- Ce sujet contient 38 réponses, 14 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
lavie, le il y a 9 années et 5 mois.
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bonjour
comment procédez vous pour fondre les opercules??
à vous lireBonjour
Vu le petit nombre de mes opercules, j’utilise le cérificateur solaire et j’obtiens , bon an mal an , environ 6 kg de cire. Mais quand je vois 400 ruches pour sam47, ma réponse va faire sourire car je me doute que ce n’est pas possible pour une telle quantité.Lorsqu’on est amateur, effectivement, nous ne jouons pas dans la même cour
Salut Sam.
J’ai équipé un fut a miel de 300kg avec une vanette 1/4(truc de plomberie)a15 cm du fond.tu met de l’eau jusqu’au niveau de la vanette tu rempli ton fut d’oppercule tu remet le couvercle sans le cerclage.Le tout sur un gros tripate.
Quant ca bout tu coupe tu laisse decanter 1/4 d’heure et tu rempli tes gamat a la vanette.Fait gaffe ca coule dur au début!!!!
Dés fois le début c’est que de la flotte si t’as beaucoup de merdouillle au fond,de toute facon ca se voit quant la cire commence a couler.
Il reste toujours un peu de cire au fond,ti benne tout dans une gamat avec les merdouille qui on décanté dans le fond et quant c’est froid tu passe ca a la chaudière.
Les pain sont vraiments clean.
On pourrait améliorere le système en laissant décanter plus longtemps en isolant le fut avec de la laine de verre + fil de fer ca crame pas.
A+bonsoir
je fond les opercules dans les deux paniers de la chaudiere a cadres!!.
a l avenir je vais trouver une chaudiere ou en bricoler une pour faire rien que les opercules pour pas faire dans la meme a cause du sanitaire !!!a+Bonsoir,
Pareil que Pierrot, à la chaudière rectangulaire, alimentée en vapeur par une décolleuse à papiers peints.
@+@jean paul
ne croit pas qu’il n’y a que les apis de loisirs qui travaillent avec des cérificateurs. je pense sérieusement à m’en procurer un. au moins pour essayer.
@tom
qu’elle est la hauteur de ton pied de cire??
j’ai pas de vanne sur mes futs, je fait encore à la casserole, en soutirant par le haut.
j’ai deja essayer avec de la laine de verre autour des futs, ca change rien du tout (à part pour la soude). je me demande si c’est pas le moule qu’il faudrait isoler.
@pierro
qu’elle est la couleur de cette cire d’opercule passée à la chaudière??salut sam
la plus jaune au dessus du tas !!
Bonsoir,
je fais avec une petite cuve double paroi en inox, sur laquelle j’ai monté une résistance électrique + thermostat. 1er fonte filtrée avec une maille assez grosse puis je laisse décanter et je prend la cire par le dessus.
Je n’utilise la vapeur que pour les cadresbonsoir wlz
une tite photo pit etre !!!a+
moi j ai pris un fondoir meltior chez koko pas donne 1400 euros mais avec je récupéré du miel environ 50 kg cette année donc dans deux ans c’est amortie
Un cerrificateur solaire de grande dimension devrait bien fonctionner.
L intérieur pourrait être habillé d ardoise ou de carrelage noir pour l accumulation et l inertie.( paroles verticales)
@tom
qu’elle est la hauteur de ton pied de cire??Excuse moi Sam mais capte rien a ce que tu veux dire par” pied de cire”???
bonjour
au fil des discussions je me rappelle que ceux qui ont des eu des cérificateurs solaire sont passés a autre chose.
happyculteur pourrait t en parler !!!sam
le petit tas de cire c est des cadres de la saison une fois épuré!!!et celle la aussi
toute ma cire ressort comme ca et mon cirier ne me compte pas de déchet.
patmag le miel passé au fondoir ca doit plus avoir grand chose a voir avec du miel (peut etre le gout et encore je suis septique, mais il aura peru tote ses propiétés)vu que la cire fond a environ 70°
@ Max24
Tu fais une erreur magistrale par ton affirmation sur la température du miel lors de l’utilisation d’un fondoir et ta suspicion sur la qualité des miels.
S’il y avait un problème de ce type dans les exploitations professionnelles, çà se saurait ! …
Je pense que tu ignores le fonctionnement d’un fondoir (on ne va pas reprendre ici la notice technique d’un tel appareil).
Le principe : le miel est maintenu à une température de consigne par un thermostat pour faciliter, le filtrage, le pompage et la décantation. La cire fond en surface par rayonnement thermique et s’écoule à un niveau de soutirage. En fait, il y a sur le miel une couche d’opercules non fondues qui fait écran.
@tom
qu’elle est la hauteur de ton pied de cire??Excuse moi Sam mais capte rien a ce que tu veux dire par” pied de cire”???
je parle de la partie qui se dépose sous la cire.
@sam
donc le pied de cire est de 0 ou un leger gratouillage quelques mm sur les pain .
Le fond du fut est repasser a la chaudière .salut richard
ce miel issu de fondoir a mauvaise presse car mon acheteur de miel ne prend pas de miel provenant d exploitation ou il y a ce materiel en service ????
pourquoi j en sais rien !!! je pensais que c etait a cause de ce que disait max!!a+La qualité du miel de fondoir.
Le seul juge de la qualité, c’est la mesure du taux d’HMF et de l’indice diastasique.
– Fondoir intégré dans une chaîne d’extraction (travail en continu). Si la chaîne a un débit normal, l’effet fondoir est quasi nul.(Dans mon post 76320, je me plaçais dans ce cas de figure).
– Fondoir indépendant (on recharge avec des opercules plus ou moins égouttées)
Ce type de fonctionnement va dépendre de la quantité traitée. La cire en fondant va se répartir sur la surface. On va purger à un certain niveau pour obtenir la cire liquide. Le miel liquide (plus lourd que la cire sera au fond et sera soutiré. Dans ce cas, il suffit de mesurer la température du miel qui sera très modérée. En fin de chauffe, ce paramètre va augmenter.
Il suffit de travailler en continu et de n’avoir qu’une seule queue de chauffe qui elle sera de qualité médiocre.– La chaudière à cire (c’est là qu’est la confusion) a pour principe d’envoyer de la vapeur, donc on a un mélange cire-miel à une température supérieure à la fusion de la cire. Dans, ce cas le reste de “jus sucré” mélange de miel et d’eau est impropre à la consommation. Pour les abeilles, c’est plus que moyen. Certains petits malins, le font passer dans le miel, ce qui est interdit. On est devant la mauvaise image, qui se colporte, avec les avis et les amalgames dont Pierro fait état.
Pour ma part, contrôlant des centaines de fûts tous les ans, les analyses révèlent bien des surprises et pas forcément là où certains chevaliers blancs font le buzz.
C’est tendance, de crier haut et fort “Miel extrait à froid”, les autres le font sans doute à chaud !
Les mêmes qui suspectent les autres, laissent traîner les hausses au soleil pendant des semaines. La mesure d’HMF dans ce cas révèle une bien mauvaise surprise.
On en revient à la règle des bonnes pratiques apicoles.
Si le matériel dont nous disposons actuellement sur le marché est utilisé correctement, en respectant les modes de fonctionnement, le miel en sortie doit être de bonne qualité.
Maintenant pour répondre à l’acheteur dont Pierro, fait état, en prenant une exploitation avec fondoir indépendant quelle est la proportion de miel qui sort du bac décanteur et celle qui sort du fondoir.
(Je dois mal me débrouiller : 25 fûts dont on ne peut douter de la qualité, contre 200 à 300 Kg selon les années, pour une utilisation non commerciale et dont j’ai amplement l’utilisation sur l’exploitation.)
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