- Ce sujet contient 89 réponses, 20 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
ispat, le il y a 6 années et 3 mois.
-
Mr Kemp a déjà a son actif plusieurs systèmes commercialisés qui fonctionnent bien
J’ai assisté à une conférence de Kemp, il y a qq années. C’est une personne qui a une très forte personnalité. Ce jour là, il nous a présenté sa dernières trouvaille, des aimants aux pouvoirs magiques qui redonnaient vitalité et force à nos petites abeilles.
Les pouvoirs des aimants, plus personne aujourd’hui ne s’en souvient.Les mâles ont juste la moitié du patrimoine génétique de leur mère Ils peuvent être très ressemblants ou très différents les uns des autres surtout si la mère est croisée .
peu de chances (aucune chance raisonnable) d’en trouver 2 identiques.Contrairement aux femelles, les mâles ne peuvent transmettre à leur descendance (femelle) qu’un seul chromosome de chaque paire donc tous leurs spermatozoides sont identiques.
Les mâles ont juste la moitié du patrimoine génétique de leur mère Ils peuvent être très ressemblants ou très différents les uns des autres surtout si la mère est croisée .
peu de chances (aucune chance raisonnable) d’en trouver 2 identiques.Contrairement aux femelles, les mâles ne peuvent transmettre à leur descendance (femelle) qu’un seul chromosome de chaque paire donc tous leurs spermatozoides sont identiques.
Je ne comprends toujours pas pourquoi le mâle n’a que la moitié du patrimoine génétique de la reine puisque il est issu d’œufs non fécondés (ovules ) et qu’il n’y a donc pas d’autre intervenant que la reine
Je ne comprends toujours pas pourquoi le mâle n’a que la moitié du patrimoine génétique de la reine puisque il est issu d’œufs non fécondés (ovules ) et qu’il n’y a donc pas d’autre intervenant que la reine
Les femelles (reines) ont 2 chromosome de chaque (2 chromosomes n°1, 2 chromosomes n°2 …)
Les mâles sont haploides, ils ont un seul chromosome de chaque (1 chromosome n°1, 1 chromosome n°2 …)
Donc quand la reine pond un œuf de mâle elle donne aléatoirement 1 chromosome de chaque paire100% de ses chromosomes sont issus de 50% de ceux de sa mère
Mr Kemp a déjà a son actif plusieurs systèmes commercialisés qui fonctionnent bien
J’ai assisté à une conférence de Kemp, il y a qq années. C’est une personne qui a une très forte personnalité. Ce jour là, il nous a présenté sa dernières trouvaille, des aimants aux pouvoirs magiques qui redonnaient vitalité et force à nos petites abeilles.
Les pouvoirs des aimants, plus personne aujourd’hui ne s’en souvient.Bonsoir,
je ne sais plus qui a dit :”Dans la recherche, il arrive que de “grandes avenues” s’ouvrent devant vous, mais que certaines se terminent en cul de sac, mais pour le savoir il faut aller au bout.”
A méditer
@+qui pourrait nous réaliser une explication du génome des super sœurs, les lois de Mendel nous aident en principe bien.
je connais les généralités, pas la génétique appliquée à l’abeille.qui pourrait nous réaliser une explication du génome des super sœurs, les lois de Mendel nous aident en principe bien.
je connais les généralités, pas la génétique appliquée à l’abeille.Et gratuitement ?
Mais tu ne ralenti jamais picouty26 !
@+que souhaite tu que je te dise,…….it’s my life!
comprendre, comprendre , comprendre :)ry: !
ça permet de progresser!Les super- soeurs ont 50% du patrimoine génétique issu de 100% du patrimoine de leur père.
La part variable vient de la mère qui ne donne que 50% de ses chromosomes donc pas la même part à tout le monde.
Les super-soeurs les moins ressemblantes n’ont que 50% de leurs chromosomes en commun alors que le maximum est 100%
La moyenne est 75%C’est bien une application des lois de Mendel sauf que Mendel ignorant l’existence de l’ADN raisonnait uniquement sur des caractères observables transmissibles à la descendance. Certaines de ses observations étaient inexplicables notamment parce qu’il y a des allèles dominants, récessifs, codominants ou létaux à l’état homozygote .
La compréhension des phénomènes génétiques généraux qui concernent les super-soeurs ne nécessite pas de rentrer plus dans le détail.
Une chose importante dans la génétique de l’abeille: le mâle est haploide: ses chromosomes sont au nombre de 24
( un chromosome de chaque”paire”). Lors de la gamétogénèse (formation des spermatozoides), il n’y a pas de meiose (division cellulaire propre à la gamétogénèse qui permet de séparer les chromosomes homologues dans 2 cellules filles) donc les gamètes sont tous les mêmes.L’ovule, par contre, est issu d’une gamétogénèse qui comprend une meiose faisant passer le nombre de chromosomes de 48 (diploide) chez la reine à 24 (haploide) pour ses gamètes .
Ces 24 chromosomes (1 par paire) sont répartis aléatoirement . Il y a 2¨puissance 24 possibilités
Ces possibilités doivent être multipliées par les possibilités concernant le sexe opposé.
Dans notre cas particulier, il faut multiplier par 1.Chaque individu est statistiquement unique (1chance sur 2 puissance 24)
Pour prendre un exemple simplfié avec seulement 2 paires de chromosomes en représentant les chromosomes par des lettres,
la reine vierge aA bB se fait féconder par un faux-bourdon @ &
les différentes possibilités sont :
a b, a B, A b et A B pour les ovules ou oeufs non fécondés ou faux-bourdons
les descendants obtenus peuvent être des femelles diploides :
a@ b& , a@ B& , A@ b& ou A@ B& ; on voit bien qu’elles se ressemblent plus ou moins.Naturellement, les super-soeurs existent , mais ce sont des ouvrières le plus souvent.
Plus simplement:
Chez les mammifères, les spermatozoides d’un mâle sont tous différents.
Chez l’abeille, les spermatozoides d’un male sont tous identiques
On comprends donc que deux abeilles ayant le même père ont plus de similitudes que chez les mammifères, c’est pour çà que l’on parle de super soeur.
Mais chez les abeilles, il y a aussi des demi soeurs car la reine est fécondée par plusieurs mâles.
Il peut aussi y avoir des soeurs au sens mammifère du terme si la reine a été fécondée par au moins deux mâles venant de la même reine.Flo
ok pour ton approche avec les lois de Mendel,
selon la démonstration qui est très claire, je ne vois pas en quoi les reines ayant les génotypes a@ b& , a@ B& , A@ b& ou A@ B& se ressemblent.
par contre , si selon ton schéma on met en contact,(puis la fécondation à lieu) deux individus:
une reine Aa Bb qui donne les gamètes AB,Ab,aB,ab
un faux bourdon né à l’issue de la ponte de la reine ci dessus 45 jours plus tôt, ayant donc lui les gamètes AB AB
dans ce cas là on devrait obtenir des individus :
AABB,AAbB,AaBB,AaBb
de ce fait là on obtient bien des individus plus proches, et on obtiendrait bien un individus [color=#008800]]A[/color]a Bb , similaire à la reine de départ, mais toute jeune!
aurais t on rajeunie la reine? non
est ce cela des supères sœurs? peut être, je ne sais pas, tout cela est théorique,… quoi que!
picoutypicouty 26
Selon mon raisonnement, les chromosomes @ et & sont communs à toutes les descendantes de ce couple. c’est minimum 50% de gènes en commune.
Dans ton exemple, les super- soeurs ne se ressemblent pas davantage les unes les autres mais présentent un risque non négligeable de consanguinité et de mâle diploide. C’est aussi une façon de sélectionner des caractères purs en laissant la nature éliminer les individus non viables.
En effet, avec 2 paires de chromosomes, on a une chance sur 4 d’obtenir une fille identique à sa mère, mais ce n’est pas le cas pour un nombre de 24 paires.Sa mère est sa grand-mère et son grand frère devient feu son père.
flo
ok
je voulais simplement comprendre ce que l’on appelait supères sœurs!
dans ton exemple tu croise un individu A avec un individus B très différent; OK ça monte que la dite méthode permettrait de réaliser des accouplements choisis, sans une pile de matériels, a acheter, à stériliser, et tout y kwinty!
dans mon exemple , j’essayais de voir, dans quelle mesure il serait possible de dupliquer un bon individu.
est ce aussi simple , je ne sais pas
il me reste deux questions:
1° qu’est ce qui se cache derrière l’appellation “supères sœurs”?
2° les sélectionneurs travaillent ils en consanguinité +/- étroite?
picoutyBonsoir
Houlala, ça deviens compliqué ces explications sur la reproduction pour quelqu’un comme moi qui suis resté aux fondamentaux, une maman, un papa, et la petite graine qu’on pousse au fond !
@+il me reste deux questions:
1° qu’est ce qui se cache derrière l’appellation “supères sœurs”?
2° les sélectionneurs travaillent ils en consanguinité +/- étroite?
picouty– deux abeilles ayant la même mère et le même père sont des super soeurs
– deux abeilles ayant la même mère et deux pères différents venant de la même reine sont des soeursLes sélectionneurs travaillent toujours en consanguinité, c’est la seule solution pour garder les bons caractères. La consanguinité a mauvaise réputation à juste titre car elle concentre les bons et les mauvais caractères, c’est au sélectionneur de sélectionner justement que les bons caractères et d’éliminer les mauvais. Par exemple, toutes les races de chien ont été “fabriquées” par l’homme sur le principe de la consanguinité: mère, fils par exemple.
En apiculture, on fait par exemple des croisements tante, neveu.
( AB stabilisée du schéma)
** Image non securisée supprimée **Bonjour,
Pas de système de prévu pour fixer les barrettes KEMP une fois les cupules pondues. J’ai pensé un système, mais une fois bien propolisé, ça risque de moins glisser ! Vos avis ?
- Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.