Aide entre apiculteurs

Pourquoi tu montes à Paris pour chercher des essaims?
Tu en as pas en ardeche? et éventuellement, si tu connais un Api dans le coin, il pourrait peut etre te ceder de la zaza locale

tu est sur qu’il te vend de l’abeille noire certifié ???

Sur place il y a plein de f’hollandais : ils ont acheté des tas de vieilles masures à retaper en Ardèche du sud.

[Bon d’accord elle est nulle, faux bourdons > faux landais, je vais me coucher]

salut saintalban

tu fais venir des essaim de ouessant. j’ai lu il y a quelque temps quelle avais du mal a s’acclimater au continent,car pas de maladie sur l’ils et que chez nous sa leur est fatale.a si elle serrais par contre envahie de poux.tu peu donner les taros si c’est possible.et pour info, j’espère que si tu a eu a faire au responsable du conservatoire il aura étais plus cordiale que quand je l’ai vue il y’a 1 moi.oui j’ai pu le voir quelque instant car je vient de faire un chantier a ouessant et je voulais voir les fameuse zaza noire de ouéssant. résulta des courses ii na pas voulus me les faire voir.peur que leur fil nos merde,et parce qu’il étais entrain de les hiverner..doc le continentaux nais pas les bien venue proche de leur ruche.

jeudi 11 août 2011
La surpopulation d’abeilles noires fait réagir les Îliens

mardi 09 août 2011, cliquez sur le titre pour lire la source.
À Ouessant, les moutons sont en liberté et les ruches cadenassées.
L’association pour la conservation, la sélection et le développement de l’abeille noire, issue du continent, a installé quelque 150 ruchers sur l’île et en détient le quasi-monopole. Elle vend le kilo de miel à 20 € et chaque essaim d’abeilles à 140 €.
Autant d’éléments qui font réagir les Ouessantins et notamment Michel Quantin président de Maintien des traditions ouessantines et Bernard Le Bihan président de l’Observatoire du littoral des îles et de la mer d’Iroise (Olimi 29).
Les deux hommes rappellent que Georges Hellequin, à l’origine de l’apiculture sur Ouessant voici 20 ans, avait pour ambition la sauvegarde et le développement de cette abeille noire melliféra, écotype breton. Il s’agissait aussi d’assurer la sélection et la production de reines et d’essaims, la réglementation et le contrôle de l’introduction d’essaims et de reines.
À l’époque, il n’était ni question de produire du miel, ni d’installer 150 ruchers, là où G. Hellequin et la municipalité en préconisaient une. « Là, nous sommes à l’ère industrielle, au productivisme à outrance de l’abeille noire », s’insurgent les deux présidents.
Les Ouessantins trouvent que le miel est trop cher, que les stocks s’épuisent rapidement car détournés vers le continent pour en faire de l’hydromel et du chouchen. « 2,7 t de miel sont récoltés et 300 reines sont envoyées chaque année sur le continent, expliquent les deux hommes. Les quelques apiculteurs amateurs d’Ouessant éprouvent des difficultés à obtenir des essaims. En outre, face à cette surcapacité de ruchers sur l’île, il existe un réel danger pour les habitants, les touristes, les animaux, nous devons réagir. »

saintalban , je rejoint certain des foreumeux qui pense qu’au bout de 3 ou 4 ans , tes noire “spéciale” ne seront plus que des “batarde” a moins bien sur que tu ne chage les reines tout les ans avec des reine fécondé acheté au meme endroit que tes essaims , je pensais un peu comme toi , et de ce fait je donnais les essaim que je récupérais , je pense que j’etais dans le faut . c’est vrais que vers chez toi il y a beaucoup d’api et que , certainement , quelques un pourrait te vendre de la locale bien acclimaté et , sans doute bien moins cher .