apiculteur pollueur…..

“L’abeille partenaire de la Biodiversité” serait un mythe?

On trouve des articles intéressants à ce sujet mais ça me mets mal à l aise de m’étendre là dessus!
Tu es courageux happy culteur d évoquer ces questions.

perso je pense surtout que l’apiculteur est un peu schizophrène

d’un coter il peste sur les agris et autre utilisateurs de pesticides et de l’autre il pend comme ci de rien n’était des bandelettes anti-varroas produite par BAY** ???!!!! maintenant cadres, ruches, ect issu de l’industrie pétrochimique ??
schizo a tendance bi-polaire j’vous dis !!!!!

bye

Bonjour
Moi je pourrais dire que je ne fais presque rien de ce qui est marqué dans le post initial, donc je ne suis pas sensé être concerné et je pourrai me considérer comme parfait et crier contre les autres; sauf que je ne vis pas de ça, récolte de 400 kg de miel ou de 19, ça ne me change rien.
En ce qui concerne la transhumance, elle existe depuis la plus haute antiquité sans que, semble t’il celà ait posé des problèmes écologiques quelconques. Charles Dadant cite des transports de 400 ruches ( art 563 ) vers 1900.
Les transports de reine ont toujours existé eux aussi ( art 564 ). les prétendues races locales sont de toute façon issues de croisements .
J’utilise quand même apivar fabriqué peut être par la firme citée plus haut, bien content de l’avoir car mes ruches avaient été anéanties par le varroa.
En ce qui me concerne, je ne changerai rien à ma manière de faire et de vivre et je n’ai aucun remord de rouler en voiture pour porter les quelques pots que je vends . Je vais même acheter une bascule homologuée qui va manger de l’énergie des centrales nucléaires pour fonctionner . Je tourne quand même l’extracteur à la main, du moins pour le moment !! Donc pas d’autocritique pour moi

Les pros me paraissent plutôt pro bois que pro plastique.
Pour l essence je pense qu ils surveillent leur consommation et veillent à rentabiliser les trajets.
Pour le varroa c est délicat. Il me semble que le traitement est bien confiné dans la ruche. Mais la revente des cires et leur futur utilisation pour le rouge à lèvre de madame est un problème, voir un cas de conscience.

perso toute mes ruches sont en bois et je ne veut rien d’autre

je ne transhumerais surement jamais

j’essaye de planter des fleurs autour de mes ruchers et j’ai interdit à l’agri qui fane le près ou j’ai mis les ruches de foutre de l’engrais (le près appartient à mon oncle )

j’ai planté cette année une vingtaine d’arbre fruitier divers et + de 50 accacia

et je ne met pas de lanière !!!!!! je m’y refuse totalement … j’ai mis du beevital cette année et l’année dernière des huiles essentiel suivant la méthode de labeste

maintenant j’ai pas assez d’expérience ni de recul pour dire si j’ai raison ou pas
mais pour l’instant je le vois comme sa et pas autrement

pour moi si bayer et monsanto n’existez pas le monde ne s’en porterais que mieux malgré que l’on veuille nous faire croire le contraire

pas mieux Happy c’est vrai que l’apiculture se drap comme un berger de la

nature mais des que tu grattes un peu …

on se retrouve avec la meme problematique que l’agriculture.

Cette année je vais installer des nids à bourdons dans mon jardin et chez mes parents.
c’est facile https://www.youtube.com/watch?v=tIrwASa1Sd0
et eux aussi ont besoin d’aide (les reines vont souffrir de ces températures douces??)!

DID15, ton pré va dépérir si l herbe est prélevée sans compensation.
Peut être peux tu voir avec l agri pour du fumier. Ou faire pâturer les bêtes ,assurant directement l apport.

bonjour à tous,
Bon sujet d’hiver,
Quelques remarques: la transhumance n’est pas à mon sens problématique dans la mesure ou l’on débarque sur une manne, une floraison ponctuelle pendant laquelle tous les pollinisateurs se saturent..et je ne crois pas à une concurrence dans ce cas précis. Une concurrence trop importante se traduisant immédiatement par une chute de rendement. La problématique n’est pas donc pendant la transhumance elle même mais plutôt avant, après, sur les ruchers d’hivernage…la nous faisons des dégats c’est probable. A partir de cartographie de flore on doit pouvoir arriver à des densités de ruche/km² compatibles avec la faune avoisinante, resterait à nous entendre entre nous…
Sur le plastique et autres pratiques, il faudra à mon sens penser assez vite à des sigles de qualité/cahiers des charges. Certes, on va me dire encore des contraintes, je vais répondre oui, mais autant que ce soit nous qui nous les imposions, et pas nos acheteurs comme dans les autres filières