[Alex41000]

Les gens partent du principe que ce qui est vendu dans les magasins est autorisé donc sain. Ce sont nos dirigeants qui doivent intervenir sans ambiguité et fermement pour protéger la santé des personnes.

Je suis tout à fait d’accord avec toi Nouna, sauf que les dirigeants ne bougerons pas vu le poids des lobbies donc c’est à nous de faire quelque chose…
D’ailleurs je pense que c’est la cas pour tous, il n’y à plus grand chose à attendre de nos dirigeants donc à nous de prendre le pouvoir…la démocratie en fait

Ouais partout dans le monde faut foutre les banques en l’air et vivre de troc et partage de compétence!!adieu stress, boulot de merde, soucis d’argent etc etc le rêve!!

[Foué]

Émission consternante.
J’ai bien aimé les analyses sur prélèvements capillaires sur les enfants.
Les résultats sont ceux du tabagisme passif, entre autres.
L’incidence sur le développement de l’autisme est bouleversant. On n’en mesure pas encore les conséquences qui seront dramatiques pour les générations à venir.

[bat27]

Les gens partent du principe que ce qui est vendu dans les magasins est autorisé donc sain. Ce sont nos dirigeants qui doivent intervenir sans ambiguité et fermement pour protéger la santé des personnes.

Je suis tout à fait d’accord avec toi Nouna, sauf que les dirigeants ne bougerons pas vu le poids des lobbies donc c’est à nous de faire quelque chose…
D’ailleurs je pense que c’est la cas pour tous, il n’y à plus grand chose à attendre de nos dirigeants donc à nous de prendre le pouvoir…la démocratie en fait

Ouais partout dans le monde faut foutre les banques en l’air et vivre de troc et partage de compétence!!adieu stress, boulot de merde, soucis d’argent etc etc le rêve!!

Je pense que tu n’as pas saisi le sens de ce que j’ai écrit.
J’ai dis que c’était à nous de décider pour nous. On se plaint beaucoup mais on veux toujours que les politiques décident à notre place, pourtant c’est bien nous qui mettons la bouffe dans le caddie…ou dans un autre endroit…
Rien à voir avec une mise à sac des banques ou revenir à l’air du troc ou l’age de pierre

[N142CA]

Eux c est sûr, avec leurs gros salaires à rien faire à vie ,ils mangent des produits saints.

[vincent]

si si Alex à raison, faut foutre en l’air les banques !
elles rackettent les états, les gens ,les entreprises en faisant payer des intérets alors qu’ils fabriquent de toutes pièces l’argent qu’ils prètent.
autrement dit : ils créditent les comptes en tapant sur un clavier et pour les remercier les bénéficiaires des prèts doivent trimer pour payer des intérets avec du vrai argent gagné à la sueur de leur front.
même chose en plus grand avec la dette publique et l’impot sur les revenus qui sert à payer les intérets de cette p….. de dette
c’est ça qui fout l’économie en l’air et qui leur donne tous les pouvoirs au point de nous priver de démocratie
et ce sont eux qui possèdent et/ou financent les entreprises qui nous pourrissent…

[grismov]

Bonjour!
Voilà ce que j’ai reçu..!
Ca vaut ce que ça vaut, mais c’est déjà ça..!
Il y a encore 2 pages d’argumentaires, je vous en fait grâce, mais si ça interesse quelqu’un, suffit de demander
..!

Bonjour,

Veuillez trouver ci-joint un communiqué de presse conjoint de la FNAB et Greenpeace suite à la diffusion de l’émission de Cash investigation de mardi soir sur France 2, concernant l’usage des pesticides dans le monde et en France.

Bien cordialement

Le bureau de l’ARDAB

SCANDALE DES PESTICIDES : LES AGRICULTEURS QUI VEULENT RENONCER À LEUR USAGE DOIVENT ÊTRE SOUTENUS !

Mercredi 3 février 2016 – Hier soir, France 2 a diffusé une enquête édifiante du magazine Cash Investigation montrant à nouveau les effets désastreux des pesticides sur la santé publique, particulièrement celle des enfants : augmentation des cancers infantiles, anomalies de naissance, troubles hormonaux, autisme…

La France est le 1er pays utilisateur de pesticides en Europe.
Or, dans un contexte de crise agricole, un nombre croissant d’exploitants souhaite abandonner l’usage des pesticides et des engrais chimiques pour passer notamment à l’agriculture biologique, qui leur offre des perspectives économiques.
Mais les aides aux changements de pratiques, et en particulier à la conversion à l’agriculture biologique, sont aujourd’hui insuffisantes pour accompagner tous ceux qui veulent franchir le pas. Les sommes allouées sur la période 2015-2020 pour la conversion par l’Etat et les Régions seront dès cette année insuffisantes. Ainsi certaines enveloppes vont être consommées en 2 ans alors qu’elles étaient prévues pour 5 ans. Par ailleurs, les aides dites de « maintien », qui rémunèrent le service environnemental rendu par les agriculteurs bio pour la dépollution des sols, de l’air et de l’eau, sont dans certains cas menacées de suppression !
La Fédération Nationale de l’Agriculture Biologique (FNA8-) et Greenpeace appellent les pouvoirs publics à soutenir prioritairement les solutions alternatives aux pesticides de synthèse et les productrices et les producteurs toujours plus nombreux qui veulent passer à l’agriculture bio. Ils doivent accompagner et amplifier cette dynamique positive pour l’agriculture, la santé publique, l’environnement, qui répond à une très forte attente des citoyens et des consommateurs, sur un marché du bio en croissance de 10% par an.

La FNAB, soutenue par Greenpeace, demande au plus vite une réunion avec le Ministre de l’agriculture et l’ensemble des nouveaux vice-présidents des régions en charge de l’agriculture pour garantir le soutien financier aux très nombreux agriculteurs qui souhaitent se convertir à la bio. Des moyens doivent également être mis en oeuvre pour garantir l’accompagnement technique de ces producteurs et pour favoriser le développement de solutions alternatives aux pesticides de synthèse, avec un plan Ecophyto 2 enfin efficace.

Greenpeace demande de son côté à E. Leclerc et aux autres enseignes de la grande distribution française d’éliminer en priorité les pesticides les plus dangereux dans la production de notre alimentation. Ces acteurs doivent aussi soutenir les agriculteurs qui s’engagent à produire sans pesticides et être transparents vis-à-vis des consommateurs sur ces engagements.