les pieges en place“dcouzanais” j’ai vraiment l’impression que chaque structure apicole, voire chaque apiculteur à son propre avis sur la question.
A l’A.G. du GDS45, il nous a été conseillé de piéger dès la reprise de l’activité en plaçant des pièges pour capturer les fondatrices, alors que l’on trouve aussi des avis contraires démontrant que les fondatrices s’éliminent entre-elles et qu’il ne faut “surtout pas piéger” à cette époque
“J’accueille” depuis la 4ème année des F.A. autour de mes ruches. J’ai commencé à piéger dès le début sur les conseils des api. pro locaux à qui j’avais demandé un avis et je continuerai! Ce qui m’importe (désolée) c’est de diminuer la prédation sur mes ruches qui est devenue en 2014, à la limite du supportable! Le piégeage des fondatrices fonctionne à cette époque: je vous ferai une photo de mon tableau de chasse lorsqu’elles vont arriver. :twistedbon je me mets en recherche d’un taxidermiste BBROUST, va falloir conserver les preuves :ohmy:
Scusez moi, mais j’ai un peu chargé……
c’était juste pour vous dire que (théoriquement, le piègeage des VV est innéficace en ce moment, et qu’il faut attendre début Juillet pour mettre les pieges en placeAh, je croyais que c’était pour ce passage :
“Crème brûlée au miel Cette recette est facile à réaliser et inratable.
Choisissez des belles gousses de vanille bien dodues (…) Servir aussitôt.”bbroust j’arrive pas à comprendre. Tu dis avoir des FA depuis quatre ans ,piéger depuis le début mais en avoir de plus en plus. Tu es informée de l’impacte désastreux du piégeage sur l’environnement et quelqu’un vient de longuement expliquer que cela augmente le nombre de FA.
pourquoi dis tu “je continuerai!”Bonjour,
J’apprécie cet avis qui va dans mon sens.
Après un carton 50 en déc. 2014, et de 4 en janv.2015, la dernière le 16, je n’ai rien piégé depuis, malgré des températures plus élevées en fev. et l’ajout de nouveaux pièges. Si quelqu’un peut éclaircir ce mystère merci d’avance. Je n’ose espérer conclure que j’aurais éliminé toutes les prétendantes à la fondation d’une colonie dans un rayon suffisant par mon action en automne et hiver….
J’attends Mars avec curiosité.
P.S. j’attends toujours un avis d’un apiculteur ayant piégé en hiver avec des résultats…Merci
SERGE de Nice
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