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CDSJO, le il y a 5 années et 5 mois.
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bonjour
y en a pas mal qui brulent cadres et cire et rachete pays de l est !!
moi je fais fondre les cire de corps !!
je recupere la mise et un peu plus !!
1500 cadres/an x 100gr = 150 kg de cire !!
et moi chui un petit bricoleur !!
a+T’en fais quoi de cette cire de corps ?
bonjour
y en a pas mal qui brulent cadres et cire et rachete pays de l est !!
moi je fais fondre les cire de corps !!
je recupere la mise et un peu plus !!
1500 cadres/an x 100gr = 150 kg de cire !!
et moi chui un petit bricoleur !!
a+Moi je les brûle, mais je ne rachète pas de cire, je suis automne avec ma cire d opercule. De toute façon je ne dois re utiliser la cire de corps. Pour le moment j’ai pas trouvé de débouché qui en vaille le coup.
bonsoir
comme mon a telier cire gaufré a bruler!!
je ne l ai pas remonté !!
je porte ma cire comme avant a un petit cirié qui prend pas la cire a tout le monde et il melange tout avec la cire d opercule !!
je n ai jamais eu de problemes avec sa cire !! !
ma cire de corps !!!
Finalement le plus sûr c’est de prendre sa cire chez koko, ils ont les moyens d’avoir un process irréprochable et pas intérêt à jouer à ce jeu là… en terme de notoriété ça serait un suicide pour eux de se faire prendre à tricher.
Ah bon? :)ry:
Bonjour,
Je suis en cours d’installation et je commence juste à être auto-suffisant.Après être tombé sur un lot de cire de merde il y a 3 ans, j’ai pris le parti de me passer de cire extérieure à mon exploitation. Tout comme Pierro, je récupères les cadres de corps et leur cire, en fonction de leur provenance. J’hiverne les caisses sur 8 cadres, ce qui me laisse tout l’hiver pour nettoyer ces cadres. Je fais un tri en 2 fois: les cadres des ruches mortes avec doute sanitaire partent sous la chaudière, ils sont un excellent combustible. Les cadres issus des ruches en bonne santé partent dans la chaudière, et sont triés en fonction de leur état en sortie. Les bons sont nettoyés, les mauvais partent sous la chaudière. Cela n’est probablement pas “rentable” mais il y a toujours des” amélies” dans l’hiver ou j’ai la flemme de mettre le ciré et d’aller tailler…La cire de corps est mélangée à l’opercule. Je fais gaufré ma cire depuis 4 ans à un cirier du Lot et Garonne qui me donne entière satisfaction. je lui laisse ma cire en passant le vendredi à l’occasion d’un vek-end en famille et je la récupère le dimanche en remontant. Ils ne font que du gaufrage, sans commerce de cire. Peu de déchets, les fonds de cuve sont rendus, le prix très honnête.A bien y réfléchir, je pense que c’est l’avenir. Un ou deux apis par région qui compléteraient leur revenu par une activité de gaufrage, et bien des problèmes seraient résolus! Après je pense comme CSDJO que nos problèmes de cire sont liés a cet engouement pour l’apiculture et au côté jetable que prend l’abeille. On ne compte plus les producteurs d’essaims, quand une colonie claque, on repart de zéro et on jette tout, un essaim subventionné (ou pas), 5 gaufres, et roule. De ce point de vue l’externalisation de la partie élevage probablement créé des besoins en cire ou en tout cas multiplié le brassage des cires et le poids des ciriers.
Enfin dernier retour, j’ai essayé cette année l’introduction de cadres nus en auto-construction: peu concluant chez moi, il faut des fils verticaux, et des reines très jeunes (essaims de l’année) sinon beaucoup de mâles. C’est un tout cas un excellent test et renseignement sur l’état et la dynamique de la colonie.
A+et bien pour moi cette année (pour raison de santé ) j’ai du me simplifier la vie ,j’ai acheté des cires chez un commerçant (de clermont ferrant) qui a un magasin prés de chez moi ,la cire avait une couleur et une odeur bizarre mais bon quand on a pas le choix ! ……….quelle catastrophe , elles ne l’ont pas accepté ,j’ai eu des constructions doubles dans toutes mes ruches ;
lors d’un passage prés de chez eux ,je me suis arrêtée pour leur dire mon mécontentement et c’est bizarre ,y a que chez moi ! mais ils vont quand même en parler j’attend la suite ;
a l’heure actuelle je me demande si je vais continuer l’apiculture car je trouve que si on ne peux plus faire confiance a personne ça devient trop compliqué pour moi .Anonymeil y a 5 années et 6 moisRang: ButineuseMessages: 39410 ptsbonjour
de toutes façon pour ceux qui ne peuvent pas avoir des cires correctes il vaut mieux faire a cadres nus car la colonie évolue lentement , et en plus elles reconstruisent sur celle ci et aussi bien sur ceux de hausses et ça fait des cadres merdiques . quand ça coule en deux jours tout est construit après pour les cadres j’ai pas remarqué de différences entre cadres filés horizontaux ou verticaux ça construit aussi sur les deuxHello toit le monde,
Quand j’écris qu’il y a un nombre d’apiculteurs (ou de possesseurs de ruches) croissant dans le pays, on me répond que non, qu’il y a abandon par la suite.
Tu interprètes bien ce que tu lis comme tu le veux hein…
On parlait de production de miel, tu nous disais que le marché serait déstabilisé par les petits producteurs, personne n’a dit que l’apiculture de loisir n’entraînait pas de pénurie.il y a 5 années et 6 moisRang: ReineMessages: 1537Nb de ruches: 48Localisation : France204 ptsExcepté l’année d’acquisition des deux premières colonies, le poste cire n’a jamais été un problème et il représente en vitesse de croisière un petit pourcentage de revenu.
Pour que tout soit clair :
Le type d’apiculture pratiqué laisse en gros cinq mois de libre par an; la régénération des cadres parvient à occuper une partie de ce temps.
Certains de mes cadres ont 40 ans, ils ne sont brulés que s’ils sont inutilisables pour cause de faiblesse ou de déformation.
Il n’y a pas de renouvellement systématique, chaque année entre 1/3 et la moitié des colonies sont prélevées de 3 cadres pour la constitution d’essaims, donc on a 3 cires pour ces colonies et 7 pour les futures. Les ruches sans avenir (orphelines, sans avenir, etc sont récupérées, retrempées et les cadres passent à la chaudière.
La chaudière a 35 ans (Lerouge) est ronde, 55cm et contient 19 cadres Langstroth 14 dans la diagonale, 3+2 sur les côtés, chauffée gaz .
A la fin de la fonte, les cadres sont grattés, puis passés à la flamme, fils retendus et cire posée.
En poids, on récupère presque la cire de mise de départ, comme je l’ai dit celle ci est vendue et non réutilisée par l’exploitation.
Si c’est la cire d’opercules qui sert à fabriquer les nouvelles cires, c’est le principe de précaution, parce que je ne sais pas si oui ou non, il y a problème et à quel niveau.
Nous n’avons jamais eu de problème de non acceptation, il semble que ce phénomène soit récent et dû à de la falsification délibérée, un peu provoquée par le manque de matière première.
Ajoutons que les cadres suspects sont aussi brûlés.
Cette façon de traiter la cire et son renouvellement correspond à la culture de l’apiculteur, je serai curieux de savoir, par rapport au remplacement systématique par des cadres neufs, qui est dans le durable et dans quel sens va l’empreinte carbone, ardu à évaluer.il y a 5 années et 6 moisRang: ReineMessages: 1537Nb de ruches: 48Localisation : France204 ptsEric
On peut lire et ne par forcément interpréter (mais si on vent pas de soucis)
Je dis que:
Il y a de plus en plus de personnes qui font l’acquisition de ruches.
Tu dis qu’ils abandonnent.
Je dis que oui mais que le solde est positif, donc que malgré les abandons pour tous les cas que tu as cités, le nombre augmente.
Et, pour être plus complet avec des chiffres que j’ai vu circuler il y a quelques années, c’est le nombre de ruches par exploitation qui diminue, seul avec 800 ou 1000 caisses par tête de pipe, c’est terminé (400 est un temps plein), mais que cette taille d’exploitation est remplacée avantageusement par un nombre d’apiculteurs croissant.
Il y avait un revendeur itinérant de matos d’apiculture le jour de l’A.G du syndicat, il y est toujours et il y en a maintenant 2 fixes dans le département, et la vente de matos d’occasion tourne à fond….. et on manque de cire même les années où on fait du miel.
Dans le département, le nombre de possesseurs de ruches a doublé, dans ma commune il a quintuplé et les pros ou semi-pros c’est pareil.
Mais je ne m’en plains pas, c’est le constat de l’évolution avec un peu de recul et de connaissance du milieu.bonsoir
comme mon a telier cire gaufré a bruler!!
je ne l ai pas remonté !!
je porte ma cire comme avant a un petit cirié qui prend pas la cire a tout le monde et il melange tout avec la cire d opercule !!
je n ai jamais eu de problemes avec sa cire !! !
ma cire de corps !!!
Chacun fait comme il veut, moi je trouve ça dangereux…
Accumulation de traitement dans les corps gras, problème de fertilité…il y a 5 années et 6 moisRang: ReineMessages: 1537Nb de ruches: 48Localisation : France204 ptsMdr, je suis à côté.
Je me garderai bien de faire un lien avec la production de miel parce que:
à 2 ou 3000 tonnes près, personne ne sait exactement combien on produit de miel en France, on connaît un peu mieux le nombre de propriétaires de ruches et de ruches, mais il en passe sous les radars.
Ce qu’on oublie, c’est que tout ce petit monde est dans la même niche, le miel Français de proximité. chaque nouvel arrivant, n’a plus besoin d’acheter de miel, en file à sa famille qui n’en achète plus non plus, à ses amis qui n’en achètent plus non plus et à toutes les relations de travail ou de loisir parce que la demande est très forte.
>Tout celà vient diminuer la vente des apiculteurs locaux, je ne porte aucun jugement, c’est comme ça, personne ne peut donner de chiffre sur la concurrence réelle ou supposée.
Il faut suivre les chiffres des ventes dans tous les secteurs du miel pour savoir si il y a un impact et quel est il.
C’est tout pour aujourd’hui, on va faire fondre des cadres.Finalement le plus sûr c’est de prendre sa cire chez koko, ils ont les moyens d’avoir un process irréprochable et pas intérêt à jouer à ce jeu là… en terme de notoriété ça serait un suicide pour eux de se faire prendre à tricher.
Ah bon? :)ry:
Visiblement tout le monde ne partage pas mon point de vue
et celui-ci semble ne pas résister à l’épreuve des faits
Jusqu’à présent jamais eu de problème avec leur cire… mais en même temps je l’ai toujours pris chez eux donc finalement je n’ai pas de point de comparaison
CDSJO,
Les chiffres parlent d’eux-mêmes…. on est encore loin d’être revenu au niveau de 1970 !
Etait-il si difficile que ça de vendre du miel à cette époque avec autant de petits apiculteurs ? J’ai du mal à le croire…. D’autant plus que le niveau de production par ruche devait sans doute être bien supérieur à maintenant…. Si on suit ton raisonnement, le marché devait crouler sous le miel des “petits” !
chaque nouvel arrivant, n’a plus besoin d’acheter de miel,
moi je n’ai jamais autant acheté de miel que depuis que j’ai des ruches! j’aime bien goûter de nouveaux miels, discuter avec les apiculteurs… et puis bon c’est cool de pouvoir comparer avec le sien en toute objectivité
en file à sa famille qui n’en achète plus non plus, à ses amis qui n’en achètent plus non plus et à toutes les relations de travail ou de loisir parce que la demande est très forte.
>Tout celà vient diminuer la vente des apiculteurs locaux,ça s’est pas faux! je n’en vend pas mais j’en donne… c’est vrai que c’est pas bien, c’est des ventes en moins pour ceux dont c’est le job
après il faut relativiser, je fréquente un rucher école et je vois bien ce qu’il se passe, finalement la plupart n’ont qu’une ou deux ruches et tous loin s’en faut arrivent à faire une récolte honorable… pour moi cet engouement pour l’apiculture c’est plus une aubaine pour les pros qui vendent des essaims, mais bon ça c’est un autre sujet…
il y a 5 années et 6 moisRang: ReineMessages: 1537Nb de ruches: 48Localisation : France204 ptsA l’époque les petits apiculteurs, on était deux dans le patelin ; au syndicat, une centaine de personnes pour le département et on se connaissait tous. par contre les gros avaient beaucoup plus de ruches et le circuit de distribution était différent.
Pour nous, il n’ avait aucune concurrence, on se sentait seuls au monde et l’apiculture n’intéressait personne, l’apiculteur était vu comme un marginal et pas forcément dans le positif.
Les choses ont changé radicalement, c’est un constat et tant que ça n’impacte pas nos prix de vente, il n’y a pas de problème.
Je ne vais pas t’infliger un tableau qui ne vaut pas tripette mais les collègues pro déclaraient 400 caisses et en avaient 1200 puisque l’imposition se faisait à la caisse, on déclarait le minimum syndical et en avant ; j’en parle parce qu’il y a prescription mais tout ce qui s’y intéressaient savaient, services fiscaux aussi..
Personnellement, ce que je surveille, c’est les parts de marché des GMS puisque notre production est écoulée par ce circuit.
Quant au détail, je suis observateur mais non concerné directement ; mon problème c’est d’abord et avant tout de produire.il y a 5 années et 6 moisRang: ReineMessages: 1537Nb de ruches: 48Localisation : France204 ptsA sylv 1
Je vais au rucher école pour aider à la formation d’apiculteurs amateurs et je paye ma cotisation (modeste) pour transmettre sans me poser de question.
Quand je suis parti dans cette aventure, j’aurai bien aimé avoir une formation, ça m’aurait évité de belles galères, mais ça n’existait pas.Je vais au rucher école pour aider à la formation d’apiculteurs amateurs
Ils ont bien de la chance les élèves de ton rucher école
les collègues pro déclaraient 400 caisses et en avaient 1200 puisque l’imposition se faisait à la caisse, on déclarait le minimum syndical et en avant
donc les stats ci-dessus de nuc84 sont sous estimées pour les années 70-80? nous serrions donc aujourd’hui loin du nombre de colonies que nous avions à l’époque? du coup pour en revenir au sujet de départ, visiblement la fraude à la cire est apparue récemment donc comment expliqué qu’aujourd’hui il y ai pénurie de cire? désolé mais j’ai du mal à comprendre…
il y a 5 années et 6 moisRang: ReineMessages: 1537Nb de ruches: 48Localisation : France204 pts1/ l’offre de cire est en rapport direct avec la production de miel, personne ne sait exactement combien on produit dans ce pays.
2/La demande de cire est consécutive du nombre de ruches et de hausses qu’il faut équiper chaque année, là aussi, bon courage pour savoir.
En l’absence de chiffres fiables, force est de constater que la demande est supérieure à l’offre mais de combien ? Il suffit qu’il y ait un manque de 10% pour provoquer un déséquilibre.
De plus, si une partie des apiculteurs même amateurs jettent la cire de corps, c’est une pénurie garantie.
On pourrait essayer de connaître les pratiques via le forum mais j’ai compris qu’il est illusoire d’avoir un échantillon représentatif pour savoir ce qu’il se passe.
Par contre, pour ce qui est de fraude par ajout de cire chimique ou autre, on ne sait pas si c’est occasionné par la pénurie ou une manière comme une autre de gagner de l’argent facilement.
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