Pourquoi tant de ruches!!!

Ben….pareil, après cette année!

Ayant récolté plus de 200 kg de miel, j’ai été obligé de me lancer dans la vente, ne voyant pas trop comment faire pour vendre tout ce stock. Et en deux mois, par le bouche à oreille, j’ai tout vendu. Et maintenant, tout le monde m’en redemande…

Ça donne envie de monter légèrement en production.

Mais, bon, l’année fut favorable!

Sinon, même historique que toi, David, avec quelques galères, j’ai beaucoup appris de mes moultes erreurs.

bonjour
bigre
tu me fais penser a un tour de c.n que j ai fait il y a longtemps a une copine qui ma cassé les pieds jusqu a ce que j aille bouffer chez elles!!!
je lui ai fait le coup du il me reste toujours un truc pour finir l autre !!
il te reste un bout de pain alors tu reprend du fromage pour le finir et puis quand t a finit le pain il te reste du fromage alors tu recommence a prendre du pain !!!!
je lui ai vidé le frigo
elle m a jamais re invité ????

a ce jeu la t es pas pret de t arreter a faire des caisses !!!! a+

Trop fort le Pierrot! On prépare en effet 2016!!!

David tu évoques le coté financier tu arrives à faire du benef avec tes colos?

Bonjour
Moi j’ai 10 ruches en moyenne ( entre 6 et 15 selon les époques de l’année ). Je ne souhaite pas dépasser car j’arrive tout juste à écouler mon miel à des connaissances ( Je n’ai pas l’intention de faire des frais de balances agrées ou autres, donc je ne vais pas sur les marchés ) . J’en consomme moi même 25kg par an et ma famille 50 kg. Le reste est vendu ou donné. Tout le matériel que j’ai , payé par les ventes des années précédentes, est neuf. J’ai laissé de côté le mâturateur, l’extracteur et la presse de mes parents qui n’étaient pas en inox. J’ai tout renouvelé . L’extracteur est pour 9 cadres et manuel. Les ventes me paient les pots , le gds, le syndicat , l’assurance, la MSA de cotisant solidarité ( environ 1000 euros ) pour mes 13.5 ha qui se rajoutent à mes 10 ruches. Je végète et j’ espère continuer de végèter tant bien que mal jusqu’à la fin sans trop de soucis et en ayant le plaisir de m’occuper de mes abeilles , le miel me permettant de déjeuner, les piqûres de ne pas avoir << soi disant >> des rhumatismes , le revenu du miel me permettant de payer les frais . Voilà l’avenir pour moi pour 2016 et suite en espérant que de nouveaux décrets agricoles ne mettrons pas des minimum de perception pour la MSA ou les impôts trop élevés.

Je dois être mazo, mais plus je me fais piquer plus j’ai envie d’y retourner et d’avoir de ruches (le pire est que je commence à faire des allergies, enfin ce n’est pas encore trop problématique).

Pour moi c’est une sorte d’échappatoire, ça me change les idées de mon travail me prenant intellectuellement, et ça me calme. Aussi étant enfant de plusieurs générations de petits agriculteurs et ayant quitté le contexte pour du confort et une vie de famille, j’y reviens finalement par le biais de l’apiculture et ça me fait du bien. On peut réellement parlé d’api-thérapie pour moi !

Sinon j’ai repris les ruches de ma grand mère il y a 2 ans, elle ne les exploitait plus depuis longtemps, sauf par l’intermédiaire d’un papi qui est décédé entre temps. Au final il n’en restait plus que 2, dont une qui m’a lâché à force d’essaimage, et ça me faisait du mal de voir tout ça péricliter. Il y a aussi le côté historique où mon arrière grand père avait des ruches pailles (entre 20 et 30) et il faisait de “la contre bande” de miel durant la guerre (enfin c’est ce qu’on me disait étant gamin).

Donc j’ai “repris” l’année dernière, avec une année difficile, car sans réelle formation et beaucoup d’hésitation (un copain m’a juste formé en 1h sur l’ouverture et la manipulation des cadres), puis à vous lire j’ai réussi à remonter cette année un cheptel, grâce aux astuces d’ispat entre autres (remerrage) et à un copain m’ayant donné un essaim (une bombe) avant de partir sur les îles. Faisant que maintenant j’ai hiverné 6 essaims (obtenus par remerrage et division +1 de misère sur bourdonneuse). À voir dès le printemps si je me suis bien débrouillé, à partir de là je pourrais vous donner mes objectifs

Pour moi, j’ai commencer avec 1 ruche, puis 3 l’année suivante et cette année j ai hiverné 10 colos. Mais je n’ai jamais chercher vraiment a produire beaucoup de miel juste de quoi rembourser un peu les frais pour que cette passion ne me coute pas un bras.
Alors cette année il va falloir que j’étudie la chose plus sérieusement .

Par contre si je m’écoute je monterai en nombre tout les ans, car tout ce qui touche a l’élevage m’attire (Création d’EA et de reines )
De plus je constate que l’on passe autan de temps à aller au rucher a ouvrir 2 ruches que 5 ou 6 et le nombre nous permet plus facilement de faire fasse a certain aléhat

Alors k faire en 2016??????????

je ne vais pas être originale…mais j’ai commencer moi aussi tout petit avec juste trois ruches mais très vite j’ai senti la passion me gagné au point de ne penser qu’a ca, au bonheur de mes abeilles, au plaisir d’être avec elles, et celui aussi de manger mon propre miel…
je ne vais pas dire non plus qu’aujourd’hui l’argent gagné avec le miel ne m’aide pas a vivre un peu mieux même ci une grande parti est conserver pour grossir toujours plus…
et je dois le dire tout n’as été que du bonheurs cette année malgrés une grosse hernie discale qui m’a forcer a me faire opérer voilà trois semaines et m’as forcement fait souffrir une bonne parti de la saison notamment pendant les déplacement et les récoltes.
maintenant soigné vivement la prochaine saison !

J’ai démarré à 3 après 2 ans de formation au boulot (je m’occupe d’une section apiculture à mon CE).
J’en hiverne 10+2 ruchettes (surtout issu d’EA)
Une fois qu’on est piqué par la passion, on a envie d’avoir un cheptel, après chacun met le curseur au niveau qu’il juge raisonnable.

Moi je n’en veux pas bcp plus ais c’est ce que je dis ce soir
Après c’est la passion, mais aussi l’élevage (je voulais être berger étant môme).
Faire du miel, c’est aussi une concrétisation, mais j’ai toujours peur de me retrouver avec du miel sur les bras !

J’en souhaite pas bcp plus car sinon je vais courir de trop, et je ne veux pas mal m’en occuper !