[jeuneapi]

On sent la grande forme Thierry ,j’aime

[pierrolefou]

On sent la grande forme Thierry ,j’aime

il a du se prendre une buche dans la tronche encore !!!!.

[spatz]

moi pour commencer je les mettrais au régime cubain , jusqu’à ce qu’ils trouvent

J’en ai entendu une bien bonne lors de la journée de l’abeille organisée par l’ANSES ( un repère de vétérinaires et de chercheurs mangeurs de budgets ) à Paris.
C’est véridique, voir la photo que j’ai prise plus bas.
Yves Leconte, chercheur émérite à l’INRA sur les abeilles, nous fait une conférence sur ses travaux de l’abeille résistant naturellement au varroa.
Alors bla bla bla bla, génétique, brevets déposés, etc……
Comme on peut le voir sur l’image: ITSAP, INRA, labogena, umtprade avec en bas de l’image le logo qui dit tout: “investissement d’avenir” et en bas à gauche FranceAgrimer fournisseur de la manne européenne de budget, là c’est des millions d’euros.
Parce que Yves Leconte a été en possession d’authentiques essaims résistants aux varroas ( je le sais, c’est vrai), son but pendant au moins une décennie a été de trouver LA molécule magique, voire LE gène magique qui expliquerait cette résistance, c’est tout pas plus.
Puis à la fin de la présentation, il nous montre une photo de ruche avec un matricule et nous dit tout ému: c’est elle la colonie résistante, on a travaillé avec plusieurs années et l’essaim est mort.
Une personne dans la salle lui pose alors LA question qui tue: vous pratiquez l’insémination artificielle pour vos expériences?
Réponse de Yves Leconte: non, mais j’ai l’intention de m’intéresser à cette technique.
Et là, tu comprends tout, ces “savants” n’y connaissent rien en apiculture, en sélection, alors il se passe des décennies où ils cherchent, bouffent des sous, font des publications, des conférences mais tout cela ne mène nul part. Triste constat !!
Sans parler de la mafia des vétérinaires dont le seul but est de verrouiller le sanitaire à leur profit.
Alors justement, que nous apprends l’exemple cubain: des organisations d’apiculteurs bien structurés, motivés et expérimentés et le résultat est là.
J’ai la grande faiblesse de croire que peut être justement la création de l’interprofession pourra permettre de mettre en place un état d’esprit comme les apiculteurs cubains ont su le faire.
** Image non securisée supprimée **

[jeuneapi]

Pour Thierry
Une phrase attribuée à de Gaulle .
“En France, des chercheurs qui cherchent, on en trouve. Mais des chercheurs qui trouvent, on en cherche”

[pierrolefou]

Paris, le 15 janvier 2018

Lettre ouverte aux apiculteurs : Interprofession – l’apiculture n’est pas à vendre
Chers(ères) Collègues,
En 2013, le plan de développement durable de l’apiculture, élaboré par Stéphane Le Foll et le
monsieur abeille de l’époque Monsieur François Gerster, prévoyait la création d’une
interprofession apicole ; des réunions et des discussions avaient alors été engagées entre les
différents acteurs et les pouvoirs publics. Or, la mainmise, voire l’ingérence, de ces derniers
sur les modalités de création de cette interprofession n’ont pas rendu possible les conditions
de sa mise en place effective.
Suite au discours du Président de la République Macron, à Rungis, en octobre dernier, dans
le cadre des Etats généraux de l’alimentation (EGA), le Ministère de l’agriculture a demandé
à l’ensemble des filières agricoles d’élaborer un plan de filière afin que chacune d’elle se fixe
des objectifs économiques, sanitaires, environnementaux, … jusqu’à 2022. Ce sont en
principe les interprofessions qui sont en charge d’élaborer ces plans de filière.
C’est pourquoi, le Ministère a relancé ‘au pas de charge’ la création d’une interprofession
apicole. Le 17 novembre, la Direction générale de la performance économique et
environnementale des entreprises (DGPE) du ministère a invité l’ensemble des acteurs de la
filière à une réunion relative à notre plan de filière et à l’interprofession ; cette réunion a
davantage porté sur l’interprofession et les difficultés financières de l’ITSAP que sur le plan de
filière. L’approche a été la suivante : si la filière ne montre pas la volonté de se structurer en
interprofession, l’Etat n’abondera pas pour aider financièrement l’ITSAP- Institut Abeille en très
grave difficulté de trésorerie…
Parallèlement, plusieurs réunions, très rapprochées, entre les acteurs du collège ‘production’,
puis avec les acteurs du collège ‘commercialisation’ ont débouché sur un consensus
concernant les axes et les objectifs de cette interprofession, et sur un projet de statuts de
l’association d’interprofession, malgré le fait que nous ne sommes pas d’accord avec la
composition et le mode de gouvernance du collège ‘production’. Le calendrier est, en effet,
très serré puisque l’association d’interprofession devrait voir le jour à la fin du mois de janvier
2018 (assemblée générale constitutive prévue le 29 janvier prochain).
Comme vous le savez, notre institut technique rencontre d’énormes difficultés de trésorerie.
Au titre de l’exercice 2016-2017, le résultat net déficitaire est de 183 493€. Depuis le mois de
juillet la situation est inquiétante. Pourtant à ce jour comme c’est le cas logiquement dans ces
situations de crise, aucun plan de sauvegarde ou de relance de l’institut, aucune remise en
question de la gestion comme de la gouvernance n’ont été élaborés par le bureau et présentés
comme il se doit au Conseil d’Administration. Le 31 janvier 2018, les prévisions négatives
dépasseront les 500 000€ et en mars 2018, plus de 800 000€…
Dans un courrier en date du 8 janvier 2018, le ministère de l’agriculture a décidé de réinjecter
400 000€ dans l’ITSAP, ce qui ne comble pas, loin de là, le déficit. Pour autant, le Ministre de
l’Agriculture dans ce même courrier précise bien qu’il va demander qu’un audit soit diligenté
Union Nationale de l’Apiculture Française • 26, rue des Tournelles • 75004 PARIS • Métro-Bastille
Tél. +33 (0)1 48 87 47 15 • Fax +33 (0)1 48 87 76 44 • N° Siret : 32365820300019 • APE : 9411Z
E-mail : unaf@unaf-apiculture.info • Internet : http://www.unaf-apiculture.info/
au cours du mois de janvier. Les recommandations de cet audit devront être prises en compte
dans la nécessaire refonte de l’institut qui doit appuyer son développement sur un modèle
économique durable, réaliste, répondant pleinement aux enjeux de la filière apicole.
Lors du dernier Conseil d’administration de l’ITSAP le 11 janvier, devant les difficultés
financières auxquelles doit faire face très rapidement l’Institut, sur une proposition émise in
extrémis, le CA (à l’exception de l’UNAF) a voté une résolution demandant clairement aux
responsables de la future interprofession que celle-ci mette tout en œuvre pour réunir le plus
vite possible 350 000€ et les attribuer à l’Institut pour tenter d’éponger les dettes. La première
priorité de l’interprofession. Cette somme serait récoltée auprès des apiculteurs par le biais
d’une Cotisation Volontaire Obligatoire, dont les modalités d’applications restent encore à
définir.
Il semble pourtant urgent d’attendre les résultats de l’audit, avant de s’engager sur une
quelconque somme que pourrait verser la future Interprofession. L’interprofession n’est pas
créée, et l’on voit déjà poindre une ardoise ! Ce n’est pas aux apiculteurs, déjà confrontés à
de multiples difficultés, de supporter les coûts de la mauvaise gestion financière de l’Institut et
de son modèle économique boiteux depuis sa création, alors même que cet Institut ne répond
pas assez souvent aux besoins, et aux attentes des apiculteurs sur le terrain.
Bon nombre d’acteurs en votant cette résolution se sont, d’une certaine manière, engagés à
ce que la première action financière que mènera la future interprofession consiste à répondre
à cette demande, mais un grand nombre d’entre eux se trouvent à la manœuvre dans les deux
instances.
Comme ce projet d’interprofession est mené tambour battant sans que les apiculteurs sur le
terrain soient mis au courant des évolutions rapides de ce dossier, il nous a paru naturel et
indispensable à l’UNAF de vous mettre au courant de ce qui se prépare dans les réunions
officielles et officieuses…
Plus que jamais, l’UNAF reste favorable à un institut technique qui soit un outil fort et pérenne
de développement et à la création d’une interprofession qui rassemble toute la filière.
Cependant, ces structures doivent travailler en toute transparence et dans le souci permanent
d’aider les apiculteurs et à sauvegarder l’abeille. Aujourd’hui l’UNAF s’interroge sur la
précipitation de cette mise en place, car il n’est pas certain que l’intérêt des apiculteurs en soit
l’objectif principal.
Le Conseil d’Administration de l’UNAF

[ZAYA_26740]

@ mon petit moineau,
Il suffirait de pas grand chose,
Quelques apiculteurs décidés,
Qui unis comme des frères,
Balancent toute cette prose,
Et sur les problèmes concentrés,
Ne mettrons pas des siècles,
Pour voir la vie en rose !
Mais avec l’espèce concernée,
L’humain habitué aux salamalec,
Est aux antipodes de ma prose !
Amen

[spatz]

Merci Pierrot pour cette info.
Je lis:

Lors du dernier Conseil d’administration de l’ITSAP le 11 janvier, devant les difficultés
financières auxquelles doit faire face très rapidement l’Institut, sur une proposition émise in
extrémis, le CA (à l’exception de l’UNAF) a voté une résolution demandant clairement aux
responsables de la future interprofession que celle-ci mette tout en œuvre pour réunir le plus
vite possible 350 000€ et les attribuer à l’Institut pour tenter d’éponger les dettes. La première
priorité de l’interprofession. Cette somme serait récoltée auprès des apiculteurs par le biais
d’une Cotisation Volontaire Obligatoire, dont les modalités d’applications restent encore à
définir.

Il se trouve que participant à la création de l’interpro, j’en sais autant que l’UNAF.
L’interpro n’existant pas, je ne vois pas comment l’ITSAP pourrait nous avoir transmis une résolution. D’autre part, dans les discussions concernant l’interpro auxquelles l’UNAF participe d’ailleurs, il n’est jamais pris en compte les difficultés de l’ITSAP et clairement, cela ne nous regarde pas.
Soyons clair à nouveau, la première priorité de l’interpro ne sera pas de sauver l’ITSAP et ce ne sera pas non plus une de ses dernières priorités.
Personnellement, la stratégie de l’UNAF me laisse rêveur, que veulent ils??
Informer c’est bien, nécessaire mais pas raconter n’importe quoi, c’est la mode des Fake News, même en apiculture.
Le but c’est de faire peur: les apis vous allez y être de votre poche pour aider l’ITSAP à survivre donc dites non à l’interpro.
Pourquoi? sans doute parce que l’UNAF se trouve légitime à être la seule véritable, authentique, légitime organisation représentante de l’apiculture. Et là, tout devient logique, pas besoin d’ITSAP, d’interpro, d’autres syndicats car l’UNAF est là, seule, unique, légitime.

Le fond de l’histoire sans doute, puisqu’il faut tout dire ( je ne fais pas parti de l’ITSAP), c’est que l’Etat est prêt à mettre 400000€ sur la table à condition que l’ITSAP en mette autant de son coté et il se tourne donc vers l’interpro, sauf que si il faut tout dire à nouveau, le rapport de force au sein de l’interpro n’est pas du tout en faveur de l’ITSAP DONC les apiculteurs n’y seront pas même pour un kopeck dans l’histoire et l’UNAF a perdu une occasion de se taire.
D’autant que même si l’interpro voulait renflouer l’ITSAP, juridiquement cela serait impossible, et de plus l’UNAF le sait !!!

[pierrolefou]

intermiel bis !! a+

[ZAYA_26740]

Salut,
Comment c’est administré ?
Pas très bien je crois !
Pour mettre les compteurs à zéro, 400 mille boulles de l’état, + 400 mille boulles de l’interprofession .
Mais il me semble qu’il faut aussi un fond de roulement, + 400 mille boules de plus ? kiki paye ?
Pour le fonctionnement de l’interprofession, + 400 mille boules ?
Pour participer à l’élaboration de la norme internationale sur le miel, + 400 mille boules.
C’est cool de brasser autant de fric quand c’est pas le tien !
A mon avis, si vous voulez vous en sortir, va falloir faire des pots 4 fois + petits, et les vendre 4 fois + cher ! Non ?
@+

J’oubliais ! Si vous voulez faire le total général des besoins, c’est avec plaisir ! Moi, ma calculette, loin d’être habituée à autant de zéros, a buggé !

[Anonyme]

Juste pour comprendre comment ça fonctionne l’ITSAP, parce que c’est un fonctionnement de nombreux établissement publics et je crois que le soucis est surtout là.

Dans ce type d’établissement, vous montez un projet dans le but d’obtenir la subvention qui vous permettra de le mettre en place.
Donc en gros vous engagez des frais salariés de constitution de dossier, souvent élevés vu les dossiers à fournir, avant de savoir si oui ou non vous aurez le fric.
Ajoutez à ça que parfois les délais sont tellement courts que vous devez embaucher des gens sans même savoir si le projet sera oui ou non financé…

Les organismes de formation c’est pareil, c’est un fonctionnement au jour le jour, du grand n’importe quoi!!!
Et plus l’organisme est gros… Plus il peut tomber de haut!

Quand à l’interpro, en effet l’UNAF souligne le petit chantage préalable de l’état concernant le sauvetage de l’ITSAP à la condition que l’interpro se mette en place, par contre Spatz à raison au sein l’interpro tout le monde ne souhaite pas sauver l’ITSAP…

Par contre à priori mettre en place une norme AFNOR à 50 000€ par an, ça pourrait passer… L’argent coûte pas cher!

[spatz]

Quand à l’interpro, en effet l’UNAF souligne le petit chantage préalable de l’état concernant le sauvetage de l’ITSAP à la condition que l’interpro se mette en place, par contre Spatz à raison au sein l’interpro tout le monde ne souhaite pas sauver l’ITSAP…

Par contre à priori mettre en place une norme AFNOR à 50 000€ par an, ça pourrait passer… L’argent coûte pas cher!

Ce n’est pas un chantage, le role de l’état n’est pas de financer une institution à fond perdu, c’est avec l’argent de tous.
Pour l’AFNOR, très bon exemple, le GPGR ( producteurs de gelée royale) ont fait de même, à savoir participer à l’AFNOR pour tenter de contrer les exportations chinoises et le cout est exactement le même pour eux. Si une production n’est pas défendue par ses producteurs qui le fera.
Aujourd’hui, c’est la définition du miel qui est discutée au niveau international, qui va défendre le miel français et ses producteurs ???
ou alors on ne fait rien, le miel chinois inondera l’Europe et juridiquement, on ne pourra rien faire et il sera trop tard.
Ce que l’on voit au travers de l’histoire cubaine ou chinoise, c’est que ce sont ceux qui sont organisés, déterminés qui gagnent.
Notre avenir est entre nos mains et le temps compte, c’est simple.
Et il n’est pas compliqué non plus de tirer les leçons des expériences passées.

ci-dessous un extrait de la présentation des cubains ( ce n’est pas du bon anglais):

[ul]
[li]chaque province (14) ont leur propre système de sélection d’abeilles, elles ont démarré avec des ruches qui survivaient sans traitement, en étant les plus hygiéniques et productives en miel. Et ce sont ces reines qui étaient ensuite diffusée pour des ruches commerciales.[/li]
[li][Apiculteurs et tout le personnel responsable, étaient formés et constamment tenu au courant sur les tests de tolérance et de résistance de comportement face au varroa[/li]
[li]les test de sélection étaient suivis systématiquement chaque année, pour les nouvelles ruches sélectionnées. Cette méthode après 4 années, a permis aux ruches cubaines d’être absolument libre de tout traitement chimique contre le varroa. De plus tout usage d’antibiotique contre les maladies bactériennes du couvain était interdit[/li]
[/ul]

Ce qui prouve que c’est l’organisation et les compétences des apiculteurs qui a permis un tel succès. Serait on stupides en France pour ne pas faire de même ??
La photo que j’ai posté plus haut où on voit l’INRA se perdre dans des analyses génétiques montre le chemin que l’on suit actuellement et qui ne mène nul part.
On a dépensé des millions pendant plus d’une décennie pour rien.
Alors comment fait on ?????
** Image non securisée supprimée **

[chouette]

Bonjour,
Intéressante comme discussion. Merci de nous informer vous qui êtes au plus près des réunions.

Le truc et on le voit bien a cuba. c’est pas l’argent mit sur la table qui a fait avancer les choses…..mais la volonté.

Pour les normes, c’est identique. On peut créer a coup d’euros tout les dossier que l’on veut, rien ne changera sans volonté.
L’argent est même devenu parfois un mauvais substitut de volonté très courant.

SI vous êtes invité chez quelqu’un que vous aimez , vous pouvez (rien ne vous oblige) lui apportez des fleurs ou une bouteille ou un présent….
MAIS ce ‘est pas parce que vous lui apportez un présent que vous l’aimez.

Ca parait un peu décalé ce que je raconte, mais il me semble que nous en sommes souvent là.

Beaucoup d’argent déployé, dépensé mais peu de volonté . La volonté remplace toutes les normes, les études.
On peut faire beaucoup avec peu d’argent.

C’est pas l’argent qui changera notre vie et notre humanité mais notre volonté.

[apimarc]

Pas mal de chose m’interpelle dans vos précédent messages.
C’est la faute à l’INRA, c’est la faute à telle organisation… oui c’est clair que rien n’est parfait. Pour exemple dans mon département les lâcher de Totymus contre le cynips, ne sont pas réalisés, mais sur les département riverains oui. Vous pensez bien que c’est efficace, et ce n’est qu’un exemple!
Vous pouvez mettre en place toute les interpro, les recherches…. Tant que l’environnement sur lequel évoluent les abeilles ne s’améliorera pas, tant en biodiversité qu’en réduction de présence de pesticides, (dont font partis les acaricides….), tant que l’api sera obligé de nourrir pour vivre de son travail, tant que les cires et autres produits proposés par les négociant seront pollués; vous pouvez essayer, mais jamais on retrouvera une production égale ou se rapprochant d’avant les années 80, ou équivalente à Cuba.
Le varroa est bien sur un problème ici en france, mais certainement moins sur des zones indemnes. Du coup sur ces zones il récoltent 100kg/ruches/an, et gagne plus qu’n api européen!!!
C’est là que l’argent, l’énergie doit être mis en place, sur la remise en état de NOTRE environnement! Le reste n’est que bandage sur une plaie purulente!

[Toni06]

J’ai lu en entier le compte-rendu de l’activité de l’ITSAP 2015-2016.
http://blog-itsap.fr/wp-content/uploads/2017/05/compte-rendu-activite-itsap-2015-2016-3.pdf

J’ai trouvé qu’il y avait de belles tournures de phrases :pour désigner chaque sujet de recherche mais que quand on regarde dans le détail on s’aperçoit que c’est assez creux.
l’ITSAP se contente de rapporter les essais faits par d’autres organismes et de faire des enquêtes auprès des apiculteurs.
Quand je compare ce que fait Randi Oliver sur son site “scientific beekeeping” avec ses propres fonds et les dons des apiculteurs qui trouvent son travail intéressant, je me dis que, s’il avait les moyens de l’ITSAP, on avancerait beaucoup plus vite.

[ZAYA_26740]

Bonsoir,
Vous pouvez bien avoir tout un tas d’organismes plus compétent les uns que les autres, vous engagez dans des super plans de sélection, dans la mesure où les pytomortifères vont TOUT vous mettre par terre, vous l’aurez dans le bas du dos !!!! :twisted
Le reste n’est que du blablabla……………..
@+

[chouette]

Merci apimarc.
Tu m’as devancé!

On parle beaucoup de cuba mais il est plus facile pour les abeilles d’y supporter le varroa.

La colonie d’abeille est un super organisme et en parallèle je dirais qu’il est plus facile a un organisme humain bien portant de lutter contre un rhume.
Mais lorsque l’organisme est atteint par exemple du sida ou en phase terminale d’un paludisme ou d’un maladie de lyme là le rhume devient difficile a surmonter.

Dans l’état actuel de l’environnement, les apiculteurs français sont plus en survie (changement de reine tout les ans /nourrissement / souches hyper populeuses….) plutôt que dans une sélection efficace contre le varroa.
Peu de choses intéressantes peuvent se faire contre le varroa sans l’amélioration des conditions de vies de nos abeilles.

Difficile de sélectionner une souche tolérante au rhume lorsqu’elles sont fortement atteinte du sida, du paludisme et de la maladie de lyme.
Cela devient presque impossible en France pour le moment.
Vu de l’abeille, la sélection au varroa est complètement noyée dans une sélection plus vitale: survivre aux conditions actuelles aléatoires et changeantes

Cela n’empêche de trouver l’exemple cubain très intéressant à suivre. et à reproduire chez nous en France dès que l’environnement nous le permettra de nouveau!
Allez comme le dis Zaya: Amen!

[ZAYA_26740]

Bonsoir,
Des “experts” ont expliqué qu’une abeille affaiblie est une proie facile pour ces pitains de varroas ! :twisted
Donc, le fait de chercher une abeille résistante à varroa est une voie sans issue, encore une fois on ne fait qu’user le soleil ! :twisted
Qu’est ce qui peut mieux affaiblir nos abeilles que tous ces produits pytomortifères ? :twisted
Ne vous trompez pas de combat !
@+

[spatz]

J’ai bien peur de ne pas être d’accord avec Zaya.
Snif…….
C’est la vie !!

[ZAYA_26740]

Houlà mon petit moineau, que tu ne soit pas d’accord avec moi, s’il y en a un que ça ne va pas déranger, c’est bien MOI !
Moi, ce qui me gonfle grave, c’est d’entendre toujours les mêmes ritournelles lors des différentes réunions ou congrès apicoles, les cires sont polluées, les butineuses ne retrouvent pas la ruche, les mâles n’ont plus de coucougnettes, il y a des trous dramatiques entre les miellées, la production de miel s’effondre, etc, etc,

RENDEZ-NOUS UN ENVIRONNEMENT PROPRE ET FLEURI ! 99 % des problèmes seront réglés !

Tout le reste n’est que leurre !

Bisous mon petit moineau
@+

[wq123]

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