- Ce sujet contient 27 réponses, 10 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
ZAYA_26740, le il y a 6 années et 3 mois.
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Concernant la formation des TSA (ancien agent sanitaire apicole non?), auriez vous une idée du programme , comment se déroule la formation .
Par qui est elle donnée , la validation est sous quelle forme examen de fin de formation …
Je serais preneur de toute info .Formation de 7 jours pour les nouveaux. 2 jours pour les anciens ASA. Examen écrit en fin de formation. Se rapprocher du GDS ou DDPP de ton département pour plus d’infos ou alors à la fnosad c’est eux qui délivre les formations.
Bonjour,
Faut bien se renseigner AVANT, et surtout sur le volet conséquences administratives !!!! :)ry:
Car ensuite il faut contracter avec un veto, ce qui fait que tu te retrouves kéque par salariè, que ça te fait des heures, qui s’ajoutent au reste, et qu’au niveau de certains organismes, notamment sécu, tu peux vite te retrouver à poil ! :ohmy:
Mais je n’en sais pas plus !!!!!!
En tous cas, BON COURAGE !
@+Zaya peux tu développer je ne saisi pas trop ton explication
salut
zaya veut certainement dire qu une fois ta formation payé et si tu as le reussi tu sera appelé sur le terrain du genre controler des ruchers et avec la suspicion du coleoptere ca va faire du boulot le jours ou ????
et certainement qu il y a un salaire ???
donc administrativement = salaire = revenu = declaration = cotisations= imposition !!!!
sinon = inspection = condamnation = surimposition = taxation !!!
putain les trucs en ….. ion ….. c est pas bon !!!a+ courage !!
PS: vaut mieux que t aille aux champignons !! mais fait gaffe car ils sont pas tous bon non plus !!!!!!
Oui, c’est vrai, mais à part quelques situations particulières, ou l’on n’a pas intérêt à bosser; Il faut quand même reconnaitre qu’en France, même si l’on paye beaucoup d’impoôts . + tu payes d’impots, + en principe tu as rentré d’argent .
Donc si tu n’as pas peur de bosser, et que tu veux + d’argent, , tu passeras par la case + d’impots, mais il t’en restera davantage .
C’est une règle générale, mais, avant de s’engager, il est quand même indispensable d’avoir toutes les billes en mainsalut
zaya veut certainement dire qu une fois ta formation payé et si tu as le reussi tu sera appelé sur le terrain du genre controler des ruchers et avec la suspicion du coleoptere ca va faire du boulot le jours ou ????
et certainement qu il y a un salaire ???
donc administrativement = salaire = revenu = declaration = cotisations= imposition !!!!
sinon = inspection = condamnation = surimposition = taxation !!!
putain les trucs en ….. ion ….. c est pas bon !!!a+ courage !!
PS: vaut mieux que t aille aux champignons !! mais fait gaffe car ils sont pas tous bon non plus !!!!!!
On dit dans ces cas là qu’on l’a dans le f.on !
Allez je connais la sortie ….Salut à tous,
Terroir, je vais essayer de répondre à tes questions.
La formation :
Elle est, normalement, payée par ton GDSA et se déroule en 2 étapes :
– 5 jours de formations très intensives, avec 3 intervenants : Jérôme Vandame (FNOSAD), Florentine Giraud et Pierre Duclos (vétérinaires). Hormis Jérôme Vandame, je ne sais pas si ces intervenants sont toujours les mêmes.
– 2 jours (plusieurs mois plus tard) : un jour et demi pour tout revoir, puis examen et débrief le dernier après-midi. Comme ça a été dit, les ASA ne font que ces 2 jours, mais pour ce que j’ai vu, ce n’est pas suffisant pour réussir l’exam.La formation est vraiment très intensive : pour ceux qui ont quitté l’école depuis longtemps, il faut se remettre dans le bain et ingurgiter un grand nombre d’informations en peu de temps.
Ce n’est pas facile…
En revanche, c’est très intéressant et on apprend énormément.
La formation est dispensée via des PowerPoint (notre GDSA les avait imprimés, chacun les avait au format papier) projetés dans une salle de cours. Beaucoup d’infos administratives (cadre légal d’intervention, …) ; des infos théoriques sur les maladies ; la biologie de l’abeille, … ; une très rapide partie pratique (comment faire un prélèvement d’abeilles sur une colonie).L’examen est un QCM + 2 questions avec rédaction ; il faut avoir au moins 12 points sur 20 pour être reçu.
Sinon, possibilité de le repasser lors d’une prochaine session (en région lyonnaise il y en a régulièrement, on peut aussi aller dans une autre région, à ses frais, si on veut se rattraper).Quand on est TSA :
Ensuite, une fois qu’on est TSA, on a plusieurs missions :
– assister, si possible, aux réunions du GDSA
– dans le cadre du PSE, on doit aller visiter les apiculteurs qui on signé ce PSE. Chaque api doit être visité une fois en cinq ans. Par exemple, dans le Rhône, chaque TSA doit faire quinze visites / ans pour remplir sa mission.
– éventuellement, être présent aux distributions de médicaments
Grosso modo, ces trois points représentent environ une semaine de travail / an.On peut aussi, sur réquisition de la DDPP, être amené à accompagner les gendarmes sur une enquête, afin d’effectuer des prélèvements d’abeilles (en cas de suspicion d’intoxication suite à un épandage de pesticides par exemple).
On est aussi amené à intervenir en cas de maladie à déclaration obligatoire (DSC1), en vue d’effectuer des prélèvements.
Et ça paie bien cette affaire ?
On est bénévole. Hé oui…
Il est prévu que les TSA soient un jour rétribués (salarié ? auto-entrepreneur ?) mais pour l’instant il n’y a pas d’argent.
Dans le Rhône, nous sommes défrayés, à raison de 10 cents / km parcouru (visites PSE, réquisitions DDPP ou gendarmerie), par le GDSA.
Le matériel (combi et gants jetables, nécessaire de prélèvement, …) utilisé lors de nos interventions nous est fourni (GDSA).
Et le GDSA a contracté une assurance afin qu’on soit couvert durant nos missions.Voilà, c’est pas mal de boulot donc, mais c’est plutôt intéressant.
Et ça permet de rencontrer et d’échanger avec des apiculteurs, certains grands débutants, d’autres plus expérimentés.
Et c’est plutôt sympa, on est toujours bien accueilli chez les apis qu’on va voir, il y a souvent une bouteille de vin, une petite gnôle ou une bière à boire après la visite@ Eric
Ta présentation, est tout à fait claire.
le point noir : La rétribution de l’activité.
Sachant que les DDPP n’ont pas de budget pour cela, c’est la misère !
On compte sur la serviabilité des apiculteurs !
Rendez vous compte de l’indigence de l’indemnité kilométrique (ex. du Rhône) !!!
A comparer avec celle fixée par les services fiscaux !!!
Pour les questions abordées, si l’activité est uniquement compensée par des indemnités Kilométriques, il n’y a pas de fiscalité et de charges sociales, à la différence s’il y avait une vacation.
(Pas de problème ! Pas de sous ! on compte sur le bénévolat !)
Le seul bénéfice pour le candidat : l’ acquisition d’une formation et d’une expérience.
Hélas, on a vu par le passé avec les agents sanitaires auprès des DSV, pas mal de gens formés qui derrière n’assumaient pas leur engagement pour diverses raisons plus ou moins valables !
salut
zaya veut certainement dire qu une fois ta formation payé et si tu as le reussi tu sera appelé sur le terrain du genre controler des ruchers et avec la suspicion du coleoptere ca va faire du boulot le jours ou ????
et certainement qu il y a un salaire ???
donc administrativement = salaire = revenu = declaration = cotisations= imposition !!!!
sinon = inspection = condamnation = surimposition = taxation !!!
putain les trucs en ….. ion ….. c est pas bon !!!a+ courage !!
PS: vaut mieux que t aille aux champignons !! mais fait gaffe car ils sont pas tous bon non plus !!!!!!
On dit dans ces cas là qu’on l’a dans le f.on !
Allez je connais la sortie ….kaki AU CION !!!!! ! non mede !: AU COIN !!!!!!
Bonjour Eric
Tu a oublié de dire que pour intervenir tu doit avoir signé une convention avec un vétérinaire soit celui du GDSA ou soit un vétérinaire libéral (ceux-ci ne sont pas très chaud pour le faire ).
Tu peut signer plusieurs convention avec divers veto . Et tu dépendra de celui ci pour les diverses demande d’intervention et tu lui envoi tes comptes rendu de visite pour validation et celui ci retournera 1 exemplaire a l’apiculteur visitéBonjour EricTu a oublié de dire que pour intervenir tu doit avoir signé une convention avec un vétérinaire
Oui effectivement, je ne suis pas entré dans les détails des visites
Bonjour EricTu a oublié de dire que pour intervenir tu doit avoir signé une convention avec un vétérinaire
Oui effectivement, je ne suis pas entré dans les détails des visites
Bonsoir,
Oui, mais là, ce n’est plus un détail ! C’est la clé de voute du système, car tu agit sur ordre, tu ne peut donc pas te déclarer auto-entrepreneur, tu “tombes” dans le schéma salarié, et là, tu tombes de HAUT.
Bon courage à vous!
@+…… une bouteille de vin, une petite gnôle ou une bière à boire après la visite
Attention ! Au volant après ?!!!
Y a un api qui disait (….il se reconnaîtra) : si tu bois d’la gnôle , tu prends pas la bagnole
Hello,
tu agit sur ordre, tu ne peut donc pas te déclarer auto-entrepreneur
Bien sûr que si, c’est même pour ça que ce statut a été créé, les auto-entrepreneurs sont des travailleurs indépendants, prestataires pour des donneurs d’ordre.
Et comme l’a dit tchois, les vétos ne voudront pas salarier un TSA, il n’y aura donc guère d’autre d’option que se mettre à son compte pour faire certaines missions.
Ca risque d’en dissuader beaucoup.De toute façon, le problème ne se pose pas, puisqu’il n’y a pour l’instant pas l’argent pour payer les TSA, et on n’est pas prêt d’en voir la couleur…
Attention ! Au volant après ?!!!
C’est clair, mais j’y fais attention.
Enfin j’essaieMerci à vous pour toutes ces informations , par contre question littérature y a t il un bouquin valable et complet . Afin d’étoffer mes connaissances avant de débuter une éventuelle formation .
Dans vos régions qu’en est il du pse ?Hello,
tu agit sur ordre, tu ne peut donc pas te déclarer auto-entrepreneur
Bien sûr que si, c’est même pour ça que ce statut a été créé, les auto-entrepreneurs sont des travailleurs indépendants, ………………
Et bien justement dans cette configuration tu ne rempli PAS les critères d’indépendance et tu ne peux PAS revendiquer le statut d’auto-entrepreneur.
C’est du vécu !
Mais bon je vais arrêter d’argumenter, j’en ai rien à foutre, c’est un truc d’amateur !
@+Et bien justement dans cette configuration tu ne rempli PAS les critères d’indépendance et tu ne peux PAS revendiquer le statut d’auto-entrepreneur.
C’est du vécu !
Mais bon je vais arrêter d’argumenter, j’en ai rien à foutre, c’est un truc d’amateur !
@+Durant ma formation, faites en 2017-2018, on nous a dit que le statut d’auto-entrepreneur pourrait être le statut qui permettrait d’effectuer ces missions.
Par ailleurs, si on va dans ton sens, on ne rempli jamais les critères d’indépendance, quel que soit son statut, puisqu’on dépend toujours de quelqu’un.
Par exemple, pour ma part, je suis indépendant depuis 12 ans (informatique), mais je dépends des donneurs d’ordres (agences web, collectivités publiques, services de l’Etat).
Ce sera idem pour l’auto-entreprenariat appliqué aux TSA.
C’est un statut fourre-tout dans lequel on trouve tout et surtout n’importe quoi, les TSA y auront leur place.
On en reparlera dans quelques années, si jamais les TSA sont rémunérés un jourterroir, tu peux acheter “Les maladies des abeilles”, de Samuel Boucher, aux Editions France Agricole.
Bonjour
De mémoire il me semble que le statut d’auto entrepreneur ne peut pas être utilisé en
agriculture, enlevé mois ce doute
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