- Ce sujet contient 62 réponses, 22 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
stf, le il y a 8 années.
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Et parfois c’est le contraire un pro qui va chez un collègue pour lui apprendre les bons trucs
Bonjour a tous,
Oui, j’ ai un petit coup de mou…
Je parlais de moi mais je reflechissai aussi sur notre profession/ activité.Du côté expérience, j’ai toujours à apprendre. Je suis cependant ok sur la production d’essaim, le maintient de cheptel……tout ce côté technique ne me pose pas problème.
Par contre un problème se pose pour moi et j’espère que vous ne serez pas atteints, bien que j’en vois les signes par ce forum , c’est les intox pesticides latentes et répétés certaines années.
Beaucoup de nous se plaignent généralement de ces pesticides mais aucun semble personnellement touché. Quand j’en parle, tout de suite on me réponds vaguement et on me renvoie à ma pratique apicole. (forum et apis voisins)
On transforme ainsi un sujet qui semble sensible en un jugement pour éviter le coeur du sujet.
Il semblerai que détecter l’impact des pesticides sur nos ruches soit tabou.
Parler de ce sujet même avec beaucoup d’apiculteur est presque honteux, voire contagieux….Pas très compatissant ni constructif tout cela!
Alors Pourquoi as t on autant de mal a considérer ce problème au cas par cas.
Peur de l’image du miel contenant des résidus de pesticides?
Peur d’ être jugé comme mauvais apiculteur alors qu’on y est pour rien?Dans mon cas cela fait 2 à 3 ans que je subit des intox pesticides répétées latentes et non mortelles sur mes ruches.
Et cela paraît cohérent puisque la france premier consommateur de pesticides en europe en a encore utilisé un peu plus les dernières années.
Du coup cette année, les ruches sont en survie. Eles ont eut des pathologies benines du couvain mais qui s’éternise un peu et surtout peu de production de miel. Peu d’abeilles= pas d’abeilles dans les hausse!
(Encore avec tout cela je ne suis pas au pire. Certains apiculteurs suite a une intox ont la loque ou la perte totale de leurs ruchers.)Voilà mon histoire. Je produit moins de miel presque chaque année et moi qui vit avec mes abeilles, je les voient se faire micro-intoxiquées 3à 6 fois par an et 1 à 2 fois une bonne fois par an.
D’où mon coup de mou et ma réflexion.Ensuite quand je vois que 1 agriculteur sur 2 va gagner moins de 1/3 du smic en 2017, il y a de quoi réfléchir. (a moins d’être maso)
Lorsque les intoxs sont faibles on a du mal a considérer vraiment ce danger pour l’apiculture.
(c’est un peu comme les risques du tabac, pesticides dans la nourriture….)
Mais lorsque l’on est atteint, là la réalité est franche et cruelle!
Fini les changement de reine, production de miel, création d’essaims. tout est stopé net.Voilà. Merci pour les réponses que vous avez apportées. J’y apporte mes réflexions. Chacun en fera la synthèse qui lui conviendra.
Merci encore.
Parlons des intoxs perso plus librement, sans juger..
Votre chouette!personnellement, à part quelques cas isolés, d’apis que je connais très bien, j’ai rarement eu des problèmes d’insecticides, fongicides
depuis qq années ce sont les problèmes météo et rien d’autres qui ont un gros impact sur la abeilles et les miellées, mais aussi les monos cultures, l’apiculteur doit s’adapter
mais d’autres problèmes aussi le manque de connaissance et de performance des apis, les reines ne sont renouvelées assez souvent et ce n’est en vogue comme certains peuvent le penser, mes oncles changeaient 70% des reines tous les ans
l’année dernière on a eu le même foin, les apis perdaient des caisses par valises, en incriminant les insecticides alors que c’était la nosémose ceranae qui en était la cause, j’ai fait faire des analyses je sais de quoi je parle !!! mais comme certains n’y croyaient pas ça tout crevé moi je trouve que les insecticides ont bon dos
alors il ne faut pas toujours jeter la pierre aux agriculteurs ??
tu parles d’intoxications tu as fait faire des analyses qui le démontre , ça m’étonnerai fort !!
En tout cas, il y a un sérieux problème de formation. J’ai vendu mes premiers essaims cette année et à part un pro qui connaissait son sujet, quasi tout les autres ne connaissaient pas grand chose au varroa et encore moins à la nosémose. Dans le lot des amateurs et semi pro avec une bonne 100 aine de ruches, qui incriminaient leurs pertes hivernales aux insecticides. Sauf que quand tu discutes sur les traitements varroa, ceux-ci étaient mal fait, trop tardivement (fin octobre…), voire pas fait… à partir de là…
+2 avec Steph
c’est vrai, je suis étonné du nombre d’amateurs qui ne traitent pas et dans mon département, dixit mon GDSA, au vu des inscriptions qui chutent chaque année et des discussions que j’ai avec ceux qui achètent des essaims.“Spatz” Perso, je traite depuis que j’ai des colonies et j’ai eu très rarement de la mortalité sauf que, je fais différent de ce que propose le GDSA! Je pense d’ailleurs que cette année sera celle de ma dernière cotisation
L’apiculture est passée dans le domaine du business et échappe totalement aux anciens groupements comme les GDSA qui fonctionnent sur un mode décalé face au développent des “ruchers” amateurs qui achètent très cher des colonies pour “faire du miel” chez les vendeurs de matos, comme on achète 1kg de patates, sans aucune base d’apiculture et avoir la moindre notion de prophylaxie sanitaire. Rien que chez moi dans un rayon de 5 km, je peux en citer au moins 6 ou 7 :ohmy: Tout est à revoir dans ces groupements beaucoup trop fermés sur eux même et qui de plus vendent les produits de traitement hors de prix! Ils ont le mérite d’exister mais lors des AG, il est très significatif d’évaluer la moyenne d’âge des adhérents face à la clientèle des vendeurs de matériel apicole: chercher l’erreur! Dommage pour la santé des abeilles et merci aux pro de ce Forum qui sont capables de nous conseiller m^me parfois au téléphone sur le terrain face à des problèmes méconnus (Merci Patrice
)
Ce post a le mérite à travers des réponses d’ISPAT SPATZ BBROUST ET CHOUETTE de dire et d’exprimer la réalité de ce qui se passe dans l’apiculture
Nous savons sur le forum que nos pertes hivernales sont dues principalement à nosema cerenae et que maintenant nous avons une solution ( NOZEVIT) pour la traiter efficacement
Cette pathologie liée à la méconnaissance des apis en matière de prophylaxie devient alarmante et ce n’est pas avec les rengaines des instances apicoles que le problème se règlera
Si les GDSA assistent à une diminution de leurs adhérents c’est qu’il y a une raison
Notre forum a le mérite de dire la vérité tout haut , de ne pas éluder les problèmes, d’apporter les solutions, merci à nos valeureux modos qui ne comptent pas leur temps à répondre à nos questionsOh la les gars, il faut éviter de généraliser.
Je parle de ce que je connais et j’ai aussi des contre exemples de GDSA dynamiques.
Il n’empêche que la population apicole notamment des amateurs est vieillissante, il suffit de se rendre aux AG syndicales départementales pour s’en rendre compte.
Que l’ITSAP, l’institut technique de l’abeille est obligé aujourd’hui de faire des appels au public pour ramasser des fonds, si il veut survivre; on en est là.
Le précédent gouvernement a tenté de mettre en place une interprofession de l’apiculture dont un des piliers techniques devait être l’ITSAP.
Certains syndicats d’apiculteurs ont tout fait pour que le processus de création ne se mette pas en place. Aujourd’hui, je ne sais même plus ou on en est avec le changement de gouvernement.
Je ne parle pas des subventions agricoles qui ont maintenant plusieurs années de retard.Face à tout çà, j’ai encore plus de plaisir à aller sur les ruches
Deja si les produits contre le varroa été vendu par les vendeurs de matériel,et subventionnée car par cher moi avoir dès lanières apivar ou autre un combat commence voir meme se prepare un ans avant :twisted et le marchand vent du tymol et boite à sucre en promo ,bein les températures des 3 dernieres années ete pas bonne
maintenant je le sais jai du stock ,le nozevit aussi ,et perfusion depuis mars ,je suis amateur, j’ai connu les belles années,les mauvaises aussi ,j’avance à grand pas grâce au forum ,merci à tous
je vais 1000% dans le sens d’ispat et seb 31, arrêtons d’attribuer en premier lieu les pollutions pesticides ( là j’en vois un qui m’attend à l’angle du bois, et qui va me sauter dessus à coup d’articles de journaux, même pas peur!
)
je cours après les fleurs en ce moment, mais dans mon secteur, il n’y a quasiment plus rien!essayez de vivre en aout, au quotidien avec un petit verre d’eau, et une feuille de salade, on en reparlera en début septembre!
regardons plutôt les pratiques qui ne sont pas à la hauteur de l’abeille et agissons en conséquence!l’abeille c’est du boulot, et ceux qui y arrivent ne sont pas des fainéants!
PicoutyRebonjour à tous,
ET c’est reparti sur l’incompétence et les pratiques apicoles,……..
un vrai tabou ce sujet! :)ry:
Moi de mon côté en réponse je dirai qu’il y a un manque de connaissances, d’information et de formation sur l’impact, la reconnaissance des symptômes liés aux pesticides en apiculture.
Comment savez vous que vous n’avez pas d’intox latente? Qui vous a montré, formé?L’interprofession une belle connerie on l’a déjà eu on connaît mais comme très peu d’entre vous l’on connu
Pierro, Richard86 eux connaissent
Ben pour payer et faire mettre la clé sous la porte à ceux qui sont installés les 10 dernières années !!!!
De toute façon quand on investi faut toujours compter sans les subventions si elles arrivent temps mieux et je dirais même subventions pièges à c…
Il faut être capable de fonctionner sans les aides comme ça pas de lézards
Moi de mon côté en réponse je dirai qu’il y a un manque de connaissances, d’information et de formation sur l’impact, la reconnaissance des symptômes liés aux pesticides en apiculture.
Comment savez vous que vous n’avez pas d’intox latente? Qui vous a montré, formé?Que la dernière phrase est bonne je vais tenter d’expliquer
Dans mon secteur des Landes Girondines il n’y a pas de cultures et donc pas d’utilisation de pesticides ( que des pins sur des centaines de Km ) par contre la disparition des colonies est identique à celles des zones où sont utilisés les pesticides
Il n’y a pas d’intoxication latente de fait , le problème est ailleurs et j’ai trouvé la cause ce n’était pas les pesticides mais nosema cerenae et là l’infection est latente ( deux à trois ans) persistance du couvain en mosaique
Quand on a subi des pertes de colonies ( 90%) on commence à se poser des questions et que les symptômes observés correspondent à ceux de nosema cerenae
J’ai eu l’aide de l’Ecole véterinaire de Nantes ( conférence) ainsi que les thèses émises par l’INRA sur le sujet et d’un biologiste américain pour le médicament c’est tout,
maintenant mes colonies sont en excellente santé plus de pertes les productions de miel à la hausse , tandis qu’à proximité les ruches de mes collègues sont anéantiesbonsoir à tous,
Je ne vais pas répondre sur pesticide ou autres anéantisseurs de la ruche, mais sur l’industrialisation et la rentabilité.
L’industrialisation agricole est la conséquence de la perte de connaissance du consommateur de ce qu’il mange. Un lavage de cerveau lent mais bien mené à amener les consommateurs à vouloir du lait identique du 1er janvier au 31 dec. Moi, fils, petit fils, et arrière f… de paysan j’ai grandi prét des vaches, bu du lait au pi, je sais que lait change au court des saisons. Il est magique (ou industriel) de voir : du lait “entier” (pour: sans avoir rien enlever ou ajouter) etre toute l’année à 25% de matière grasse, une pomme: 3 variétés sur le marché, Gol..n , Pink L.Y ou G..a, Pour la Peche croquante sous la dent, et des consommateurs heureux de leurs achats qui tiennent longtemps au frigo.
Le risque de l’apiculture de petite taille est de se confronter à ce système. Essayer de faire un revenu en vendant aux grossistes et uniquement à eux, est leurs donner les clés de votre entreprise.
Le moyen de lutter est de chercher vos particularités et instruire vos clients.
Aujourd’hui chefs d’une petite entreprise, je constate que celui qui ne compte pas ses heures ne dure pas. soit on est en loisir et le temps ne compte pas. Soit “time is Money” (c’est ton gagne pain)
tu perds du temps, tu perds de l’argent. En entreprise tout est compté, imaginez, si vous deviez salarier quelqu’un, est-ce que son temps ne compterait pas?Les investissements, Ispat a raison pour les subventions (on ne sais jamais si elles vont arriver) . Je veux ajouter que si le projet n’est viable que par les subventions, il devient sous le couperet de l’arret de celles-ci. Et en politique les subventions vont et viennent.
( si elles sont dispos IL FAUT LES PRENDRE en argent de poches et s’attendre à ce que cela s’arrête).
De plus, pour l’investissement je veux vous raconter ce que m’a dit mon comptable lors du projet d’achat de mon local.
>Il me dit: le mieux est de le payer en 7 ans, 10 ca va , 12 dernier carat, au delà, on achète pas.
>Je n’ai pas compris. Je venais d’acheter ma maison sur 20 ans.
> Il me dis: ce sont des mathématiques comptables. si on achète de l’immobilier de rapport sur plus de 12 ans, on ne gagne pas d’argent. et le but d’un achat pro est de gagner.
>Je lui demande: si on ne peut pas ?
> Il me dit : Si on ne peut pas on fait autrement.
Aujourd’hui je le remercie, j’ai fait différemment, je recalcule toujours mes achats sur la possibilite de retour sur investissements à court moyen et long terme. Je ne suis pas là pour enrichir , coopérative, banques, fournisseurs.
Je rejoins encore Ispat sur la formation, le calcule de rentabilité d’un investissement en fait partie, (ce n’est pas parce que je sais cuisiner que je peux gagner ma vie avec un restaurant.)
Petite remarque sur le milieu agricole en générale, aujourd’hui j’ai cet œil extérieur, l’agriculteur est conseillé par le technico commercial de la coop, ses syndicats, ses banques, son comptable.Ceux là, ne peuvent gagner plus que par l’augmentation de la taille de l’exploitation. Malheureusement les rares conseillers autres que l’agri va aller consulter sont ses amis agriculteurs qui naviguent dans le même bateau. ( HA ! le problème de réseau social et d’influence ne date pas de FACEBOOK).desolé d’avoir été aussi long.
Je lis beaucoup pour découvrir l’etendue de mon ignorance particulièrement en apiculture.
Dernière petite remarque Est-ce qu’il existe des fiches botaniques pratiques pour l’apiculture?
HA!!! Formation Merci Ispat…
Moi les abeilles, c’est loisir.@ 8lj8 jaime bien ton topo,moi aussi j’essaye de remonter mon cheptel dans temp ,en changent de région ,en investissement reines+paquets d’abeilles,bouffe ,sur les trois dernieres années ,avec météo capricieuses ici en plus comme tu dis jai pas non plus compter mon temp journalier,toutes saisons confondues,jai chercher des emplacements de réserves voir même dans dautres départements ( 24,31 que je connais pour avoir comme emplacements de més ruchers précédent ) et deplacer suivant le temp 10 ruches full de zaza quitte à rajouter quelques cadre de couvains,le reste non stimuler à un decalage de un mois avec un bon resultat de couvains,puis cette année pluvieuse et froide pour mon rucher et un petit sirotage a été obligatoire malgré le nombres de cadre pleins de miel ,pour faire pondre ,je dirais que jai 8 ruches prête pour la miellée en cours mais j’ai rajouté un cadre de plus pour faire pondre les reines les corps se remplissent vite ,des hausses étirer sont en attente ou si més reines commander arrive changement de plan,sinon je passe commande pour l’année prochaine,en loisirs aussi et en déficite magret tous j’ai beaucoup apris
Dans mon secteur des Landes Girondines il n’y a pas de cultures et donc pas d’utilisation de pesticides ( que des pins sur des centaines de Km )
, pas de cultures en Landes Girondines ?
Et tu crois que le Pinus Pinaster il pousse depuis la nuit des temps en Aquitaine (regarde un peu l’étymologie du terme, tu vas vite comprendre) ? La forêt landaise est une vaste monoculture, et comme dans toutes les monocultures … il y a des problèmes fongiques, lignivores et autres. Tu crois que les propriétaires forestiers regardent pousser bucoliquement leurs peuplements ? Renseigne toi auprès des pépinières qui fournissent les plans de Pins, demandent leur s’ils connaissent l’Imidaclopride …. tu seras surpris des réactions !Idem pour les têtes abatteuses et tout le toutim, demande leurs comment ils traitent les coupes, les souches, etc
par contre la disparition des colonies est identique à celles des zones où sont utilisés les pesticides
Ah tiens, bizarre !
Merci BIXENTE!
et bien voilà comment on peut parfois par déduction (foret donc pas de traitements donc pas d’intoxication) et supposition remplacer les faits. Merci aussi a jpv33, il fait avancer le sujet.Croyez moi. Les intoxications je les voient. c”est un fait; Varroa, nosema cerana…..ok, mais les intoxs je les voient. Rien ne remplace les faits.
Je commence a croire de plus en plus que ni les vetos ni la plus grande partie des apiculteurs ne sont formés a reconnaître les intoxs.
Les vétos c’est normal pour 2 raisons:
1) conflits d’intérêt prescripteur ovins caprin, bovins……et api. Fipronil, antibio, imidachlopride, ils connaissent bien! Après il y a quelques rare bons vétos, aussi heureusement….
2) Le véto, c’est comme le médecin. Il vous détecte un diabète par exemple. C’est toujours les symptômes qu’il voit, les conséquences. Pour ce qui est de la cause ou des causes. aucune chance de connaître la cause si l’on ne connais pas l’histoire du patient. C’est pareil pour les ruches. Le véto ne verra pas un intox latente mais les conséquences. Il vous dira….varroa, ou maladie noire, couvain sacciforme, couvain platré, couvain tubulaire, loque…..que des conséquences. Elles sont réelles, mais seul un api très près de ces ruches, qui en connaît l’histoire pourra voir la cause intox de ces pathologie. Il les aura vu et constaté.Je vous ressert pas les études scientifiques sur les synergies pathologie-pesticides………..
On devrai plus se former aux symptômes des intoxs. Formez vous.
Dans mon secteur des Landes Girondines il n’y a pas de cultures et donc pas d’utilisation de pesticides ( que des pins sur des centaines de Km )
, pas de cultures en Landes Girondines ?
Et tu crois que le Pinus Pinaster il pousse depuis la nuit des temps en Aquitaine (regarde un peu l’étymologie du terme, tu vas vite comprendre) ? La forêt landaise est une vaste monoculture, et comme dans toutes les monocultures … il y a des problèmes fongiques, lignivores et autres. Tu crois que les propriétaires forestiers regardent pousser bucoliquement leurs peuplements ? Renseigne toi auprès des pépinières qui fournissent les plans de Pins, demandent leur s’ils connaissent l’Imidaclopride …. tu seras surpris des réactions !Idem pour les têtes abatteuses et tout le toutim, demande leurs comment ils traitent les coupes, les souches, etc
par contre la disparition des colonies est identique à celles des zones où sont utilisés les pesticides
Ah tiens, bizarre !
Bonjour Bixente
Je viens de lire ta prose si tu comptes m’impressionner tu te trompes lourdement et je n’apprécie pas tes façons de faire des amalgames
Si dans les pépinières de pin on utilise un néoticonoide (imidaclopride) pour protéger les jeunes pins c’est qu’il y a une raison et pour une fois elle se justifie pleinement à la place d’autres insecticides et ceci pour éviter l’utilisation des pesticides en forêt ultérieurement et la prolifération de l’hylobe
Quand à la fertilisation des sols, des engrais sont mis dans le sol lors de la plantation après c’est fini, un entretien de nettoyage tous les deux où trois ans quand les propriétaires peuvent le faire et c’est tant mieux pour nos abeilles
Tu devrais te renseigner sur le traitement des souches et le toutim auprès de la SMURFIT tu vois je connais et ce n’est pas avec des produits chimiques que ces opérations sont réalisées
Nos abeilles se portent très bien merciPar contre
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