- Ce sujet contient 78 réponses, 19 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
Seb.la.bique, le il y a 8 années et 12 mois.
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Anonymeil y a 9 années et 2 moisRang: ReineMessages: 159220 pts
Faut vraiment trouver des plans et les partager quand c’est possible!
On a eut la grue de Pierrot, moi je suis en train de voir pour des fûts inox sur mesure, défiant toute concurrence niveau prix, fait dans une boîte locale…
Je me rappelle d’un api que j’avais visité en BPREA, le mec avait dessiné les plans de sont extracteur sur mesure, et il en avait eut pour moins cher à faire faire sur mesure que d’aller au magasin apicole!!!!
Pour une qualité supérieure!
Alors à réfléchir!
salut mathieu
y a pas mal de temps que je veut voir ca !! faire faire des futs en inox pour le miel que je stocke pour mon magasin !!mais j ai jamais osé demander le prix connaissant le prix de l inox
pour ce qui concerne la baisse des subventions vous commencez a toucher du bout des doigts le probleme agricole????
grands effets d annonces et peau de chagrin a+Cette histoire de fût inox me plait bien aussi, j’ai reçu cette semaine un mail de mon fournisseur de fut, il propose aussi de l’inoxydable….
Qu’elle prix, qualité ??Le problème des fûts à miel
(Il faudrait peut être créer un nouveau sujet ?)
La norme alimentaire exige désormais des fûts garantis “sans bisphénol”.
Le quid du remplacement des anciens fûts.
– Le fût inox, est sans doute la fausse bonne idée ! (je ne parle pas du coût).
Les conditionneurs exigent et vont exiger de plus en plus des certificats d’alimentarité des fûts. Pour une première utilisation, pas le problème : certification usine. Le problème pour une ré-utilisation. (La DDPP s’y met aussi).
Même si tu travailles correctement avec ton karcher à eau chaude, il faudra une certification par un organisme agréé.
Autre problème lié au lavage : les municipalités (considèrent que c’est un problème industriel), donc elles exigent des aires de lavage avec récupération des eaux et retraitement par entreprises agrées. Ces déchets (en l’occurrence eau + sucre) ne doivent pas entrer dans le système de traitement des stations d’épuration.
La solution : le fût perdu
On repart sur le fût acier, usage unique avec peinture alimentaire sans bisphénol.
Quand, on y regarde de plus près, la main d’œuvre pour le nettoyage, le coût de traitement des déchets, la certification, le stockage, puis la logistique pour la re-distribution chez le producteur,font que la réutilisation revient plus chère que le fût neuf expédié directement de l’usine au producteur.
Bonjour Richard
Oui pour ce qui est du fut acier/alimentaire je suis tous à fait d’accord avec toi.
Le fournisseur de neuf doit pouvoir assurer la traçabilité de fabrication avec certificat [ sans bisphénol ] mais ensuite rien ne ressemble plus à un fut qu’un autre fut.Je n’imagine même pas avoir un cerficat de lavage est provenance de certain conditionneur pour la réutilisation d’emballages.
Je parle des futs bleu que nous utilisons beaucoup, l’année dernière j’ai acheté un camion de neuf sans Bpa ,il sont identique à ceux que j’avais, aucun signe distinctif indiquant que nous somme en présence d’un sans Bpa
L’autre sujet etait le fût inox pour les miels restant sur l’exploitation pour valorisation direct..
Bonjour à tous,
je vous livre mon impression.
Le blé ça peut attendre, le maïs et les betteraves aussi, le miel c’est moins évident, ou alors c’est chambre chaude et le double de hausses bâties à disposition…..pourquoi pas mais tout ça a un coût.
Le blé peut attendre mais pas la phacélie, pendant trois ans j’en ai fait 1,5ha et 1.5 de moutarde, la première année la moissonneuse est arrivée pile poil au bon moment, la deuxième une semaine en retard, tout était par terre…. la troisième idem et j’ai arrêté….Perso j’ai partagé une miellerie avec un copain les 4 premières années, pas de soucis, à taille égale c’est jouable…. ça peut même être très sympa, pour démarrer je trouve ça bien, ensuite lui il est passé à 400 ruches et s’est installé tout seul, moi ce n’était pas ma seule activité agricole je n’ai jamais dépassé 200.
Fabriquer du matos demande des compétences, y compris pour le dessiner, on arrive jamais du premier coup à un bon résultat final, il faut passer par un ou deux prototypes et s’efforcer d’utiliser au maximum du matériel “standard” pour assurer une maintenance aisée.
J’ai fabriqué tout mon matériel, y compris une petite combinée pour l’extraction, avec une pompe qui remonte le miel direct dans les fûts, un “truc” à mon échelle, mais c’est un deuxième métier, c’est beaucoup de temps aussi, je l’ai fait par mesure d’économie tout autant que pour me faire plaisir….
Bien évidement une fois mon engin au point j’ai essayé d’en évaluer le coût pour le faire fabriquer et ça chiffre très vite….il y a vite 1000 à 1500 € d’inox (prix pro) + le temps de travail d’un ouvrier spécialisé + soudures + moteurs et boitier de commande/programmation.
Pour être compétitif par rapport à ce qui existe sur le marché il faudrait une commande groupée et un modèle qui puisse convenir à tout le monde, pourquoi pas en autoconstruction, mais tout le monde ne maîtrise pas la soudure à l’arc ….
Si certains sont interessé je veux bien apporter ma contribution, ce que j’ai fait d’autres peuvent le faire….. attention, mon modèle est fonctionnel jusqu’à 200 ruches et 500/600 Kg/jour max, au delà ce n’est plus la même histoire…..Bonjour à tous,
je vous livre mon impression.
Le blé ça peut attendre, le maïs et les betteraves aussi, le miel c’est moins évident, ou alors c’est chambre chaude et le double de hausses bâties à disposition…..pourquoi pas mais tout ça a un coût.
Le blé peut attendre mais pas la phacélie, pendant trois ans j’en ai fait 1,5ha et 1.5 de moutarde, la première année la moissonneuse est arrivée pile poil au bon moment, la deuxième une semaine en retard, tout était par terre…. la troisième idem et j’ai arrêté….Perso j’ai partagé une miellerie avec un copain les 4 premières années, pas de soucis, à taille égale c’est jouable…. ça peut même être très sympa, pour démarrer je trouve ça bien, ensuite lui il est passé à 400 ruches et s’est installé tout seul, moi ce n’était pas ma seule activité agricole je n’ai jamais dépassé 200.
Fabriquer du matos demande des compétences, y compris pour le dessiner, on arrive jamais du premier coup à un bon résultat final, il faut passer par un ou deux prototypes et s’efforcer d’utiliser au maximum du matériel “standard” pour assurer une maintenance aisée.
J’ai fabriqué tout mon matériel, y compris une petite combinée pour l’extraction, avec une pompe qui remonte le miel direct dans les fûts, un “truc” à mon échelle, mais c’est un deuxième métier, c’est beaucoup de temps aussi, je l’ai fait par mesure d’économie tout autant que pour me faire plaisir….
Bien évidement une fois mon engin au point j’ai essayé d’en évaluer le coût pour le faire fabriquer et ça chiffre très vite….il y a vite 1000 à 1500 € d’inox (prix pro) + le temps de travail d’un ouvrier spécialisé + soudures + moteurs et boitier de commande/programmation.
Pour être compétitif par rapport à ce qui existe sur le marché il faudrait une commande groupée et un modèle qui puisse convenir à tout le monde, pourquoi pas en autoconstruction, mais tout le monde ne maîtrise pas la soudure à l’arc ….
Si certains sont interessé je veux bien apporter ma contribution, ce que j’ai fait d’autres peuvent le faire….. attention, mon modèle est fonctionnel jusqu’à 200 ruches et 500/600 Kg/jour max, au delà ce n’est plus la même histoire…..c’est exactement ce que je dis…
ca se fait aux usa.
une espece de coopérative de la connaissance; des connaissances.
Dans l’économie de la connaissance,contrairement à l’économie plate, 1+1 = infini…
oui l infini. car quand on montre a quelqu’un comment faire ..on obtient deux personnes qui peuvent faire…on a augmenté la capacité et cette personne va vous apporter des idees des methodes…
dans l activité Economique plate, l individu a 1 euro en poche. il achete à l individu B un truc. il perd son euro.l autre l a gagne..jusqu’a ce qu il le perde a son tour.
dans l’économie de la connaissance, les deux restent avec leurs connaissances de base, et s’enrichissent d ‘une partie des connaissances de l autre. imaginez ce que nous pourrions faire si on voulait, grâce à ce formidable outil qu’est internet?méditez cela…vous comprendrez l ‘intérêt de se mutualiser les idées de partager ses connaissances et ses compétences.
Chacun a des compétences, des facilités des possibilités.
a plusieurs on peut faire beaucoup.
chaque goutte d’eau dans un projet peu faire un torrent.
linux; arduino; sont des projets libres , projets planétaire né de cette idée.
c’est un truc énorme, gratuit, qui fait la nique à tous les systêmes commerciaux, et qui est plus fiable, que ces systêmes que l on nous vends.
créons ensemble, ce nouveau monde apicole; cela est possible.
je ne crois pas aux mutualisations de matériels; chacun doit avoir son matos. mais je crois aux mutualisations des compétences, des énergies, des intelligences.
Les apiculteurs sont des gens pragmatiques, intelligents comme nos agriculteurs, et peuvent inventer ; mettre au point plein de choses.
il existe des fonds, oseo et autre pour se faire épauler par une bureau d etude; mais il faut avoir la volonté de commencer…
Bonjour Richard
Oui pour ce qui est du fut acier/alimentaire je suis tous à fait d’accord avec toi.
Le fournisseur de neuf doit pouvoir assurer la traçabilité de fabrication avec certificat [ sans bisphénol ] mais ensuite rien ne ressemble plus à un fut qu’un autre fut.Je n’imagine même pas avoir un cerficat de lavage est provenance de certain conditionneur pour la réutilisation d’emballages.
Je parle des futs bleu que nous utilisons beaucoup, l’année dernière j’ai acheté un camion de neuf sans Bpa ,il sont identique à ceux que j’avais, aucun signe distinctif indiquant que nous somme en présence d’un sans Bpa
L’autre sujet etait le fût inox pour les miels restant sur l’exploitation pour valorisation direct..
pourl exploitation, et ce qui est transformé ; vendu sur l exploitation le fut inox me semble parfait.
je vais prendre un autre exemple : l’huile d’olive
j’exploite 500 arbres
crois tu que j’ai mon moulin, même le petit à 15 K€ de chez Neviere ?ben non. Personne …
on porte les olives au moulin sur rendez vous
et ne me dites pas que les olives peuvent attendre. Une olive qui attends c’est comme un miel qui reste en hausse dans la miellerie? 2 jours ça va plus … tu fais de la merdeDonc OUI, on peut parfaitement imaginer une “coopérative apicole” qui dispose d’une grosse chaine et qui extrait à façon”
je reprends maintenant ton argument sur Arduino. Arduino permet juste un assemblage d’éléments électronique et électriques et une programmation de ces éléments
mais sans compétence informatique ET électronique, tu ne vs nulle part
et la communauté, si elle est présente et massive ne peut RIEN POUR TOI !!!j’en veux pour exemple les balances : je me suis penché sur le sujet l’an dernier. J’ai acheté des capteurs, des composants
j’ai pas mal avancé, discuté sur les forums y compris aux USA (puisque tu aimes bien quand ce n’est pas français …)pour tous remetrre dans le carton. Porquoi ?
– 1 par manque de temps : il m’aurais fallu 1 an au minimum pour mettre au point quelque chose
– 2 face à un GROS problème : celui de la fiabilité de l’alimentation électrique, clé de voute de ce genre de projet
– 3 : du fait de la baisse du prix des balances du marché, un projet, même collaboratif (tu y passe tout de même du temps et il est précieux) n’est pas rentable. Il y a déjà trop d’acteurs sur le marchéNotre Amis Gallus d’un autre forum bosse dessus de puis 3 ans. Tu as vu sortir quelque chose ? non.
je vais prendre un autre exemple : l’huile d’olive
j’exploite 500 arbres
crois tu que j’ai mon moulin, même le petit à 15 K€ de chez Neviere ?ben non. Personne …
on porte les olives au moulin sur rendez vous
et ne me dites pas que les olives peuvent attendre. Une olive qui attends c’est comme un miel qui reste en hausse dans la miellerie? 2 jours ça va plus … tu fais de la merdeDonc OUI, on peut parfaitement imaginer une “coopérative apicole” qui dispose d’une grosse chaine et qui extrait à façon”
je reprends maintenant ton argument sur Arduino. Arduino permet juste un assemblage d’éléments électronique et électriques et une programmation de ces éléments
mais sans compétence informatique ET électronique, tu ne vs nulle part
et la communauté, si elle est présente et massive ne peut RIEN POUR TOI !!!j’en veux pour exemple les balances : je me suis penché sur le sujet l’an dernier. J’ai acheté des capteurs, des composants
j’ai pas mal avancé, discuté sur les forums y compris aux USA (puisque tu aimes bien quand ce n’est pas français …)pour tous remetrre dans le carton. Porquoi ?
– 1 par manque de temps : il m’aurais fallu 1 an au minimum pour mettre au point quelque chose
– 2 face à un GROS problème : celui de la fiabilité de l’alimentation électrique, clé de voute de ce genre de projet
– 3 : du fait de la baisse du prix des balances du marché, un projet, même collaboratif (tu y passe tout de même du temps et il est précieux) n’est pas rentable. Il y a déjà trop d’acteurs sur le marchéNotre Amis Gallus d’un autre forum bosse dessus de puis 3 ans. Tu as vu sortir quelque chose ? non.
ben moi JS j ‘aurai un truc a proposer pour les ruches. avec pesee, prises de temperature, controle d une resistance chauffante…ca marche depuis 2 ans et j ai tout sur mon smartphone. je remonte les infos temps reel.
j ai meme. develloppe un toit solaire, je crois tu l avais vu sur un autre forum.
j ai pas dis que j aio fait ca tout seul; mais la chance d etre un peu ingenieur en informatique et pas anchot en lectronique m ont aidé.
maintenant je bloque sur la geolocalisation a coût pas cher.mais j ai une piste.
mon idee sera non pas de vendre le systeme..
mais de le louer…contrairement a d autre j ai rien dit, parce que vois tu j attendais un peu de recul et de fiabilisation.
Pour ta mutualisation de matériel; ok dans une region ou d autres font comme toi…je me vois mal faire 100 km pour extraire …
une coopérative apicole dans ta région a du sens. pas ici..
moi ici ..je vais ou? pas d autres apis pros ou alors loin et sans poser question, sur que ce sera pas possible…donc on ne peu pas comparer.
c est pas que j aime quand c’est pas français..mais quand je vois comment on se bouge ailleurs par rapport à en France oui je préfère la dynamique des pays qui se bougent et se la ramènent pas en permanence.
il suffit de comparer la courbe de production de miel des pays producteurs en € de l ouest et en pays de l est pour voir qu une decline et que LES autres montent.
Partout en € le chomage descend..l economie s ameliore mais ici ..on continue a plonger.
etrange? non , on a des tocards en poly tique ; qui sont y des incapables depuis plusieurs décennies tous partis confondus.Des menteurs, qui se foutent de nous.
Est bien Flexo,
Termine donc ton installation de cette manière cela va faire remonter le tonnage de production…..Bonsoir à tous
Une autre impression…… nous n’avons pas tous le même environnement donc pas tous les mêmes solution.
Pour reprendre l’exemple du moulin à huile…. désolé js ce n’est pas pour te contredire c’est juste pour illustrer ma phrase précédente.Chez moi dans le Vaucluse il n’y a que les moulins privés qui arrivent à vendre correctement l’huile, à la coop c’est 10/12€ le litre, sur les marché c’est 13/15€ mais ça fait cher pour de l’huile ordinaire et il s’en vend peu. Du reste à ce prix là c’est une activité non rentable, c’est trop de main d’œuvre.
L’achat d’un moulin devient donc rentable à partir de 2000/3000 Kg par saison, même à 12 000€….
Je ne parlerai pas en nombre d’arbres car la production dépend de leur âge et du soin qu’on leur apporte, de l’endroit ou il se situent, on peut donc y arriver avec moins de 100 arbres comme avec 1000….
chez moi les deux coexistent, des arbres centenaires et surtout de très jeunes plantations.
Tu as raison de dire qu’il faut aller vite pour faire de la bonne huile, chez nous les olives sont récoltées la journées et triturées le soir, ça si on a pas un moulin et qu’en plus on est en BIO c’est impossible à organiser avec un moulinier, en plus on arrive à le faire aussi bien pour 50 Kg (journée gâchée par la pluie) que 300 Kg (petite journée de 5/6heures à deux)
Au final on ne paie plus la trituration (0.50€/kg en BIO) et en étant répertorié “moulin à huile” on arrive à vendre le litre comme du petit pain à 17 €/litre à la maison sans faire un seul marché…. j’ai même un collègue qui a rentabilisé sa machine dès la première année en triturant pour les autres (il l’a fait juste la première année)Voilà c’était juste pour illustrer la diversité de nos situations.
mlfc, moi le tonnage je m’en fou, ce qui m’intéresse c’est de vendre au meilleur prix la quantité qui me permet de bien faire tourner mon exploitation. En agriculture on a aussi le choix entre les céréales (si on a les surfaces) en se contentant des aides de la PAC, et des cultures spécialisées (si on a les conditions de culture et l’envie de bosser) entre 50 000 et 150 000€ l’hectare.
Joel
je vais prendre un autre exemple : l’huile d’olive
j’exploite 500 arbres
crois tu que j’ai mon moulin, même le petit à 15 K€ de chez Neviere ?ben non. Personne …
on porte les olives au moulin sur rendez vous
et ne me dites pas que les olives peuvent attendre. Une olive qui attends c’est comme un miel qui reste en hausse dans la miellerie? 2 jours ça va plus … tu fais de la merdeDonc OUI, on peut parfaitement imaginer une “coopérative apicole” qui dispose d’une grosse chaine et qui extrait à façon”
je reprends maintenant ton argument sur Arduino. Arduino permet juste un assemblage d’éléments électronique et électriques et une programmation de ces éléments
mais sans compétence informatique ET électronique, tu ne vs nulle part
et la communauté, si elle est présente et massive ne peut RIEN POUR TOI !!!j’en veux pour exemple les balances : je me suis penché sur le sujet l’an dernier. J’ai acheté des capteurs, des composants
j’ai pas mal avancé, discuté sur les forums y compris aux USA (puisque tu aimes bien quand ce n’est pas français …)pour tous remetrre dans le carton. Porquoi ?
– 1 par manque de temps : il m’aurais fallu 1 an au minimum pour mettre au point quelque chose
– 2 face à un GROS problème : celui de la fiabilité de l’alimentation électrique, clé de voute de ce genre de projet
– 3 : du fait de la baisse du prix des balances du marché, un projet, même collaboratif (tu y passe tout de même du temps et il est précieux) n’est pas rentable. Il y a déjà trop d’acteurs sur le marchéNotre Amis Gallus d’un autre forum bosse dessus de puis 3 ans. Tu as vu sortir quelque chose ? non.
Ça m arrangerait une coopérative apicole qui fait de l extraction à façon. Car je trouve qu investir dans du matériel d extraction qui coûte une blinde et qui sert quelque jours dans l année c est pas le meilleur placement.
Je vais revenir à la question initiale : La baisse des aides.
Tout simplement, il y a une enveloppe pour l’apiculture et depuis quelque temps, il y a pas mal de “parasites” qui viennent avec des initiatives plus ou moins farfelues et des formations bidons, et c’est autant de sous en moins pour les producteurs.
J’entends les apiculteurs (même sur ce forum) dire haut et fort qu’il ne faudrait pas d’aide, etc…
“Les parasites” se posent moins de questions !
Je vais revenir à la question initiale : La baisse des aides.
Tout simplement, il y a une enveloppe pour l’apiculture et depuis quelque temps, il y a pas mal de “parasites” qui viennent avec des initiatives plus ou moins farfelues et des formations bidons, et c’est autant de sous en moins pour les producteurs.
J’entends les apiculteurs (même sur ce forum) dire haut et fort qu’il ne faudrait pas d’aide, etc…
“Les parasites” se posent moins de questions !
Richard
Je te donne entièrement raison, oui les parasites avec des idées farfelue y compris l’ensembles de formations qui non aucun sens.
Ensuite tu as l’aide à la reconstitution qui n’est plus une aide mais un accompagnement d’achat systématique sans aucun contrôle avec des dossiers qui sont simplement à signature en commissions…..
ADA France dans la contribution demandé par France Agrimer en fin d’année derniere a fait des propositions justement non systématique pour le plan triennal qui est en élaboration.
Avec un retour d’aide direct sur projet uniquement pour les professionnels
Mais je doute de la prise au sérieux des différentes contribution que j’ai pu parcourir avant la visite du président d’ADA France !!!!Bonjour à tous,
ok avec vous Richard et mlfc, des formations bidons il y en a partout, des projets farfelus aussi… on aurait même tendance à ne voir plus que ça partout!! mais attention de ne pas juger trop vite et de ne pas tout mettre dans le même panier, c’est le risque, il y a des démarches ou des projets qui nous semblent ridicules aujourd’hui, mais qui demain porteront leurs fruits.
Notre manque de dynamisme en France c’est ça aussi, le verrouillage par les syndicats, les interprofessions, le corporatisme … on voudrait moins “d’administratif”…. mais on en demande toujours plus… et dans les faits on en a toujours plus !!!
Les aides ne sont elles pas le “moteur” de toutes les dérives que nous observons ? il y a aujourd’hui des agriculteurs qui sortent du système, trop de contraintes, trop de temps à remplir des dossiers….trop de risque ensuite de ne pas etre “dans les clous” et de se faire taper sur les doigts.Je sorts un peu du sujet et je m’en excuse, mais l’idée que le bio ne pourra jamais nourrir la planète cours toujours, ne parlons pas de l’agroforesterie… il y a 20 ans ok, c’était évident, aujourd’hui je ne suis pas certain… c’est oublier que pendant que la recherche piétine ou ne s’interesse pas au sujet, une partie de l’agriculture avance…dans le silence le plus total….
Sur ma commune il y a eu comme partout quelques “farfelus” pour s’installer en bio dans les années 70, parmi ceux ci il y en a deux qui ont particulièrement bien réussi et qui fournissent aujourd’hui grossistes et centrales d’achat, avec 10/15 hectares en maraichage( ce qui est énorme) ils produisent 4 fois plus que ce que produisait mon père en conventionnel dans les années 80.
Un arboriculteur y est passé il y a une vingtaine d’années, aujourd’hui il a une centrale de conditionnement il travaille surtout à l’export et collecte quelques “petits” autour de lui, sa production… plusieurs millier de tonnes de pommes….
un collègue s’installe récemment en agroforesterie (fruits légumes), en fin de saison 80 000€ de CA/hectare….
Ca porte à réfléchir…..complètement d’accord avec toi Jcg84 !
dans ma région il y a beaucoup de bio (je croit bien qu’on détient le record de France du % d’exploitation bio par département) et certains marchent très bien. j’ai des potes arbo et maraichers qui fournissent de gros biocoop à l’année et se sorte un vrai salaire en limitant les intrants au max (même pas de bouillie bordelaise !)
certains travaillent encore à l’ancienne sur faysses (en terrasse). j’ai aussi un voisin qui se lance dans les olives avec une centaine d’arbres qui commencent à donner, des variétés anciennes locales bien rustiques.
les marchés de producteurs locaux se multiplient et le bio y a toute sa place; sans parler des amap, des nouvelles boutiques bio qui se sont ouvertes et qui tournent à fond.
et c’est vrai qu’on en parle pas beaucoup, pourtant il y a ici une vraie dynamique du bio et des circuits courts avec de nombreux projets.Bien sur Vincent, le direct c’est le top…. mais ça prend du temps et c’est forcement limité à du “local”…
Ce que je trouve particulièrement interessant c’est qu’il y a maintenant des gens qui sont capables de travailler avec des intermédiaires et à l’expédition, ça montre qu’il est possible de faire de la quantité, d’ouvrir le marché, et de ne se consacrer qu’a la production.
Il y a bien sur les avancés techniques, le collègue a tous ses vergers sous filet anti-insecte, il place ça après la pollinisation, et ensuite pas le moindre traitement…..bonjouir
de toute facon on a pas le choix dans notre pays ou le cout de production est nettement superieur aux autres pays!!
la seule voie pour moi c est faire la qualité et se la vendre si vous donnez ce secteur a nos négociens ca va finir en peau de chagrin !!!
soit ce sont des AOC reconnues et la c est recherché et payé correctement comme l AOC corse !! sinon faut vendre soit meme !!
l agriculture a pris enormement de retard dans ce domaine et y en a un paquet qui vont disparaitre !!
un exemple :
marasme du cochon !!! j ai un gros eleveurs par chez moi qui a vu le coup venir !!passage de l industriel au porc fermier et transformations en cochon cuisiné , vente sur les marchés!! une queue de 20 personnes toute la matinée devant sont stand!!
la crise connais pas ?????
dans un departement les paysans se groupent!!! investissent 8 millions d euro !! monte une grande surface de transformation et vente !!
survient un gros probleme??????
manque de productions !! trop de clients!!!!
ils cherchent des producteurs de qualité et oui on peut pas faire qualité et quantité !! pendant le reportage les journalistes pose des questions aux producteurs et aux cients, tous sont satisfait , les clients ravies, les commentaires :
pas plus cher que dans les grandes surfaces et surtout du gout dans la bouche !!!
l avenir de l agriculture il est la !!!
il y aura et il en faut des gros cerealiers mais tout le reste ?????,
je pense serieusement, et vous allez me traiter de fou, que notre profession prene en main le négoce comme le font les 4 ou 5 pro que l on a dans ce pays !!!
vous voyez pas ce qu ils font??? vous pensez que ca va continuer !!!! vous allez encore augmenter votre cheptel embaucher des salariées investir dans du matos pour toujours augmenter la production pour essayer de remonter la tresorerie?.
la profession part vers l abattoir !!.
la grande distribution exagere beaucoup trop dans les achats a faible prix et la revente trop elevé pour le consommateur!! la ficelle va cassé !!
c est peut etre le moment de prendre les ciseaux !!!a+
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