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richard38, le il y a 11 années et 5 mois.
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Voici un article paru sur “La Croix”.
D’apres l’article, ils ne devrait pas y avoir de résultats avant le printemps, et je pense qu’ils n’auront pas assez de recul pour donner des conclusions
Rien de bien nouveau dans cet article…
Pour avoir moins de pertes hivernales, la bonne solution: augmenter les pertes estivales…
Je m’explique: n’arriver à l’automne qu’avec des colonies fortes, ayant les provisions suffisantes et bien traitées contre le varroa…
Pour cela, il faut avoir éliminé toutes les autres: dispersion des bourdonneuses ou orphelines, réunions des colonies faibles.
Et vous passez l’hiver sans trop de soucis…Bonjour
On ne peut pas prendre comme vérité scientifique , un article publié par un journal croyant !
il y a 11 années et 5 moisRang: ReineMessages: 1605Localisation : Rue des Rosiers, 58360 Saint-H1 ptOn ne peut pas prendre comme vérité scientifique , un article publié par un journal croyant !
Tu plaisantes j’espère ! Un journal peut être “croyant” et quand même être honnête avec ses lecteurs !
Ou bien préfères tu un journal bien “laïque” subventionné par le grand diable Monsanto-Bayer-Danone-Areva… et tout-ceux-qui-payent les journalistes télé pour bien endormir les gens ?
Le seul journal “indépendant” rappelons le c’est le Canard Enchainé car financé uniquement par ses lecteurs, sans publicité et avec un effectif suffisamment réduit pour éviter la mainmise des syndicats;
Amicalement
PascalQuand va t-on enfin cesser d’opposer les croyants et les scientifiques ?
En l’occurrence cet article de La Croix n’a fait que rapporter l’avis de différents experts…
De plus il faut bien admettre qu’avec tous les meilleurs experts (scientifiques) du monde et toutes leurs études, leurs panoplies de préconisations, de traitements divers et variés, les secrets du monde des abeilles continue de nous échapper… La preuve…On ne peut pas prendre comme vérité scientifique , un article publié par un journal croyant !
Tu plaisantes j’espère ! Un journal peut être “croyant” et quand même être honnête avec ses lecteurs !
Non c’est incompatible .
Ou bien préfères tu un journal bien “laïque” subventionné par le grand diable Monsanto-Bayer-Danone-Areva… et tout-ceux-qui-payent les journalistes télé pour bien endormir les gens ?
Non plus !
Le seul journal “indépendant” rappelons le c’est le Canard Enchainé car financé uniquement par ses lecteurs, sans publicité et avec un effectif suffisamment réduit pour éviter la mainmise des syndicats;
Indépendant ne signifie pas “objectif ” .
Amicalement
PascalMielpinpin,
Je comprends votre souci de la rigueur scientifique, mais franchement, pensez-vous que la science seule peut aider l’apiculteur ? La recherche est toujours très pointue, très spécialisée et ses protocoles ne tiennent pas compte de beaucoup de facteurs extérieurs. Les ruches sont soumises à différences influences : environnement et emplacements, météo, origine de la colonie, santé de la reine… etc…. (sans parler de la personnalité et des convictions de leur apiculteur… ) Pour ma part, je pense que chaque apiculteur doit s’adapter au coup par coup, apprendre à observer et agir selon nos convictions (qui sont différentes selon les apiculteurs)… pour faire vivre nos abeilles le plus longtemps possible dans les meilleures conditions. Le débat sur “Apiforme” le montre clairement : les avis divergent selon qu’on est apiculteur professionnel ou amateur (entre autres).Bonjour,
Nouna , ce n’est pas en croyant qu’on avance !
L’article du journal cité ne fait que relater un congrès scientifique, l’auteur de l’article montre d’ailleurs bien ses limites sur le sujet, reste très factuel et ne fait que citer des organisateurs (Yves le Conte pour l’INRA, Gilles Salvat pour l’ANSES…) quelles phrases tendancieuses avez-vous vues ?
D’ailleurs 100% des journaux sont “croyants” ! quand on feuillette ceux qui traînent chez le coiffeur (dentiste, médecin, etc.), on voit bien que chacun défend les idées desa paroissesa chapelleson parti. Et cherche à faire des adeptes !
Et “ce n’est pas en croyant qu’on avance” n’est pas tout-à-fait vrai, pour peu qu’on désire vraiment comprendre et connaître la vérité sur un sujet et pas simplement dominer ses petits camarades de labo pour se voir attribuer les crédits disponibles. 100% des découvertes scientifiques ont reposé sur un postulat du genre : “je crois que XXX peut être la cause de YYY que personne n’a encore su expliquer, et je vais chercher à le prouver“. Évidemment, on est aux antipodes d’une foi aveugle et bornée, mais c’est vrai qu’elle est si fréquente…Au fait, qu’est ce qu’il y a de scientifique dans l’apiculture ? Rien. C’est du technique, pas du scientifique.
Les scientifiques nous apportent beaucoup d’informations sur l’abeille et ses moeurs, grâce à eux nous connaissons et aimons mieux nos avettes. Mais je pense qu’il faut en rester là… Il ne faut pas oublier que de nos jours la recherche est financée par ceux qui recherchent du profit, d’où la floraison d’articles et produits divers et variés en magasin, au grand désarroi de l’apiculteur débutant
qui ne sait pas que choisir, ce qui est indispensable et ce qui est superflu ou peut-être même dangereux. Les conseils d’un papiculteur, même s’il paraît rétrograde ou un peu chaman, m’inspirent plus confiance que les dernières nouveautés pondues par les “spécialistes”.
Il ne faut pas oublier que de nos jours la recherche est financée par ceux qui recherchent du profit, d’où la floraison d’articles et produits divers et variés en magasin(…)
n’empêche que tous les chercheurs sont sincères et engagés dans une démarche de progrès.
La difficulté commence quand un problème éthique apparaît, et là c’est à chacun de mettre le curseur où il veut par rapport à ce que sa conscience lui dicte. Il y a des docteurs en sciences qui affirment, pseudo-études à l’appui, que la responsabilité du tabac dans le cancer du poumon n’est pas prouvée, mais ça ne doit pas permettre de dire du mal de tous les autres.“Science sans conscience n’est que ruine de l’âme”, écrivait Rabelais.
Rien de bien nouveau dans cet article…
Pour avoir moins de pertes hivernales, la bonne solution: augmenter les pertes estivales…
Je m’explique: n’arriver à l’automne qu’avec des colonies fortes, ayant les provisions suffisantes et bien traitées contre le varroa…
Pour cela, il faut avoir éliminé toutes les autres: dispersion des bourdonneuses ou orphelines, réunions des colonies faibles.
Et vous passez l’hiver sans trop de soucis…En effet, une bonne préparation à l’hivernage des ruches constitue une étape vraiment essentielle dans la vie d’un api…se premunir, anticiper, organiser,…diminue grandement les pertes hivernales. L’une des causes principales des pertes hivernales sont les négligences de l’apiculteur dans la gestion de ses ruches…
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