- Ce sujet contient 22 réponses, 12 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par , le il y a 4 années et 6 mois.
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J’étais également plutôt étonné concernant la présence éventuelle de miellat. Les résultats s’expliquent sans doute car il doit toujours en avoir des traces ?
Du pollen de trèfle en majorité, incontestable.
Mais tu penses également que c’est le cas pour le nectar ?
A l’œil, ce n’est pas la majorité des fleurs. Mais peut-être est-ce très attractif pour mes abeilles, qui le préfèrent aux autres fleurs présentes ?
Juste pour savoir, vu qu’il a déjà été mangé en grande partie, une analyse comme celle-là est elle suffisante pour l’appeler miel de trèfle ?
Sur apiservice il y a un post Metcalfa où est cité saint martin de crau comme spot.
https://www.apiservices.biz/fr/component/kunena/4-f-a-q-foire-aux-questions/74396-metcalfa
Oui sans soucis appellation miel de trèfle, comme a dit le chef sur l’analyse.
Miel de nectar pour sûr vu la conductivité, après la déduction par l’analyse pollinique annonce nectar de trèfle majoritaire.
Si tu avais une condition climatique assez chaude et humide, ça ajoute une pierre à l’édifice.
Pour en être encore un peu plus sûr, tu peux faire une analyse des sucres, le miel de trèfle est fort en glucose. Mais bon, je doute de la nécessité, surtout si t’as déjà bouffé la moitié, tu risque d’avoir manger l’autre moitié avant d’avoir reçu le complément…
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