- Ce sujet contient 11 réponses, 6 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
ddev, le il y a 9 années et 11 mois.
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C’est bien cool, ils ne parlent pas du prix. Mais, franchement, je trouve que ça pourrait donner aussi le poids de la ruche.
C est le plus important le poids si ca le donne pas c est a jeter
Je pense pas que ispat ait besoin de ca pour savoir ce qui se passe dans ses ruchers.
Il a juste besoin de connaitre la meteo de l endroit ou il a posé ses zazasUne belle realisation technique, mais plutot pour les chercheurs
Enfin peut etre que les ondes generees vont eloigner le frelon asiatique de la ruche…..
Merci Nouna pour l’infoC’est bien cool, ils ne parlent pas du prix. Mais, franchement, je trouve que ça pourrait donner aussi le poids de la ruche.
En général ça coute la peau des fesses, des centaines d’euros si c’est pas le milliers.
J’ai jamais compris comment ce sont montées ce genre d’initiatives.
Des travaux pratique d’étudiants ingénieurs repris et améliorés ?
Un labo qui planche dessus avec les deniers public ?
Un partenariat public privée ?En tout cas, si y a des geeks avec du temps, tout ça repose sur des installations avec micro matériel de type Arduino. Y a du travail logiciel librement dispo autour de tout ça mais souvent pas abouti.
Pour qui sait bidouiller y a de quoi s’en sortir à moins de 100 balles par installation (je compte matos qui est pas cher et temps qui est le plus consommés).Une startup à mon avis, qui travaille sous contrats avec des labos du public et des partenaires du privé (?)
Bonjour à tous,
Ce système de compteur d’entrées/sorties a été développé par l’INRA d’Avignon et leur servait au départ pour leurs travaux de recherches.
Puis nous avons racheté la licence d’utilisation et adapté le produit pour le proposer aux entreprises qui souhaitent faire du suivi environnemental grâce à l’abeille (Ex: une station de captage d’eau potable qui veut détecter l’utilisation de pesticides autour de sa station).Les coûts des différents éléments qui constituent ce produit ne nous permettent pas de le proposer aux apiculteurs, pour l’instant. Mais nous y travaillons. Nous avons eu déjà pas mal de demandes d’informations en ce sens.
Pour qui sait bidouiller y a de quoi s’en sortir à moins de 100 balles par installation (je compte matos qui est pas cher et temps qui est le plus consommés).
En toute sincérité, le prix de ce dispositif nous coûte bien plus à produire.
C’est bien cool, ils ne parlent pas du prix. Mais, franchement, je trouve que ça pourrait donner aussi le poids de la ruche.
Si nous ne l’avons pas fait jusqu’ici c’est parce que nos clients n’ont pas besoin de connaitre le poids de leurs ruches.
Mais si nous devions le proposer aux apiculteurs un jour, je pense que nous y intégrerions effectivement une balance. C’est une évidence.Pour qui sait bidouiller y a de quoi s’en sortir à moins de 100 balles par installation (je compte matos qui est pas cher et temps qui est le plus consommés).
En toute sincérité, le prix de ce dispositif nous coûte bien plus à produire.
En toute sincérité, je parle de qui sais s’approvisionner en matériel libre genre Arduino et qui pratique au moins de l’électronique et de l’informatique en dilettante. Je sais c’est pas si courant.
Puis je n’ai pas inventorié toutes les fonctionnalités des vos produits.Vous évaluez les polluants “par prélèvement d’abeille”, de leurs cadavres ? vivantes ? non pas par analyse du miel ?
Vous avez racheté une licence d’un travail de laboratoire.
Vous n’êtes pas coté ? ce prix sera surement resté sous discrétion.
Je suis probablement trop curieux, mais sachant que les services publics valorisent mal leur travaux et qu’il n’y a surement pas eu d’appel d’offre pour ce genre de choses si pointu.
Il s’agit probablement d’un chercheur qui a décidé de s’envoler pour le privé ?ps : en tout cas vous faite une bonne veille, à peine le sujet entamé vous trouvez !
Nous préférons analyser les abeilles plutôt que le miel car des études ont été menées, comparant les quantités de polluants dans plusieurs matrices (pollen, miel, abeille, cire) sur des prélèvements réalisés aux mêmes endroits.
Et les résultats ont conclu que la matrice la plus adaptée pour la biosurveillance était en premier le pollen (ce qui est difficile à utiliser tout au long de l’année) puis l’abeille.
Les quantités de polluants quantifiés dans le miel étaient quant à elles toujours inférieures à celles retrouvées dans l’abeille car il y a un phénomène de filtration des polluants entre l’activité de butinage, la trophallaxie et le stockage du miel.
Et nous prélevons des abeilles vivantes en effet pour l’analyse, plutôt des butineuses et dans des quantités qui ne portent pas préjudice à la colonie.
Nous sommes un bureau d’études spécialisé dans l’apiculture, qui existe depuis 8 ans et nous sommes 4 donc pas encore en bourse mais on a de l’espoir !
Et aucun chercheur de l’INRA n’a été maltraité ni débauché chez nous
il s’agit juste d’un principe de licence exclusive d’utilisation et non de propriété.
Si vous avez d’autres questions vous pouvez nous appeler et me demander (Capucine), je crois que vous connaissez bien notre site internet et nos coordonnées.
Ps: merci pour la veille et merci à Google un petit peu aussi
Nous sommes un bureau d’études spécialisé dans l’apiculture, qui existe depuis 8 ans et nous sommes 4 donc pas encore en bourse mais on a de l’espoir !
Le topo semble être plus le rachat que la cotation dans votre cas.
Sinon je crois que la ville de Lyon a mis des ruches vers certaines bretelles d’autoroute pour évaluer la pollution. Résultat rien de significatif !
Si c’est pas indiscret vous faites des prélèvements de pollens en alvéole ? sachant que celui ci subit une fermentation lactique ?
Ou en peigne à l’entrée ?Perso, j’aime pas bien mélanger le travail et le plaisir quand je m’occupe de mes abeilles, mais au final je m’aperçois que c’est quand même beaucoup de travail aussi.
Il y a pas mal d’entreprises qui utilisent l’abeille. Mais après certaines ne font que des analyses dans le miel. Les quantités retrouvées sont comparées aux doses journalières admissibles.
Et la plupart du temps on ne retrouve pas grand chose dedans … et c’est tant mieux ! Car sinon on ne pourrait plus manger de miel… déjà qu’on n’en produit plus beaucoup.On ne fait pas le pollen car c’est trop compliqué à prélever (pose des trappes, revenir quelques jours plus tard, problématiques de fermentation). On travaille principalement sur l’abeille et la cire (pour les pesticides).
Et parfois on fait quand même le miel pour certains clients qui veulent s’assurer que le miel soit bon avant de le distribuer.salut ddev
Pour info certaines société d’autoroute on installé de nombreuse ruches sur leur domaine mais elle n’ont aucun objectif particulier.Ils se doivent de montrer qu’ils ne sont pas la que pour détruire l’environnement et lance chaque année des projet de sauvegarde sur tel ou tel espèce.Comme l’abeille est mode actuellement les ruches fleurisse partout.Ils se doivent de montrer qu’ils ne sont pas la que pour détruire l’environnement et lance chaque année des projet de sauvegarde sur tel ou tel espèce.Comme l’abeille est mode actuellement les ruches fleurisse partout.
Greenwashing (propagande verte), mode c’est vite dit, lettre d’info du syndicat du rhone y aurait un revirement après être allé trop loin.
Faut savoir qu’a Londres pas exemple y a surpopulation de ruches urbaines !
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